Cet article est en anglais (suivre le lien ci-dessous) nous y ajoutons la traduction en français des conclusions
New Microbes New Infect. 2021 Sep ; 43 : 100924.
Publié en ligne le 2021 août 3. doi : 10.1016/j.nmni.2021.100924
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8383101/
Traduction de la conclusion :
Conclusion
Nous pensons que les données recueillies à ce jour plaident en faveur d’une extension mondiale des traitements IVM pour le COVID-19, en complément des vaccinations. Le mécanisme biologique indiqué de l’IVM, la liaison compétitive avec la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, n’est probablement pas spécifique de l’épitope, comme l’indique la revue [8], ce qui pourrait permettre une efficacité totale contre les souches virales mutantes émergentes. L’IVM a été utilisé en toute sécurité à 3,7 milliards de doses depuis 1987, bien toléré même à des doses beaucoup plus élevées que les doses standard [34,35] et utilisé sans effets indésirables graves dans les trois études de traitement à forte dose du COVID-19 mentionnées ci-dessus [34,36,37]. Dans la situation d’urgence internationale actuelle du COVID-19, où les souches virales mutantes, les refus de vaccination et la diminution potentielle de l’immunité au fil des mois constituent de nouveaux défis, le MIV peut être un élément efficace de l’ensemble des thérapeutiques déployées contre cette pandémie.
Source : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8383101/
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