Le fédéral déploie ses troupes anti-Nous
Celle qui refuse le devoir d’intégration
Le Québec est aux prises avec une nouvelle catégorie bien précise d’ennemis de la nation, issus essentiellement de l’immigration tiers-mondiste galopante.
En effet, certaines communautés ethniques grossissent avec l’idée bien arrêtée de s’opposer à tout ce qui les oblige à accomplir leur devoir d’intégration rapide à la société d’accueil.
Ce sont des étrangers qui refusent tout effort d’adaptation, qui rechignent à prendre le pli du nouveau pays, ce qui fait pourtant partie du contrat initial visant à prouver leur bonne volonté et leur bonne foi.
Ce sont des communautés repliées sur elles-mêmes qui se renforcissent par le maintien de leurs us et coutumes (même celles irrecevables ici), par la langue étrangère qu’ils maintiennent et continuent de parler entre eux dans leur quartier, par l’obéissance aveugle à une religion dépassée qui heurte nos valeurs, par la mentalité contraire, par la mauvaise manie de chercher à s’imposer et de se répandre.
Autre problème de taille: certains de ces immigrants arrivent en masse renforcer une communauté établie qui a opté depuis longtemps pour l’anglais au Québec. Ce n’est pas demain que nous en ferons des francophones convaincus…
C’est là une immigration anti-québécoise par définition dont nous n’avons que faire.
Une communauté visible qui s’agrandit tout en refusant de s’intégrer à la culture de la majorité et qui maintient la sienne effectue une opération de remplacement de la population en place. C’est de l’invasion de territoire sous de fausses apparences trompeuses.
N’est-ce pas une fort curieuse idée que celle d’établir des critères d’immigration assez larges et flous pour permettre à des étrangers venus des pires pays de misère de chercher à nous mener par le bout du nez?
En effet, ces étrangers hostiles finissent par mandater des leurs en tant que candidats aux élections, non pas dans le but de servir la société québécoise, mais bien afin de faire avancer les exigences politiques contraires de leur communauté. C’est une lente infiltration de nos institutions dont ils prennent peu à peu le contrôle pour en arriver à leurs fins.
Ces communautés ouvertement hostiles à ce que nous représentons et défendons ne se gênent pas pour se faire subventionner par les programmes fédéraux et contester judiciairement toutes les lois québécoises voulues par la majorité démocratique dans le but de s’y soustraire. C’est une véritable honte!
Ce sont eux qui vont se liguer pour s’opposer à notre loi sur la neutralité de l’État, qui seront du bord de ceux qui contestent le projet de loi 96 remplaçant la loi 101, qui vont voter à 100% contre le projet de pays souverain qui nous anime.
Ces communautés ethniques nuisibles doivent être identifiées et dénoncées, puis faire l’objet de catégories à exclure lors du processus de futurs candidats à l’immigration. Et ceux qui malheureusement pour nous sont déjà installés doivent sentir la pression populaire pour qu’ils se relocalisent ailleurs au Canada. Le gouvernement québécois devrait également avoir le courage de les pointer du doigt et d’encourager cette relocalisation salutaire et absolument nécessaire.
C’est pourquoi le gouvernement doit acquérir tous les pouvoirs décisionnels en matière d’immigration. Le gouvernement fédéral nous joue dans le dos. Il sait où planter le couteau. Il déploie ses troupes anti-Nous autour de la nation québécoise. Qui sera notre Volodymyr Zélensky qui sauvera la patrie?
Que le message à passer soit clair: si vous venez dans ici l’intention de vos opposer à notre mode de vie et aux lois voulues par le peuple québécois, passez votre chemin, ou mieux, restez chez vous. Vous serez toujours de trop et on vous le fera sentir comme vous le méritez.
En un mot comme en mille, si vous n’êtes pas de notre bord, prenez donc le bord.
L’immigration anti-québécoise, de la pure folie!
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec