Si vous lisez mes analyses covidiennes depuis leur commencement, vous savez qu’elles n’ont jamais versé dans les théories du complot les plus extrêmes. Par exemple, l’hypothèse du virus artificiel répandu intentionnellement, je l’ai précisément considérée comme telle : une simple hypothèse non démontrée. Et celle du vaccin délibérément conçu pour tuer à des fins génocidaires, je ne l’ai même pas évoquée pour ne pas apeurer inutilement. Pas question pour moi de reproduire en miroir les suppositions alarmistes et le discours terrorisant que je reproche vigoureusement aux tenants du covidisme. Je m’attache aux faits et aux réalités vérifiables sans m’embarquer dans des spéculations relatives à une obscure conspiration criminelle. Cela étant dit, je me méfie de ma propre naïveté et je n’écarte pas non plus la thèse d’une sombre machination ourdie par des ennemis du genre humain ne répugnant pas à commettre des meurtres pour arriver à leurs fins. Cette pseudo-pandémie était tellement attendue et scénarisée dans ses moindres détails (rapport de la Fondation Rockfeller en 2010, Event 201 en octobre 2019, appel au Great Reset en 2020…) qu’on peut imaginer que la déferlante totalitaire qui a suivi a été voulue et orchestrée par des âmes noires capables de tout, et notamment de commanditer des assassinats.
Ma réticence à envisager de tels agissements est cependant sincère. En 2016, par exemple, je n’ai pas suspecté que la mort de Claire Séverac puisse ne pas être naturelle. L’auteure de « La guerre secrète contre les peuples » était visiblement en mauvaise santé et son décès par cancer fulgurant ne m’a pas paru étonnant. Idem pour Corinne Gouget, l’infatigable dénonciatrice des additifs industriels dont je n’ai jamais cru que le suicide en 2015 était une mise en scène, tant sa vie privée était un désastre et lui donnait des motifs d’en finir. Je n’ai pas changé d’avis pour ces deux disparitions et il m’en faudrait beaucoup pour modifier mon opinion. Mon scepticisme ne m’empêche cependant pas de concevoir l’éventualité que je me trompe. Et aujourd’hui, ma propension à repousser les soupçons d’homicides ne m’empêche pas d’accepter leur plausibilité. Depuis deux ans, la « crise sanitaire » est en effet parsemée de cadavres dont la réduction au silence arrange trop bien ceux qui ont fourni les réponses. Des voix dérangeantes se sont tues alors qu’elles auraient pu représenter une menace pour le récit officiel et apporter un argumentaire solide contre les gouvernements, leurs mesures liberticides et leur jusqu’au-boutisme vaccinaliste. Ces décès sont-ils fortuits et relèvent-ils de la coïncidence ? Je ne nie pas que ce soit possible mais je conjecture que leur accumulation n’est peut-être pas le résultat du hasard et qu’on découvrira peut-être un jour que des crimes ont été déguisés en trépas inopinés. Tant pis si on me traite de conspirationniste parano, j’assume : voici une liste de disparitions qui ont alimenté ma suspicion et qui me font penser qu’il s’agit d’éliminations habilement camouflées.
Kary Mullis
À tout gêneur tout honneur : Kary Mullis est officiellement décédé d’une pneumonie en plein été, le 4 août 2019, à l’âge de 74 ans. Ce biochimiste américain était l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase, pour laquelle il a reçu le Prix Nobel de chimie en 1993. Or ce brillant savant était le premier à dire que la technologie PCR ne pouvait pas être employée à des fins diagnostiques. Plus grave aux yeux de l’establishment : l’homme de science avait rejoint le camp des « dissidents du sida » et avait même signé la préface du livre de Peter H. Duesberg (« L’invention du virus du sida »), ce rétrovirologue californien qui a toujours affirmé que le VIH est innocent dans le syndrome d’immunodéficience acquise. Comme l’auteur de ce brûlot, le préfacier soutenait que les preuves de la culpabilité virale étaient impossibles à trouver dans la littérature médicale.Kary Mullis aurait-il fait partie des « coronasceptiques » soulignant que le Sars-Cov-2 n’a jamais été isolé dans les règles de l’art et que le lien de causalité avec la grippe covid est loin d’être établi ? On peut l’imaginer a posteriori. Ce qui est sûr, c’est que le père de la PCR aurait été outré que son œuvre soit détournée pour fabriquer une « pandémie de cas ». Dans l’hypothèse d’une crise préméditée et planifiée, sa disparition soudaine quelques mois avant que les premières pneumonies atypiques ne soient signalées en Chine est tout bonnement providentielle. Son refroidissement fatal empeste plutôt la décision de le refroidir préventivement.
