Le soutien délirant apporté par Soros à la « supériorité étasunienne » est semblable à celui du gouvernement étasunien, mais il s’agit d’un concept décrépi, qui perdure malgré le fait que l’ère de l’unipolarité a disparu à jamais.
George Soros, le philanthrope milliardaire et tristement célèbre financier des Révolutions de Couleur, qui a amassé sa fortune en pratiquant la spéculation financière, et supposément en manipulant les marchés monétaires internationaux, a déclaré ouvertement ses intentions quant à un changement de régime en Chine. Il a fait paraître un texte dans Project Syndicate, sous le titre « Les Défis de la Chine », qui est empli du début à la fin de théories complotistes et d’éléments relevant de la guerre de l’information. Il s’agit de l’ouvrage d’un homme psychotique, visiblement obsédé par le dénigrement et le renversement de gouvernements.
Dans l’imagination de Soros, le président Xi Jinping est « la plus grande menace à laquelle les sociétés ouvertes se trouvent aujourd’hui confrontées ». Ce propos, dans son esprit tordu, fait supposément suite à l’utilisation par la Chine d’Intelligence Artificielle (IA) pour assurer la sécurité nationale intérieure. La croissance économique du pays, que le Parti Communiste de Chine (PCC) a réussi à gérer avec brio au cours des décennies passées semble également avoir empli Soros de jalousie.
C’est la raison pour laquelle il s’est plaint que « « lorsque je me suis embarqué dans ce que j’appelle ma philanthropie politique au cours des années 1980, la supériorité étasunienne n’était sujette à aucun débat » ». Bien qu’il soit né à l’étranger, Soros reste un partisan inconditionnel de l’idéologie désuète du soi-disant « exceptionnalisme étasunien », qui prêche la « supériorité » auto-déclarée des États-Unis sur le reste du monde. C’est cette croyance qui est en réalité « la plus grande menace à laquelle les sociétés ouvertes se trouvent aujourd’hui confrontées », car elle continue d’œuvrer de manière agressive à déposséder les autres pays de leur souveraineté.
Dans un monde véritablement ouvert, et caractérisé par des tendances émergentes à la multipolarité, chaque pays devrait disposer du droit de gérer ses affaires intérieures — qu’elles soient politiques, économiques, de sécurité, etc — à son gré, selon sa culture, son histoire, ses intérêts et ses traditions. Mais selon la conception tordue entretenue par Soros de ce concept, tout le monde doit souscrire au modèle étasunien, imposé à tous, sous peine de subir de graves conséquences. Il s’agit d’une perversion semblable au concept étasunien d’« ordre international fondé sur des règles ».
Cet unilatéralisme sous-tendu d’idéologie, qui vise à promouvoir les intérêts propres des États-unis aux dépens des autres, est l’élément qui caractérise véritablement les concepts entretenus par Soros et reliés entre eux, de « société ouverte », et l’« ordre international fondé sur des règles » de son pays adoptif. L’obscur milliardaire va bien au-delà des mots, car son « Open Society Foundation » (OSF) dispose d’un historique avéré de financement, d’organisation et de soutien à des mouvements de manifestations utilisés comme armes dans les Révolutions de Couleur, un peu partout dans le monde.
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La provocation de Soros, relevant de la guerre de l’information, est à interpréter dans ce contexte stratégique général. Les États-Unis sont tellement désireux de faire échouer l’Esprit Olympique que les éléments comme Soros, dont le cerveau a été lavé par l’idéologie officieuse de l’« Exceptionnalisme Étasunien », ainsi que ses vues ouvertement suprémacistes, se sentent obligés de faire tout leur possible pour gâcher la fête mondiale. Bien entendu, ils ne vont pas y parvenir, mais il est extrêmement grossier de leur part de s’y essayer. C’est également indigne, surtout avec les théories conspirationnistes énoncées par Soros, qui le décrédibilisent.
Par exemple, il fantasme sur un PCC se retournant contre le président Xi, en dépit du fait que le parti est solidement debout derrière son dirigeant, qui est au cœur du mouvement. Son scénario imaginaire d’une révolte populaire déclenchée par une soi-disant « crise du marché immobilier » est tout aussi ridicule, et peut également être interprété comme un sombre fantasme politique. Aucune personne avançant de telles choses ne devrait être prise au sérieux. La confiance dont il fait preuve en éructant ses théories du complot suggère qu’il est désormais véritablement dérangé mentalement.
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