L’un de nos lecteurs assidu et ami nous démontre ce qu’est un lavage de cerveau…Il tente de nous ouvrir les yeux, mais n’y a-t-il pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir ?
En attendant merci à WD pour ses écrits.
Éternelle propagande
Le réveil Covidiste, oniriquement mal vécu, réalise que tous les médias sont à la solde de puissances financières. Comme tout le monde n’est pas réveillé, loin de là même, on peut dire que cette lumière n’est que diffuse telle la lampe de nuit des enfants. Il n’y a pas que la populace qui par définition est manipulable à souhait faute de culture, faute de réflexion propre, faute de volonté intellectuelle, il y a aussi les autres qui montent parfois assez haut sur l’échelle sociétale. Nous savons que tous ces braves gens sont sous l’emprise de la peur et de la conformité. C’est la force de la propagande quand tous les médias institutionnels donnent le même son de cloche, aidés en cela par les « spécialistes de plateau » véritables magiciens qui font disparaître la vérité sous nos yeux. Ils sortent de leur chapeau toutes les colombes Schwabiennes Nous constatons au passage que la presse écrite, non rentable faute de lecteurs, est subventionnée par l’état. Les riches particuliers qui ont investi uniquement pour imposer leur ligne rédactionnelle ont trouvé le moyen de rentabiliser leur intoxication expressément par ceux qui ne la lisent même pas. Tour cynique d’une classe s’il en est avec complicité d’une autre. La force Basque ne fait pas mieux.
La manipulation de masse est-elle un phénomène nouveau ? Depuis l’antiquité, le peuple se fait berner par son élite qui maîtrise bien le verbe et la plume. Platon ne dit-il pas dans Gorgias « le moyen de persuasion qui le fasse paraître aux yeux des ignorants plus savant, malgré son ignorance, que celui qui sait ». La guerre des Gaules de César est un acte de propagande politique. Il faut bien convenir que ces harangues subjectives ne portaient que sur un auditoire limité à une cité ou une caste. Ce n’est qu’avec la suprématie du christianisme que l’on constate l’endoctrinement de masse via les prêches suggestives de ses prêtres en chaire. La révolution nous a fait changer de paradigme, pas de méthode. La maison Orléans payaient les mégères et autres ruffians 12 sols par jour, soit le revenu quotidien d’un journalier, pour répandre partout, sans sueur, le fiel et le boniment prérévolutionnaire (1).
Tout le XIXème est sous l’emprise de la manipulation et ce n’est pas les Versaillais, les 4 Jules compris, qui ont infléchi la tendance. Toutes les magouilles financières de la 3ème République (Panama, les emprunts Russes, etc..) ont été promusses, encensées, sacralisées par la presse payée à cet effet et qui délivra les scandales financiers bien connus (2).
Depuis le Boulangisme, la presse sous rente viagère délivra une propagande anti-allemande sans précédent, exaltant le sentiment revanchard, le patriotisme, la peur du Teuton tout en oubliant les trahisons de Thiers et de Gambetta. En même temps, elle faisait l’impasse sur les intérêts de ses financeurs dans leurs manœuvres coloniales peu reluisantes où l’appropriation est un euphémisme. Le peuple de France n’a jamais perçu un centime en retour sur investissement que l’élite parasitaire lui a imposé.
Après la grande fête du sang de 14-18, la propagande continua de plus belle pour cacher les manœuvres de la société des Nations et les intérêts de la finance internationale. La radio, nouveau média à l’époque se fit l’écho docile de la presse écrite. A l’aube de la deuxième fête infernale de 39-45, l’affaire Stravinski donna du grain à moudre aux forces d’opposition politique, mais n’a guère ému la plèbe qui ne savait toujours pas qu’en récupérant l’Alsace et la Lorraine, elle avait fait perdre aux renouveaux Français les avantages sociaux (maladie, retraite,etc..) des lois Bismarck et les congés payés. Il était (déjà) plus important pour la plèbe d’écouter la Brestoise Berthe Sylva avec ses chansons puant le glauque que de s’offusquer sur les combines juteuses des grands de ce pays en cheville avec l’hydre anglo-américaine.
Malgré les grandes leçons multi-segments de 45, on a coupé aucune tête de ce monstre. Pire, à ce jour, peu de personnes savent que la haute finance mondialiste a rémunéré la révolution Bolchevique, l’ascension Hitlérienne et toutes les guerres de par le monde (3).
Depuis toujours les médias nous mentent, nous manipulent, nous enfument, nous drainent vers d’autres pistes. Ils sont les rois de la dissimulation, du mensonge éhonté avec une pointe grossière de charlatanisme. Ils sont sous l’emprise de leurs maîtres qui ont des velléités de domination qu’il faut cacher aux peuples de la terre. C’est leur rôle. Par ailleurs, on comprend bien tout ce que représente pour eux un Assange.
Pour rester objectif, il faut dire qu’entre 1870 à 1914, il y avait pléthore de journaux dissonants. Rouge, jaune, blanche, bleue, la presse opposante était prolixe. Le verbe acerbe délivrait bien des duels de plume et d’arme. Une époque où les gars en avaient. Mais depuis les années 20, le ton se ramollissait. L’offre politique se réduisait comme les bataillons en 1915. Ceci explique certainement en partie cela. Beaucoup de rescapés de la grande guerre ont compris que le grand journal de Jaurès avait comme actionnaires des capitalistes d’envergure internationale (4). Il avait fallu des millions de morts pour se rendre compte que quelque chose n’allait pas, que des gavés de caviar payaient Jaurès « pour vendre l’idée collectiviste ». Cocus comptez vous. De nos jours, nous voyons bien que la presse opposante n’existe plus, que tous les nouveaux médias sont le bis repetita de l’édition papier officielle. On va nous objecter qu’il y a des chaînes « internet » animées par des opposants. C’est vrai, mais regardez leur nombre d’abonnés avec celui des médias « mainstream ». Rien à voir. Aucune incidence majeure d’ordre cognitif ne peut changer la tendance Orwellienne.
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La crise sanitaire actuelle nous délivre la pleine puissance du lavage de cerveau général. Le nettoyage neuronal passe aussi par la censure qui n’a d’égale que l’inquisition aidée en cela par un florilège de lois liberticides. La guerre des ondes continue. Avec le développement de la crise Ukrainienne, verrons-nous le délire journalistique sponsorisé qui sévit depuis 1904 ? Tout porte à le croire, compte tenu du matraquage actuel qui monte crescendo.
1)- Les martyrs de la révolution de Gobry et les écrits de Escande Renaud, G.Lenotre …
2)- L’agiotage sous la 3ème république de Auguste Chirac, et les livres de Edouard Demachy …
3)- Voir les livres de Antony Sutton, de Docherty & MacGregor, de Camman Robert ….
4)- Les jaunes de France et la question ouvrière de Biétry Pierre.
Signé : WD
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