Le pouvoir commettrait une faute de calcul majeure s’il se laissait convaincre par une quelconque Association de Pleureuses Souffreteuses d’annuler les spectacles de Dieudonné. Il y aurait à empêcher la France de rire, à lui enlever sa soupape d’évacuation après 2 ans de manipulations covidistes, les ingrédients rêvés pour que la poudrière sociale prête à péter à la gueule de Macron s’embrase dans des proportions inédites.
Nul besoin de maîtriser la psychologie des foules pour augurer d’un incendie social qu’aucun LBD ne saura cette fois-ci contenir, si l’exécutif cède à la pression des groupes de prêt-sion communautaire pour interdire le rire : les Français sont à bout de nerfs, alors que les élites ne s’avisent pas de pousserles gueux et les Sans-Dents dans leurs derniers retranchements. Ces spectacles sont des défouloirs sains, politiquement incorrects et parfaitement légaux : qu’ils y touchent, et la masse des opprimés se lèvera.
Cette fois-ci, je crains que les Services ne soient pas en mesure de déjouer un coup d’État maladroitement préparé par courriels interposés, car le mouvement sera spontané, torrentiel : si les caciques du pouvoir retirent Dieudonné aux Français, ces derniers envahiront l’Elysée, tant les consciences sont mûres.
La colère est sourde, les esprits revanchards, alors si l’Arrogance et la Lacrymale des Réparations devaient entraver le rire des Français, la guerre civile aura bien lieu. Le pouvoir aurait donc tout intérêt à choyer Monsieur M’Bala M’Bala, le traitement qu’il recevra étant le baromètre national de l’indice de respect ou de mépris du sommet de la pyramide envers les Français. Tel serait mon conseil si j’avais l’oreille de la petite intérimaire du NOM.
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