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Le 4 mars 2022 à 2h00 du matin (heure de Russie), le détachement de la garde nationale ukrainienne est intervenu pour arrêter l’incursion d’un groupe de paramilitaires nationalistes,— c’est-à-dire les extrémistes ukrainiens néo-nazi —, dans le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje, probablement venus pour y commettre un attentat sous faux drapeau. Or, les médias mainstream (c’est-à-dire les faiseurs de mensonges) se sont immédiatement jeté sur cet incident comme des charognards autour d’un morceau de viande avarié. Fidèles à eux-mêmes, ils en ont construit un narratif mensonger afin d’inculper les forces militaires russes et surtout le président de la fédération de Russie Vladimir Poutine. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est alors empressé de prendre la parole accusant Moscou de vouloir « répéter » la catastrophe de Tchernobyl. (!) Ce bouffon de pacotille était probablement si sincère, qu’il ne put s’empêcher de lire son texte écrit sur un bout de papier. « Aucun autre pays hormis la Russie n’a jamais tiré sur des centrales nucléaires. C’est la première fois dans notre histoire, la première fois dans l’histoire de l’humanité. Cet État terroriste a maintenant recours à la terreur nucléaire », a-t-il affirmé dans une vidéo publiée par la présidence ukrainienne. « Nous avons survécu à une nuit qui aurait pu mettre un terme à l’Histoire. L’Histoire de l’Ukraine. L’Histoire de l’Europe », a-t-il ajouté.
Les gouvernements, les organisations et les médias alignés sur les forces atlantistes construisent des mensonges afin de nuire et de détruire l’intégrité morale de Vladimir Poutine. Roxane Trudel et Laurent Lavoie écrivent dans le Journal de Montréal : « Le monde a retenu momentanément son souffle hier soir. Un bombardement russe a provoqué un incendie dans la plus grosse centrale nucléaire de l’Ukraine, peu après qu’une ville voisine eut été prise d’assaut. À la suite d’un bombardement, un édifice d’entraînement de la centrale Zaporijjia a pris feu, a indiqué Andreï Touz, un porte-parole des lieux qui compte six réacteurs et fournit 25 % de l’énergie du pays. Les pompiers peinaient à se rendre sur les lieux pour éteindre le début d’incendie, l’armée russe continuant de pilonner la place, a indiqué le maire, Dmytro Orlov. »
Les médias comme Le Figaro, Le Monde, Euronews, Le Parisien, Les Échos et TV5monde vont jusqu’à manipuler les images de la vidéo surveillance faisant croire à un bombardement à la centrale nucléaire, située entre le Donbass et la Crimée. Le Parisien va jusqu’à simuler des tirs en direction de l’un des bâtiments annexes. Par chance, il y a des gens qui sont sur place pour rétablir les faits réels. C’est le cas de Erwan Castel, volontaire dans la Brigade internationale Piatnashka de l’armée de la République Populaire de Donetsk qui — le jour même — a écrit et publié un rapport sur son site internet et que je vous transmet ci-dessous. Vous y verrez les images réelles et sans montage de la vidéo surveillance.
Cela dit, je réaliserai une entrevue en direct de Moscou avec le sniper Erwan Castel, dimanche le 13 mars prochain à 11H (Montréal) — 19H (Moscou) — 17H (Paris). Cette entrevue sera diffusée simultanément sur Youtube, Twitter et VKontakte. Je vous invite donc à ne pas rater ce rendez-vous !
« Cessez de régler le réveil de votre conscience sur les psalmodies de BFM TV, et venez sur le terrain au lieu d’ânonner bêtement les prêches des propagandistes mondialistes. À bon entendeur, salut. » — Erwan Castel
À propos de Erwan Castel (Кастель Ерван)
Né le 6 juin 1963, Erwan Castel rêve d’une « Europe aux cents drapeaux » dont l’unité serait fondée sur le respect de ses peuples natifs et fondateurs et la reconnaissance de leurs identités dans une vision fédérale fondée sur les principes de subsidiarité et de démocratie participative.
« Breton, polythéiste et européen », successivement officier parachutiste français, militant indépendantiste breton puis guide expédition en Amazonie française, il a décidé de rejoindre la rébellion du Donbass s’opposant à l’opération militaire lancée contre sa population russe en 2014 par les putschistes du Maïdan.
A l’issue d’études d’Histoire, Erwan Castel vit pendant 12 années une carrière d’officier au sein d’unités françaises spécialisées dans le renseignement aéroporté. Puis, il retourne en Bretagne pour militer au sein du mouvement culturel breton, notamment dans le sport et le chant traditionnels, avant de reprendre son sac à dos et de s’installer en Guyane française où il exercera le métier de Guide expédition en milieu amazonien pendant 14 ans.
Resté attentif à la tectonique géopolitique du monde, Erwan Castel qui s’est engagé depuis environ 25 ans dans un combat antimondialiste de plus en plus prononcé, décide au moment du Maïdan de dénoncer la propagande de guerre occidentale sur les réseaux sociaux où il essaye de ré-informer l’opinion. En juin 2014, il décide d’abandonner sa situation privée et professionnelle et de rejoindre le Donbass, ce qu’il réalisera en janvier 2015. Engagé début février 2015 dans l’armée de la République Populaire de Donetsk, il a servi sur les fronts de Debalsevo, Marinka, Dokuchaievsk et Donetsk avant de devenir volontaire en 2017 dans la Brigade internationale Piatnashka et servir sur le front de Yasinovataya en tant que sniper.
