Aguellid.
En France, la négation des autorités et du corps médical continue de s’imposer face aux nombreuses victimes des effets indésirables
De nombreux pays ont commencé à dédommager les victimes de la vaccination sauvage anti Covid-19 comme l’Australie, la Thaïlande… et maintenant le Japon sauf en France où on a décidé de nier le réel en expliquant que ça n’existe pas, que ça ne peut exister car c’est ainsi. Il est question de centaines de cas qui ont été reconnus, incluant des décès.
En réalité la question est extrêmement simple à régler. Étant donné que les Japonais sont des êtres humains comme nous autres Français et qu’ils ont été injectés avec les mêmes produits que nous autres Français, on devrait trouver exactement les mêmes effets indésirables en France qu’au Japon. Tout le reste n’est que charabia, propagande et charlatanisme.
Un panel du ministère de la santé a accordé pour la première fois une indemnité forfaitaire à la famille d’une femme décédée après avoir subi une réaction allergique et une crise cardiaque soudaine liées à la vaccination contre le COVID-19.
La femme, qui avait 91 ans lorsqu’elle a été vaccinée, souffrait de maladies préexistantes, notamment d’accidents ischémiques transitoires, selon le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales. Le ministère n’a pas donné de détails sur la date à laquelle elle a été vaccinée ni sur le nombre de doses qu’elle a reçues.
Le panel a déterminé lundi qu’une relation de cause à effet entre les problèmes de santé ultérieurs et le vaccin ne pouvait être niée dans cette affaire.
Un porte-parole du panel a déclaré qu’« une relation de causalité scientifiquement rigoureuse n’est pas nécessaire » pour déterminer l’éligibilité aux dommages et intérêts.
Le panel a également évalué 11 autres cas de personnes âgées de 20 à 90 ans ayant subi des effets indésirables, mais a suspendu son jugement dans ces cas.
En date de lundi, 3 680 personnes ont vu leur demande d’indemnisation liée à la vaccination acceptée, dont 850 ont été approuvées et 62 refusées. Les décisions concernant 16 autres personnes, dont certaines sont décédées, ont été reportées.
Selon la loi japonaise sur la vaccination, les vaccins COVID-19 sont considérés comme « ad hoc ». En vertu de cette désignation, les personnes dont le décès peut être lié à un vaccin peuvent recevoir une indemnité forfaitaire de 44,2 millions de yens (soit 321000 €) et une contribution de 212 000 yens (1542 €) aux frais funéraires.
Un groupe d’experts distinct du ministère de la santé, qui analyse les effets secondaires, a reçu des rapports de plus de 1 700 cas de décès liés à des vaccins provenant d’établissements médicaux, bien qu’aucune relation de cause à effet n’ait été reconnue.
source : Le Libre Penseur
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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