Par Shanelle Pettigrue — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cavan for Adobe/Adobe Stock
Le 9 août 2022 (Campaign Life Coalition) — Une « course contre la montre » est l’expression qui décrit le mieux l’histoire d’une agente immobilière de 24 ans qui a commencé un avortement chimique, a changé d’avis et a tenté de sauver la vie de son bébé.
Cette femme, qui subit des pressions pour avorter à neuf semaines de grossesse, a fait des heures de route depuis chez elle pour se procurer la pilule abortive. Elle avale la pilule et commence à rentrer chez elle. En conduisant, elle voit des panneaux d’affichage pro-vie le long de la route. L’un d’eux indique : « Il y a un battement de cœur à 18 jours ». La femme continue de conduire, sa décision commençant à peser lourd sur son cœur. Elle tombe alors sur un autre panneau d’affichage qui dit : « Ta mère a choisi la vie. Tu devrais faire de même. »
La jeune femme commence à regretter d’avoir pris la pilule d’avortement.
Elle sort immédiatement de l’autoroute et commence à faire des recherches en ligne pour voir s’il y a un moyen de sauver son bébé. Elle tombe sur un site internet qui offre à son bébé une « seconde chance de vie ».
« Avez-vous pris la première dose de la pilule d’avortement ? », indique le site d’inversion de la pilule d’avortement. « Regrettez-vous votre décision et souhaitez-vous pouvoir inverser les effets de la pilule abortive ? Nous sommes là pour vous », ajoute-t-il.
La femme appelle immédiatement l’organisation. Celle-ci la met en contact avec un médecin pro-vie qui lui envoie une ordonnance pour les pilules d’inversion à retirer dans sa ville le jour même. Six heures après avoir ingéré la pilule d’avortement chimique, la femme commence le processus d’inversion et elle est ravie, une semaine plus tard, de découvrir que son bébé a toujours des battements de cœur.
L’avortement chimique a échoué.
Son bébé est sauvé.
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