Opposé à toute forme de pensée unique (religieuse, économique, culturelle ou politique) et luttant contre la marchandisation du vivant engagée par une ploutocratie mondialiste amorale et criminelle, il inscrit ses principes et ses actes dans l’idéal d’une « révolution conservatrice » défendant la liberté des peuples à disposer d’eux mêmes et une subsidiarité ascendante des identités natives construisant un monde multipolaire. Il vit aujourd’hui au Nord de Donetsk à proximité de l’aéroport et se consacre exclusivement au travail de ré-information qu’il réalise seul, sur des blogs et les réseaux sociaux.
Halte au délire occidental !
Un rapport de Erwan Castel (4 mars 2022)
Depuis ce matin, je reçois des dizaines de messages concernant cette prétendue attaque russe sur la centrale nucléaire de Zaporodje, entre le Donbass et la Crimée, Qu’en est-il exactement de cette information farfelue et dont le seul but est de jeter de l’huile sur une russophobie de plus en plus délirante et de vouloir maintenir, après la gestion hallucinée du Covid, les populations occidentales dans une psychose servile.
Voici ce qui s’est passé réellement à 2h00 du matin sur le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje :
Ce que l’on voit ici, sur les images de la vidéo surveillance,
c’est une fusée éclairante arrivant près d’un bâtiment annexe
loin des infrastructures sensibles de la centrale nucléaire
et en aucun cas, comme le prétendent les « journalistes »
occidentaux, un missile ou un obus tiré contre la centrale !
Suite à l’arrivée au sol de la fusée éclairante un tout petit incendie s’est déclaré (ici sur la droite de l’image) et qui a été immédiatement maîtrisé par les servicesde sécurité incendie présents H24 sur le site.
Les explications :
À 02h00 du matin le détachement de la garde nationale ukrainienne est intervenu pour stopper l’incursion d’un groupe de paramilitaires nationalistes dans le périmètre de la centrale venus probablement y commettre un attentat pour accuser ensuite l’armée russe. un échange de tirs aux armes légères a eu lieu lors de cette interception, et pour sécuriser leur action les soldats ukrainiens ont probablement tiré cette fusée éclairante.
Ce n’est pas la première fois que des accrochages graves se font entre radicaux nationalistes et soldats réguliers ukrainiens et quelques heures plus tard, un autre échange de tir a eu lieu sur le périmètre défensif de Marioupol entre des soldats apeurés de la 56ème brigade ukrainienne et des radicaux excités du régiment « Azov ».
Une bonne capture d’écran d’une fusée éclairante anodine et
un titre sensationnaliste au service d’une psychose collective
organisée pour conditionner les populations à haïr la Russie.
Que venaient faire exactement ces radicaux nationalistes dans le périmètre de la centrale nucléaire de Zaporodje ? C’est cette question plutôt inquiétante qui aurait dû faire la Une des médias occidentaux au lieu de ce fatras de conneries russophobes avec lesquelles ils veulent achever par la peur les dernières bribes d’esprit critique et de bon sens qui auraient échappé au grand lessivage de la pensée unique.
À l’Est de Zaporodje, sur la rive gauche du Dniepr, se trouve à Ernegodar cette plus grande centrale nucléaire d’Europe, et les forces russes, conscientes du danger potentiel du site, ont développé une tactique d’approche adaptée:
- sans utiliser des armes lourdes capables d’endommager des infrastructures de fonctionnement de la centrale,
- en abordant le secteur par des axes décalés pour ne pas mettre l’installation nucléaire dans le prolongement des tirs potentiels.
Mais concernant la fusée éclairante de Zaporodje, et qui plus est, est tirée par un soldat ukrainien, les thuriféraires de la russophobie hystérique piétinant toute forme de raisonnement, négligeant de vérifier l’information, voire travestissant volontairement la vérité, ont développé un tel discours apocalyptique et servile qu’on est en droit de s’interroger sérieusement sur leur santé mentale…
Quant aux journalopes français ils sont comme d’habitude sont sur le podium de
l’imbécilité haineuse et servile, comme BFM TV, cette officine mondialiste de la
marchandisation du Monde et asile des BHL, Ackermann and Co ! :
Et pour information, voilà à quoi ressemble un vrai bombardement russe :
Antenne de télévision de Kiev détruite par un
missile russe le 1er mars, interrompant les
diffusions des télévisions ukro-occidentales.
Et que surtout les journalistes ensuite ne s’étonnent pas qu’en Ukraine, les antennes de télévision de la propagande de guerre ukro-atlantiste soient prises pour cibles par les forces russes car bombarder de tels incendiaires médiatiques relève plus d’un acte humanitaire que d’un acte de guerre !
Merci de ne pas paniquer: les russes ne sont pas des fous comme ceux qui ont détruit Hiroshima, le Vietnam, la Serbie, l’Irak, la Syrie, la Lybie etc.. et voulaient détruire le Donbass !
— Erwan Castel, 4 mars 2022
Source : Guy Boulianne
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