par Panagiotis Grigoriou.
Pays grec, par endroits paisible… pour cause d’inactivité. Printemps sinon… des poulpes et des oursins. En attendant les hirondelles, les huiles végétales, les farines et maintenant le sucre, deviennent de fait ces premières denrées rationnées du siècle nouveau, sauf que les touristes initiateurs de la supposée saison 2022 sont de la partie. C’est vrai que le temps enfin devient doux sous l’Acropole, ou face au grand bleu de la mer Égée et du Cap Sounion. À Athènes, de nombreux Grecs ont manifesté dimanche dernier tout leur soutien à la cause de la Russie, sauf qu’ils ont été agressés par des ukro-nazis à bas voltage, soutenus ouvertement par le Régime sur place. Ainsi va la vie et alors ses guerres.
De ce fait, et suite au… russotropisme manifeste des Grecs, l’Ambassade de la Khazarie de Kiev à Athènes, exige du… cousin Mitsotákis, que d’interdire toute manifestation prorusse en Grèce.
En attendant, « notre » Régime vacciniste nous dit d’emblée « que le RESET c’est à cause des Russes, que les voitures seront à terme interdites d’usage, et que l’électricité sera vraisemblablement rationnée, c’est-à-dire coupée durant une à deux heures dans la journée ». Un certain pays réel s’y prépare pourtant, du moins dans les campagnes. Sur les plages du Péloponnèse encore largement désertes, les plus téméraires consomment les oursins sur place, quand on y laboure et l’on aère la terre avant de planter. Le mot d’ordre dans les terroirs est de nouveau celui d’une relative autarcie, y compris on dirait… pour nos matous des champs.
Car de nombreux Grecs comprennent quelque part le sens profond des enjeux en cours, quand bien d’autres, resteront endormis jusqu’au sommeil final. Et d’ailleurs, au sujet de la guerre qui est en cours en Ukraine. Il semblerait que l’esprit grec, lequel a offert en son autre temps l’Orthodoxie aux Slaves et d’abord aux Russes, comme on sait symboliquement baptisés de la sorte à Kiev il y a de cela un peu plus de mille ans, ce même esprit actuel qui prévaut chez les Hellènes, sombre alors dans l’hérésie et le syncrétisme sataniste, imposés par son plus grand prélat politique, culturel et même ecclésiaste.
Qu’on se le dise. L’Église officielle d’Athènes est désormais une momie remuante… sous la pyramide de la loge, sans laquelle, plus un seul parmi ses ecclésiastes ne devient déjà métropolite, c’est-à-dire évêque. Les rares exceptions ne font que confirmer la règle. Bientôt… ce prélat honorera alors ouvertement Helena Blavatsky… et son diable avec.
Car, c’est enfin l’OTAN et le MI6 qui parle en eux, de même que le Vatican, après Londres naturellement, l’autre loge du monde à l’origine déjà de deux guerres mondiales, comme de la colonisation d’une bonne partie de la planète par le parasitisme et par l’espionnage, y compris sous leur forme la mieux lénifiée pour les circonstances délibérément atténuées, à savoir, l’ethnologie. Le jeu devient enfin clair en cette… troisième Grande Guerre, pour ceux qui le comprennent bien entendu. Et les Grecs, lisent autant d’autres sources d’information sur Internet, que celles imposées par la propagande de leur Régime.
Ainsi, on sait par exemple en Grèce ; pour revenir aux affaires courantes ukrainiennes dans cette guerre de fait entre l’OTAN et la Russie, et comme il est également divulgué également en langue française, que « Le président turc Tayep Reçep Erdogan a utilisé son influence à Moscou pour demander à la Russie l’exfiltration des étrangers bloqués à Marioupol. En réalité, la Turquie a été mandatée par Washington et Londres pour agir auprès de Moscou afin de permettre l’exfiltration des agents de liaison des services spéciaux et des unités de combat constitués de membres des forces spéciales de plusieurs pays et des mercenaires portant l’uniforme ukrainien. Les forces tchétchènes sont les seules parmi l’ensemble des unités militaires russes qui n’avaient aucune illusion sur les méthodes barbares du SBU ukrainien et de son mentor britannique Mi-6 qu’ils désignent sous le terme de shaytans – diables ».
