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par Vincent Gouysse.
Au printemps 2021, le Ligue contre le cancer sonnait déjà l’alarme : il fallait s’attendre à « une explosion de nombre de décès dans les années à venir ». En cause, le non diagnostic de 90 000 cancers pour la seule année 2020 en raison d’un « dépistage largement insuffisant ». Il y a quelques jours, la Ligue contre le cancer sonnait de nouveau l’alarme.
Le constat est similaire de l’autre côté de l’Atlantique : les mass-médias américains jugent en effet que la pandémie de Covid-19 « a porté un coup terrible aux services de santé préventifs » et « a profondément perturbé les dépistages du cancer ». Ils avertissent déjà que « notre prochaine explosion sera celle des maladies chroniques avancées » : « ce sera la prochaine explosion du nombre de patients qui submergera notre système [de santé] » et qui « pourraient engendrer la prochaine crise sanitaire aux Etats-Unis ».
A écouter les mass-médias inféodés au Capital financier Occidental, les populations doivent donc d’ores et déjà s’attendre à une recrudescence sans précédent des diagnostics de cancers dans les années à venir, et la hausse pourrait prendre les proportions d’une vague capable de mettre à rude épreuve les systèmes de santé… Personne ne devra être surpris de voir les cancers fleurir dans son entourage proche, et cela en raison du défaut de diagnostic précoce induit par la pandémie sanitaro-sécuritaire. Tel est du moins le message officiel préventif diffusé dès aujourd’hui…
Selon nous, la recrudescence de cancers à venir, ne devra au contraire surtout pas être imputée au seul manque de dépistage : il faudra également évaluer dans quelle mesure les campagnes d’injections expérimentales de masse et ses potentiels effets secondaires à long terme contribueront à l’explosion des cancers !
Nous ne pouvons donc conseiller aux médecins de la Résistance qu’une seule chose : faire consciencieusement usage du « groupe témoin » que constituent les non-vaccinés, puisqu’il devrait échapper à l’extinction, la politique vaccinale ayant désormais du plomb dans l’aile.
Il s’agira d’observer et de recenser eux-mêmes précisément les diagnostics de cancers, et en particulier de se renseigner sur le statut vaccinal des patients, afin de pouvoir chiffrer une éventuelle surreprésentation des vaccinés Covid-19 dans les nouveaux diagnostics de cancers…
A en croire les données du système de veille sanitaire de l’Armée américaine révélées en janvier 2022 par trois médecins lanceurs d’alerte de l’US Army, les injections expérimentales (qui concernaient 96 % des effectifs de l’armée américaine au dernier trimestre 2021) ont d’ores et déjà eu des conséquences sanitaires cataclysmiques :
« Le nombre de maladies déclarées dans l’armée en 2021, tout critère confondu, était en moyenne de 1,7 millions de 2016 à 2020. Cette incidence du nombre global de pathologies est passée à 22 millions sur les 11 premiers mois de 2021 ».
A eux seuls, les diagnostics de cancers sont passés « de 38 700 cas par an en moyenne sur cinq ans (2016-2020) à 114 645 cas au cours des 11 premiers mois de 2021 ».
Devant la publication de ces données bien embarrassantes, les autorités américaines ont réagi en deux temps : d’abord en manipulant à la baisse les données de 2021, puis ces manipulations initiales ayant été ébruitées, en prétextant ensuite la sous-déclaration systémique des maladies recensées au cours des années précédentes en raison d’un « bug informatique »…
« Les avocats qui plaident contre les mandats de vaccination auprès du sénateur Ron Johnson, indiquent que le DoD manipule frauduleusement les données statistiques de santé de l’armée américaine à la baisse. Leigh Dundas de préciser : « En Août (2021), qd on recherchait la myocardite aigüe sur le site du DoD, il y avait 1 239 cas, mais maintenant quand on le consulte, il n’y en a plus que 307. La même avocate rajoute qu’en janvier 2022 (La vidéo date de fin janvier 2022), il y avait 176 cas et puis comme par magie, ils sont maintenant descendus à 17. Il y a un mot pour cela, ce n’est pas de la suspicion ».
« S’il est curieux que personne ne se soit rendu compte de ce bug auparavant, il est encore plus surprenant d’observer que ces changements n’ont concerné que les pathologies pour lesquelles le vaccin aurait pu être la cause d’événements indésirables. En effet, des pathologies comme la maladie de Lyme n’ont fait l’objet d’aucun ajustement. Suite à ces événements, le sénateur Johnson s’est emparé du dossier en écrivant une lettre au secrétaire de la Défense Lloyd Austin, le 24 janvier 2022, suite aux allégations selon lesquelles les données auraient été falsifiées, lui demandant de conserver tous les documents se rapportant aux données enregistrées dans le DMED ».
