Au Québec, les Noirs ne représentent encore que 3% de la population, quoique les problèmes, tensions et complications occasionnés dans toutes les sphères de la société pourraient porter à croire qu’ils représentent un nombre beaucoup plus élevé.
3%, c’est 1 sur 33. Donc, dans les émissions, on ne devrait voir un Noir en tant qu’invité qu’une fois sur 33, pour respecter leur proportion véritable.
Pourtant, cela ne correspond aucunement à ce qu’on peut voir à la télé québécoise, dans des émissions de service et des talk-shows comme On va se le dire, Deux hommes en or ou Dans les médias.
Bien souvent, ils représentent 1 invité sur 4, 1 invité sur 3, 1 invité sur 2. Cela fait 10 fois, 15 fois plus que la place réelle qu’ils occupent dans la population générale! Cherchez l’erreur!
Aux États-Unis, les Noirs représentent 15% de la population, soit 5 fois plus qu’ici. Mais là aussi, on ne respecte pas les proportions réelles dans les médias, les téléséries et films.
Pourquoi une telle disproportion injustifiable?
Car de plus, au Québec, ce sont toujours à peu près les quelques mêmes Noirs de service qu’on nous apprête à toutes les sauces (on n’a pas à les nommer).
C’est comme si ces 5 Noirs étaient doués d’une vaste culture universelle, de compétences et d’une vision des choses leur permettant de se prononcer sur tous les sujets imaginables, sur tous les enjeux de société existants, comme s’ils étaient de grands penseurs, des connaisseurs, des érudits, des experts, des sommités. Et c’est sans parler qu’ils ne représentent en rien l’ensemble de la communauté noire, un rôle qui leur est tacitement attribué. Alors, au nom de quoi faudrait-il leur accorder une telle tribune pour se prononcer sur tout et rien?
Cette prétention à se prononcer sur tout comme de soi-disant personnes plus éclairées que d’autres fait contraste à ce qu’affirmait l’un des co-animateurs de couleur de l’émission Deux hommes en or (paraîtrait que Télé-Québec songe sérieusement à en changer le nom pour « Deux hommes en noir »). Il a déclaré en substance: « lorsque j’étais à l’âge de choisir ce que je ferais dans la vie, la chose la plus importante était que je n’ai pas à me servir de mon cerveau » (!).
Le même brave garçon demanda dernièrement à l’un des invités quelles étaient les personnalités surexposées à la télé: pour s’expliquer, il avoua candidement qu’il était lui-même l’une d’entre elles, bien conscient de n’être choisi qu’en raison de sa condition de minorité visible.
Et c’est exactement le même genre de surreprésentation qui prévaut dans les commerciaux. Pour respecter leur pourcentage de 3% de la population, on devrait s’attendre à voir des Noirs dans un pub 1 fois sur 33, alors que dans les faits cela oscille entre 80 et 100% du temps. Cela représente de 20 à 35 fois trop! Comme si le Québec était devenu une espèce de prolongement de la diaspora africaine ou le champ de bataille des méchants wokes anti-Blancs!
Le meilleur test pour se faire une idée de cette exagération est simple d’application: zappez les 4 chaînes québécoises à la suite (Télé-Québec, Radio-Canada, TVA, Noovo); vous devez vous attendre à voir des Noirs sur 2, 3 ou 4 de ces chaînes en même temps!
Faites cet autre test tout aussi révélateur et consternant: à la télé, lorsqu’arrivent les 5 minutes de commerciaux, comptez combien vous aurez vu de Noirs dans ce court laps de temps. Soyez certains qu’il y en aura entre 1 et 6 par commercial!
Et vous aurez sans doute remarqué la tendance actuelle qui consiste à montrer un couple homme noir/femme blanche enceinte ou tenant dans ses bras un bébé noir, le tout étant présenté comme un exemple à suivre qui va de soi.
Prenez cette pub de la pharmacie Brunet qui nous montre comme si de rien n’était un grand-père québécois pure laine tenant son petit-fils de race noire; à l’autre bout de l’ilôt de cuisine, on voit la mère québécoise avec un second bébé jumeau de race noire, et entre deux, le père noir se tenant debout au-dessus d’eux. Le message subliminal est dégoulinant de mauvaise foi.
La même chose vaut pour la pub des aliments Hellofresh. On voit assis à la table 1 père blanc, 1 épouse noire, et 2 enfants noir aux cheveux crépus. 3 Noirs sur 4 en même temps!