Il y a à ce propos plusieurs jours, que sur Internet grec on peut lire des analyses et des informations faisant état de cette curieuse insistance du Président Macron à vouloir « évacuer des civils de Marioupol » par le biais d’une opération… d’opérette militaire franco-turco-grecque, histoire de récupérer les agents instructeurs des Azoviens… issus de l’Armée française. Des combats entre ceux de la Légion Étrangère et les forces russes ont même eu lieu, ce que finalement une certaine bonne presse en France finit par dire aussi.
Sur Internet grec, comme parfois sur certains sites de réinformation français on écrit enfin, qu’il y avait bien deux officiers de la DGSE dans l’hélicoptère abattu par les Russes à Marioupol. De manière disons étrange, la grande presse française observe le silence comme si ces trepassés n’ont pas été au service de leur pays et même jusqu’au sacrifice, tout comme la presse mainstream grecque qui ne dira pas un seul vrai mot, au sujet de la visite du ministre des Affaires Étrangères Déndias à Odessa cette semaine.
Ce Khazar hellénisé, autant avocat… local au service des Rothschild en Grèce, avait déjà visité Marioupol peu de jours avant le début de la phase actuelle de la guerre en Ukraine. Déndias, travaillant en réalité en émissaire de Pyatt et de Victoria Nuland doit visiblement préparer le terrain propice au maintien, ou sinon à l’évacuation des… petits « agents grecs » sur place.
Le tout, sous le prétexte sans cesse réitéré de « vouloir protéger la communauté des Grecs » entre la Transdniestrie et la Tauride. Ceci, quand le pouvoir des ténèbres à Athènes, occulte par exemple les lois raciales promulguées par Kiev, ces mêmes lois ayant interdit aux presque 200 000 Grecs de l’Ukraine orientale que de parler aussi leur langue, au même titre que la langue russe autant frappée d’interdiction.
Athènes des marionnettes se range volontiers du côté des chevaliers des Ténèbres, dans cette dernière tentative de l’Occident que de tuer la Lumière… après l’avoir largement éteinte chez ses malheureux peuples et nations, Grecs compris. Dans la pratique, l’affaire ukrainienne qui n’est qu’un cluster purulant du satanisme sur Terre, révèle jour après jour ce qui en est vraiment des suites à donner… un peu partout dans le monde.
Notons d’emblée que la bande des satanistes qui a pris les commandes en Occident par le Putsch permanant à la manière entre autres du totalitarisme européiste, a déjà perdu sa partie car la majorité des pays du monde encore quelque part civilisé, c’est-à-dire en dehors de l’Occident, se rebelle se rangeant du côté des Russes, ce qui ne veut pas dire que les conditions les plus douloureuses ne soient pas toujours devant nous.
Y compris pour les Grecs. Qu’ils comprennent ou pas, ce qui s’y joue, d’ailleurs il importe désormais si peu. Ceci, quand certains faits majeurs de l’actualité sont bien entendu occultés par les médias aux ordres. Par exemple, c’est en ce moment que la diabolique Nuland se balade entre la Turquie, la Grèce et Chypre, afin de finaliser son projet du désarmement des îles grecques, de la Grèce du Nord et même de Chypre. Les armes de défense antiarienne de fabrication russe, ainsi que les chars, à savoir 60% du matériel dont dispose Chypre encore libre, sera livré aux ukro-nazis de la Khazarie de Kiev.
En « contrepartie », c’est de l’armement américain qu’y sera livré dans un futur indéterminé… et sans que les Grecs à Chypre puissent être entrainés et familiarisés. Comme en 1974, Chypre et même désormais la Grèce, seront sans défense, donc il y a à parier que la Turquie pourrait attaquer de nouveau, soit par les armes, soit par la… diplomatie, comme c’est déjà le cas.
Et pour faire avancer… le dossier, l’Ambassadeur de Kiev à Athènes rencontre le ministre de la Défense pour réclamer la livraison de… l’essentiel de la défense anti-aérienne des îles grecques de l’Égée. Pauvres pays.
Au même moment, les cheminots grecs tentent d’empêcher le transfert par le train des chars de l’OTAN entre le port d’Alexandroúpolis et la Bulgarie, puis les sympathisants du PC grec sur place, marquent de peinture rouge les blindés américains qu’y circulent déjà de la sorte.
Le désarmement de Chypre comme celui de la Grèce, tient encore une fois de la politique de la grande loge de Londres, des Puissances OTANesques et d’un certain Sionisme, telle est autant la volonté d’Ankara, et cette politique globale traduite en local est maintenue par tous les partis ayant droit de siéger au sein du « Parlement ». Ce qui fait dire certains à Athènes, à l’instar du vieux journaliste Hadjáras, que par exemple Varoufákis de la gauche, est en réalité le… superviseur « fraternel » de Mitsotákis à Athènes, d’autant plus, que ce dernier est un idiot.
Cependant et par… ces idiots, il est programmé que de perdre de notre territoire national, comme c’est amplement le cas dans un sens depuis les années de la Troïka, sauf que tous les grands médias taisent plus que jamais ce qui est vraiment important dans les faits. « Nous ne nous laisserons pas faire, et nous danserons sur vos tombes salopards », se disent alors Hadjáras et son ami Zóis du mouvement « Ellas 21 », voilà ce qui a le mérite d’être clair dans le débat supposé politique.
En réalité, entre nous et ces bandits qui gouvernent, il n’y a aucun débat politique possible car c’est la guerre. Le Régime certes, tente à faire encore passer la pilule ARN de la démocrature « représentative » pour que les humbles puissent encore y adhérer, si possible jusqu’à leur extermination. Nous sommes passés par là, d’élection en élection nous avons déjà donné et nous avons perdu ; en Grèce en tout cas.
Les masques tombent. Derrière l’imagerie illustrée de la scène politique, se cache alors le jeu des crapules à bien tant de niveaux. Certains « conseillers » sont en réalité les vrais maîtres de leurs « maîtres » politiciens ; il en est de même quant aux autres courroies utiles à l’échafaudage totalitaire.
Car enfin disons-le, toujours derrière cette imagerie illustrée des affaires grecques, voilà par exemple que la Turquie annonce depuis plusieurs années son plan national de reconquête des territoires ayant appartenu à l’Empire ottoman. C’est un plan connu, que d’ailleurs le Parlement d’Ankara a très officiellement entériné. Les territoires visés quant à eux, ils sont explicitement mentionnés, leur cartographie… prospective même publiée. Il n’y a aucun mystère à ce propos.
Mais en Grèce, les politiciens font semblant de négocier « nos positions » avec les officiels d’Ankara, quand en réalité il n’y a rien à discuter. Accessoirement, les clans familiaux parasites tels les Mitsotákis en tête, réalisent même des affaires fructueuses avec la famille Erdogan par exemple. D’où l’idée qui circule très officiellement en cette Athènes des pouritures : « Il va falloir partager nos ressources et notre espace Égéen avec la Turquie ». Et pourquoi pas alors le contraire, se partager par exemple le plateau Anatolien ?
Douze années déjà de guerre économique, culturelle et psychologique sous la Troïka, sous son immigrationnisme et sous son wokisme en accéléré, ont fini par réduire la psyché, tout comme la logique de nombreux Grecs. Il y a encore vingt ans, le peuple grec aurait bloqué le pays et fait tomber le gouvernement, mais actuellement c’est visiblement plus compliqué. Déjà, au moins deux générations ont été endoctrinées par l’École et par les Universités du Régime.