Quels que soient les trafics statistiques intéressés des autorités US, des médecins et des scientifiques américains font déjà le lien entre les injections expérimentales et la recrudescence des cancers :
« Étayant les propos du docteur Cole, le sénateur Johnson raconte avoir été joint par des soignants qui ne veulent pas se faire vacciner après avoir observé la reprise rapide de certains cancers en rémission chez leurs patients. Selon la scientifique Theresa Parks, ce phénomène pourrait s’expliquer par la dérégulation immunitaire que ces injections pourraient provoquer notamment au niveau de la protéine P53, un anti-oncogène qui se lit à l’ADN pour favoriser l’expression de gènes pour réparer les dommages cellulaires. Cette protéine, dont le rôle est d’empêcher les cellules endommagées de se transformer en cellule cancéreuse, pourrait interagir avec la protéine Spike vaccinale, et ne plus de jouer son rôle de catalyseur de tumeur notamment en induisant l’apoptose (suicide des cellules) ».
Nous rebondirons sur cette remarque pour conseiller aux vaccinés craignant pour l’intégrité de leur système immunitaire et ne voulant pas vivre les prochaines années avec une épée de Damoclès au-dessus de leur tête, de couper le cordon avec la propagande du lobby politico-médiatique inféodé à Big Pharma, et de reprendre en main autant que possible leur propre santé. En ce qui concerne la prévention des cancers et pour ceux dont le système immunitaire serait par exemple durablement affaibli par les injections expérimentales à répétition, nous conseillons une chose simple : au moins une cure annuelle de tisane d’artemisia annua, celle-ci étant jugée comme particulièrement prometteuse sous cet angle par des scientifiques indépendants d’un lobby qui a prouvé, comme l’a démontré encore récemment l’avocat américain Robert Kennedy Jr dans un ouvrage d’investigation dont l’édition française a été préfacée par Christian Perronne, qu’il était entré dans une « guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique ». Il ne faudra en effet pas compter sur Big Pharma et ses sbires pour étudier sérieusement et faire la promotion des propriétés apoptotiques de l’artemisia annua…
En ayant en vue la guerre des chiffres qui fait déjà rage aux USA, il apparaît évident qu’il ne faudra pas non plus compter sur les organismes gouvernementaux de santé publique pour investiguer sérieusement sur les causes réelles des cancers dans les années à venir, car cela pourrait occasionner bien des procédures judiciaires à l’encontre de Big Pharma et des politiciens à sa solde… Si les graves effets secondaires à moyen et long terme des injections expérimentales venaient à être confirmés, cela poserait en effet un problème d’une toute autre ampleur que la seule inefficacité sanitaire, désormais avérée, des campagnes de « vaccination » expérimentales…
Le cas de l’Ecosse, qui publie régulièrement ses données, est hautement révélateur de la piètre efficacité réelle des injections expérimentales visant à faire produire la protéine spike. Alors que le nombre d’hospitalisations pour COVID-19 chez les non-vaccinés a baissé de 24 % à 412 hospitalisations pour la période s’étalant de 8 janvier au 4 février 2022 par rapport à la période précédente (du 11 décembre 2021 au 7 janvier 2022), le constat est très différent pour les triple vaccinés : le nombre d’hospitalisations chez ces derniers a augmenté de près de 88 % à 1 430 hospitalisations. Sur la période du 8 janvier au 4 février 2022, les non-vaccinés ont compté pour 15 % des cas de Covid-19 diagnostiqués et 16 % des hospitalisations. Du 1er au 28 janvier 2022, les non-vaccinés ont également représenté 14 % des décès enregistrés à l’hôpital, contre près de 57 % pour les triple vaccinés et 28 % pour les double vaccinés. Comme on le voit, la protection offerte par les injections expérimentales, que ce soit pour la prévention des infections ou des formes graves et létales, est aujourd’hui quasiment inexistante…
Et l’Ecosse est loin d’être l’exception : en Israël, les voix se multiplient également pour déclarer que la vaccination ne protège ni de l’infection, ni des formes graves… Il n’y a guère plus qu’au Canada et qu’en France, où la dictature sanitaro-sécuritaire emmurée dans le mensonge s’obstine encore à déclarer que la vaccination expérimentale et le pass vaccinal ont encore une utilité autre que la politique répressive d’apartheid des dissidents politiques…
Vincent Gouysse pour www.marxisme.fr
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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