Avant seuls les psychiatres pouvaient avoir ce type d’échanges avec des patients persuadés que les hommes et les femmes sont des inventions sorties d’un imaginaire pathologique.
Le monde occidental est devenu une institution psychiatrique à ciel ouvert.
Tous les enfants, au cours de leur processus de construction, rencontrent le besoin de raconter que leur papa est agent secret ou pompier, de s’inventer des pouvoirs ou un ami imaginaire, pour se donner du crédit ou pour botter en touche « socialement », afin de surmonter de façon passagère un complexe d’infériorité qui les terrorise à l’idée de se comparer aux autres, le temps pour eux de comprendre quelles sont les qualités qui leur permettent de gagner l’amitié, la confiance, l’attention chez l’autre.
Le système de domination oligarchique a récupéré, instrumentalisé, détourné, perverti, de manière diabolique ces moments de fragilité pour les orienter vers l’unique question du « genre », qui est un pré-requis, dans le système de conditionnement et de domestication du bétail humain, à l’assignation par l’État du genre de chacun.
C’est ce que l’on voit déjà en politique avec des partis qui pour échapper à la taxe punitive sur la dérogation à la « parité » se dotent de candidats au genre modulable pour ne pas faire mauvais genre en matière d’égalité « homme » / « femme »…
Ce documentaire glaçant démontre que le système universitaire s’est mis à produire en masse des produits délibérément défectueux en matière d’identification des hommes et des femmes…malheureusement les rappels de produits ne concernent pas les produits de consommation culturelle et intellectuelle.
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