Seulement voilà, le catalyseur de l’Ukraine fait que le calendrier génocidaire s’accélère. Les diplômés de la foutaise y passeront aussi, la casserole est prête. Troïka, Plandémie, Covidisme, Vaccinisme, Guerre et Reset tiennent alors du même calendrier, dont le premier but visible et avoué, c’est la destruction des peuples occidentaux. Ensuite, les bancocrates et autres satanistes de la pédophilie occidentale, veulent s’accaparer par la même piraterie exercée depuis cinq siècles sur le reste de la planète, l’immense potentiel énergétique de la Russie car tel est aussi l’autre vrai sens de la guerre actuelle, surtout que la planète semble plutôt se refroidir et non pas se réchauffer.
Cette même accélération fait ou fera, que les Grecs verront peut-être leur pays encore plus diminué qu’actuellement, sous les effets de la « gouvernance » qu’ils subissent. Désormais, la réponse est à la portée des yeux et des esprits encore ouverts. Ces gouvernants ne sont pas Grecs ; ils haïssent même les Grecs. Ils sont souvent Khazars d’origine, ou sinon, sans passer par les considérations d’appartenance ethnique ou de caste, ces salopards sont issus de la large caste du Sionisme transnational et de son mondialisme, en… bons auxiliaires de l’Hybris de la théosophie.
Ces Mitsotákis, ces Tsípras, ces Karamanlís, véhiculent de la haine abyssale envers les Grecs, au même titre à notre humble avis, que les dirigeants de l’ensemble quasiment du bloc de l’Occident, lesquels haïssent alors autant « leurs » peuples. Et là, il s’agit d’un bloc, d’un Régime qui traverse la totalité ou presque, du dit système politique.
Quelle histoire… en accéléré. Nous sommes passés par la Troïka, par la foutaise SYRIZA, par des élections truquées aux referendum trahi, pour alors réaliser ce qui n’était pas encore si clair à nos yeux il y a encore sept à huit ans. Rien de ce que nous avons à accomplir ne doit désormais être vu et pratiqué sous l’angle d’une affaire politique et de politique.
Car il en est de notre survie physique, culturelle, sociale et nationale ; de ce fait, ce qui doit être mis en œuvre tient tout simplement de l’élimination de notre ennemi, à commencer par ses marionnettes en local. D’où par exemple en ce Printemps des… poulpes, tout le sens du Russotropisme actuel des Grecs, et espérons en tout cas qu’ils ne seront pas trahis par les événements futurs et alors si proches.
L’autre jour, un bruit soudain et étrange a traversé notre petite région du Péloponnèse. Comme un peu, un bruit sorti des entrailles de la terre ou du ciel… et il n’y a pas eu de séisme. Nous avons pensé que des avions militaires brisaient peut-être le mur du son, mais ce n’est qu’une hypothèse.
Notre vieille voisine sortie de chez elle aussi pour mieux saisir le phénomène, a sitôt proposé son explication. « Quoi qu’il en soit, ce sont les démons qui nous gouvernent, dans un sens ou dans un autre. Un jour nous recevrons bombes et missiles sur nos têtes. Ah… mes pauvres enfants, ils vivent à Athènes… auront-ils la possibilité de partir à temps ? »
Temps incertain en ce pays grec, en ses endroits encore possiblement paisibles. Nos touristes auront déjà même adoré, le Cap Sounion, ses deux tavernes, son Temple de Poséidon, voire, ses oiseaux.
Chez nous et par les temps qui courent, notre Hermès redoute un peu la présence de Léon… quand enfin Volodia, retrouve heureux sa gamelle. Ainsi va la vie, la guerre et la paix.
source : Greek Crisis
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