C’est le monde à l’envers: pour prouver qu’on n’utilise pas que des Blancs dans les publicités, on en est rendu à ne plus montrer que des Noirs!
Mais pourquoi fausse-t-on à ce point les choses, pourquoi imposer une telle visibilité non conforme à répétition? Pourquoi tant de distortion du portrait général de la population québécoise? Ne cherchez pas plus loin, c’est qu’il y a propagande sous roche…
Et pas n’importe quelle propagande, la propagande diversitaire véhiculant une idéologie de manière subliminale, la pire de toutes, la plus sournoise.
Donc, chaque fois que verrez des Noirs dans une proportion plus grande que 3% ou 1 sur 33, dites-vous que vous venez d’être la cible non consentante de basse propagande diversitaire, celle vise qui le remplacement graduel de la population de souche par des étrangers issus des pays sous-développés. C’est de la manipulation mentale.
Le fait d’exhiber des minorités visibles avec tant d’insistance ne les fera pas aimer ou accepter davantage par la population. Même que c’est l’effet contraire qui risque de se produire. En effet, les gens ne voient que trop bien l’insistance qu’on a à utiliser une disproportion de Noirs qui ne correspond pas le moins du monde à leur réalité quotidienne.
Car ce martèlement intrusif peut être perçu par plusieurs comme de l’intrusion outrancière dans nos foyers, un peu comme si une tribu de papous ou d’indiens décidait de venir établir son campement dans notre salon à demeure. Qui en voudrait?
Pour mieux comprendre, procédons par analogie. S’il y avait le même nombre de travestis que de Noirs au Québec, faudrait-il alors leur accorder une vitrine quotidienne équivalente dans tous les médias? Les verrions-nous alors apparaître, ces travestis grimés, en annonceuse météo comme Colette Provencher ou en lecteur de nouvelles comme Pierre Bruneau, dans une pub de Maxi aux côtés de Martin Matte, en assistant réno d’Hugo Girard, comme co-animateur de Patrick Lagacé, dans un rôle d’enquêteur aux côtés de Geneviève Brouillette dans District 31? Cela leur mériterait-il une tribune pour se prononcer sur tout et n’importe quoi?
J’ai déjà fait la démonstration dans d’autres articles expliquant pourquoi il est important qu’au Québec tous les médias doivent représenter uniquement la majorité, le peuple dont c’est le pays natal, et pas tout une quirielle de minorités piailleuses avides de vitrines à déversement de fiel anti-Nous, et qui cherchent par tous les moyens à empiéter sur ce qui est Nous. Nous devons demeurer l’unique point de convergence de toute la société, le seul modèle à imiter. Tout doit tendre vers nous. Parce qu’on est chez nous.
La situation actuelle qui prévaut dans les médias fait en sorte qu’on a choisi d’accorder la préférence aux Noirs en tant que minorité visible favorisée. Ce serait bien entendu tout aussi questionnable si on insistait pour nous montrer en long et en large des arabes, des hindous, des latinos, des asiatiques et tout autres extra-occidentaux, qui ne reflètent en rien la population générale.
Soyons honnête, en connaissez-vous beaucoup qui recherchent la compagnie des Noirs, ou qui ressentent le besoin de demander leur opinion sur quoi que ce soit, ou à n’importe quel tiers-mondiste par extension? Avez-vous jamais entendu dire: « je vais m’en remettre à un Noir pour me faire une juste idée de telle situation » ou « il est vraiment nécessaire qu’un musulman m’explique ce que je dois penser de tel enjeu actuel » ou encore « j’ai besoin qu’un sikh hindou me conseille pour prendre une décision importante, faire un choix éclairé »?
Non, au Québec, cela prend des gens d’ici qui possèdent la capacité de refléter les diverses nuances d’opinion de la majorité native dont on veut débattre, en accord avec nos valeurs et notre point de vue occidental et spécifiquement québécois, pas celles d’étrangers des pays sous-civilisés dont nous n’avons que faire et dont les opinions ne sauraient avoir aucune espèce d’intérêt à nos yeux. C’est une simple question de degré de civilisation à respecter, de niveau de société à maintenir. La nôtre.
Note: toutes les photos ont été prises par l’auteur aujourd’hui même dans le quartier Saint-Jean-Baptiste de Québec annonçant un spa local avec une baigneuse de race noire (100% de l’espace accordé à une autre race que la nôtre). Le Québec fera-t-il bientôt partie de l’Afrique? « Outfront » est une compagnie d’affichage extérieur canadienne anglaise, donc cautionnant l’idéologie multiculturaliste.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec