Semaine Sainte en Grèce, dite aussi celle des Douleurs du Christ. Comme en Russie et comme en Serbie, c’est à la suite de la lecture des douze Évangiles de la Passion, que l’on rapporte à la maison la flamme du cierge, de même que celle qui symbolise la Résurrection, Samedi Saint, après la messe de minuit. Résurrection, qui dans les faits… tardera encore un peu. En attendant, dans notre village du Péloponnèse hier soir à la tombée de la nuit, c’était le temps… un moment arrêté, pendant la Procession de l’Épitaphe porté par de jeunes gens. Douleur du Vendredi Saint.
Et d’abord… sauve-qui-peut. Depuis une semaine, les Grecs se sont rués sur leurs campagnes, histoire de fêter le plus grand moment de l’Orthodoxie au village natal ou dans les îles. Puis, les touristes sont aussi de la partie ; à Athènes par exemple ou sur l’île de Poros, les images du jour sont dignes d’un mois d’août. Beau Printemps grec en tout cas… même si les Grecs hésitent parfois devant l’achat de leur agneau traditionnel. C’est autant vrai, le prix de la viande a augmenté de 35% en quelques mois.
Mais voyons, c’est la première année prétendument normale depuis déjà deux ans que le Régime a imposé sa plandémie. Normale, il faut dire, seulement dans les apparences. Car, en cette année 2022 particulièrement diabolique, le… Satan ne se cache plus que dans les détails.
D’abord, l’Église officielle n’est qu’une coquille vidangée au service des satanistes au pouvoir. Elle s’est couchée comme on dit, pour alors fermer ses portes aux fidèles durant deux ans, ensuite, elle a substitué le… Saint Esprit par le vaccinisme exacerbée, au point de persécuter les fidèles et même les ecclésiastes qui résistent ; enfin, elle s’est rangée bien volontiers du côté de Zelensky, le Khazar drogué de Kiev, une affaire qu’aux yeux de nombreux Grecs ce n’est pas rien.
De toute évidence, le pouvoir en place incarne partout la putréfaction de l’Occident, sa fuite vers la zombisation accélérée des âmes et des corps, quand les esprits sont alors éteints. Les codes utilisés par les marionnettes au pouvoir sont tels, que tout converge à travers leurs volontés affichées vers l’abolition des peuples, ici, ailleurs et maintenant.
Telle Sakellaropoúlou, la « salope » satanisée occupant le poste de la Présidente de la République, quand durant la Semaine Sainte, elle s’est rendue dans une mosquée pour assister à une danse des Derviches. Dans le même ordre du désordre dernier, le Régime prépare son assaut final visant le Mont-Athos et ses moines.
Car d’après une certaine presse, Bruxelles et les Atlantistes entendent y investir 500 millions d’euros, entre autres, pour que les derniers Résistants du monastère d’Esphigménou situé au nord-est de la péninsule et dédié à l’Ascension du Seigneur, puissent être délogés, au besoin par la force armée policière.
Rappelons que les moines du monastère d’Esphigménou s’opposent au Patriarche de Constantinople, lui reprochant ses écarts œcuméniques. Leur monastère s’est ainsi séparé de facto du reste de l’Église en refusant de commémorer le Patriarche de Constantinople dont dépendent les monastères du Mont-Athos après que celui-ci, en l’occurrence Athénagoras, avait rencontré le Pape dans les années 1960.
Rappelons autant qu’Athénagoras, fut ce franc-maçon notoire, ayant atteint le 33° degré du Rite écossais ancien et accepté, d’après les textes officiels des loges en Grèce. Ceci explique surtout cela.
Enfin, et pour en rajouter à cette soupe servie aussi d’en bas par le Régime, un islamiste parmi les deux à trois millions parmi les migrants illégaux que le Régime a installé en Grèce depuis dix ans, a fait irruption dans une église d’Athènes… afin de troubler la messe durant la Semaine Sainte. Il a été maîtrisé par les fidèles… et il n’était pas armé. En tout cas pour le moment.
Oui, beau Printemps grec pourtant… la politique en plus mais qui n’intéresse plus grand monde. Le Régime de la Xénocratie globaliste entend former en Grèce un prochain gouvernement tripartite, histoire d’entériner le recul de la souveraineté de la Grèce en Égée, en Méditerranée et indirectement à Chypre, au profit de la Turquie… mais en réalité au profit du Sionisme des globalistes, comme de leurs Khazars associés.
Car la Khazarie en Ukraine déjà, dans tout son satanisme exterminateur est aussi un projet géopolitique et il n’est guère nouveau. Nos amis Russes le savent, et même sous l’hypnose imposée depuis plus d’un siècle, nombreux sont encore les Grecs qui l’auraient enfin compris. Ce qui ne veut pas dire qu’ils arrivent à… se rebiffer. Ainsi, le Régime à Athènes, organisera bientôt ses prochaines élections truquées… de leur accouchement, pour alors retirer ses « perdants »… tout en y plaçant ses « gagnants ». Donc Épitaphe.
Semaine encore de toutes les douleurs. Notre village a largement suivi les messes et la Possession, le pope a insisté « sur la fin de la Pandémie grâce à Dieu et sur la condamnation de la guerre en Ukraine », on croyait alors entendre le Pape sataniste de Rome ou son alter ego le Patriarche de Constantinople. Bonne nuit… les fidèles et surtout, attendez-vous à la Résurrection.
Pourtant, parmi les ecclésiastes et d’abord les moines, à l’instar du Père Arsénios Vliagkóftis en Grèce du Nord, il y a ceux qui dénoncent ouvertement l’Église officielle satanisée et vacciniste, et qui soutienne si ouvertement la lutte des Russes et de leurs alliés contre la… gangrène du monde.
Ou sinon, comme l’écrit Laurence depuis sa Russie, « j’ai eu diverses altercations avec des personnes péremptoires qui savent tout, et qui n’envisagent pas une minute qu’elles puissent être à côté de la plaque, il faut dire que voir les choses autrement leur compliquerait bien la vie. L’inutilité de la discussion me coupe bras et jambes. J’ai quitté la nef des fous pour la dernière arche et je les vois s’éloigner l’une de l’autre à grande vitesse. Pourtant, les Russes me disaient souvent que leur arche n’était pas très étanche. Peut-être, mais elle a quand même levé l’ancre, et la voilà qui prend le large. Et ça tangue, mais ça bouge, ça avance, des rafales iodées balaient le pont, la houle soulève tout ce qui n’est pas bien accrochée ».
« Ce qui se passe là-bas, c’est-à-dire en Occident et dans ses divers fiefs, est si pervers, si satanique, qu’il est difficile d’y garder son bon sens. Je vois vaciller des gens qui me paraissaient en avoir pas mal. Ceux qui le gardent le mieux sont les gilets jaunes et les Gaulois réfractaires, les travailleurs, les petits. Ou certains anarchistes incurablement rebelles, du genre recours aux forêts. Je crois qu’il faut à un certain moment savoir s’éloigner sans se retourner, sous peine de se transformer en statue de sel. J’attends les esquifs de la dernière heure, il ne leur faudrait pas trop tarder, nous leur jetterons des câbles, des bouées et des gilets de sauvetage ».
Notre grand écrivain et également grand patriote Yórgos Ioánnou ne s’était pas non plus trompé, entre autres, dans son texte, justement intitulé, « Douleur de Vendredi Saint ».
« La vie humaine est immense, incroyablement belle et immense, on peut y amasser bien des choses, quand on dispose en soi de cachettes profondes ». Sauf que pour y amasser bien des choses, il ne faut pas cesser de vivre… ce qui est contraire au projet transhumaniste des satanistes.
La Résurrection, pas celle de demain dimanche alors attendra… mais elle arrivera.
Douleur de Vendredi Saint en ce Péloponnèse dit mythique. Rosa, notre chatte adespote du port et des cafés était aussi de la partie. Car, comme nous le dit encore Laurence, « c’est bien une guerre entre ces gens-là et l’humanité qui se déroule. Entre les trolls, les rhinocéros, les piranhas, les hyènes et les êtres humains ».
On dirait même, les êtres humains et tous leurs animaux adespotes et fiers de l’être.
source : Greek Crisis
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