David Crowe
De son vivant, Kary Mullis a très certainement croisé la route de David Crowe, engagé lui aussi dans les rangs des « repenseurs du sida ». Ce scientifique canadien en assumait même la présidence depuis plusieurs années. Dès le début de la mascarade, il est monté au front et a écrit des articles très critiques sur le test PCR, son manque de spécificité et sa tendance à produire énormément de faux positifs par ses cycles d’amplification excessifs. Au moment où le monde entier croyait encore que ce procédé permettait de dépister de vrais malades, ses analyses pointues et à contre-courant ne pouvaient manquer d’embêter les autorités. Pour rappel, la revue Néosanté a publié dans son numéro de juin 2020 un article de David Crowe intitulé « La grande illusion des test PCR ». Ce texte faisait partie d’un travail plus vaste que le scientifique diffusait sur le blog The Infectious Myth. Nous allions en traduire et publier d’autres chapitres lorsque nous avons appris la disparition brutale de son auteur, fauché en juillet 2020 par un cancer fulminant. Fin juin, sur une station radio, Crowe partageait pourtant son expérience de la maladie et confiait son espoir d’en être bientôt sorti. Cette rapide aggravation estivale a été aussi bizarre que le déclenchement de la pathologie au printemps. Trop étrange pour être totalement naturelle ? Avec celle de Mullis, sa disparition a en tout cas privé la résistance anticovidiste de l’un de ses pionniers les plus qualifiés.
John Magufuli
Si ce nom ne vous dit plus rien, c’est celui de l’ancien président tanzanien. Cet homme mérite un hommage posthume car il a osé, dès ses prémisses, contester la gravité de l’épidémie en Afrique et rassurer ses compatriotes. Avec le recul, les faits lui ont entièrement donné raison.Mais c’est surtout son coup d’éclat de mai 2020 qui restera dans les mémoires : il a fait tester par PCR des échantillons de pulpe de papaye et de salive de chèvre qui sont revenus positifs du laboratoire. D’autres expérimentateurs amateurs ont montré que la réaction en chaîne par polymérase pouvait faire réagir d’autres substances, par exemple de l’eau du robinet ou de la compote de pommes. Mais en tant que chef d’état respecté, Magufuli pouvait faire capoter toute la politique de testing dans son pays et, par ricochet, sur le continent africain. La vidéo où il annonce les verdicts du labo était devenue virale et risquait de faire école. Dans l’optique d’une opération psychologique sous couverture pandémique, sa mort en mars 2021 à l’âge de 62 ans seulement est plus que suspecte. Officiellement, il a succombé à une défaillance cardiaque à l’hôpital où il était soigné depuis le mois de février.Ses opposants et des journalistes locaux ont insinué qu’il était atteint lui-même du covid. Or il n’y avait à cette époque en Tanzanie que quelques dizaines de décès recensés (pour 796 au jour d’aujourd’hui). On ne me fera jamais croire que le virus a eu le génie de frapper précocement le dignitaire tanzanien qui se riait de lui et invitait à l’insouciance. Quant aux problèmes de cœur, ils peuvent très bien être stimulés ou simulés par un empoisonnement.Le décès-surprise de Magufuli m’a fait songer que John Le Carré puisait l’inspiration de ses romans dans de sordides affaires réelles.
Serge Rader
Un arrêt cardiaque, c’est aussi la cause de la mort en mai dernier de Serge Rader, pharmacien français considéré par les médias comme « la figure de proue des antivaccins ». Il avait contracté le covid en Guadeloupe mais en était guéri, selon sa famille qui a qualifié de « connerie » la rumeur de son décès dû à la maladie. Défenseur des traitements précoces comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine,il avait appelé au boycott des vaccins anticovid etétait apparu dans le documentaire Hold-up pour fustiger la stratégie vaccinaliste. Avec la députée européenne Michèle Rivasi, Serge Rader avait écrit en 2015 la livre « Le racket des laboratoires pharmaceutiques ». Mais il était surtout le co-auteur, en 2017, de l’essai « Vaccins : oui ou non ?», cosigné avec les chercheurs italiens Stefano Montanari et Antonietta Gatti. C’est dans cet ouvrage qu’a été révélée au public francophone la présence de nanoparticules dans les vaccins. Analyses chimiques et photos au microscope électronique à l’appui, les deux scientifiques transalpins ont démontré que des impuretés nanoparticulaires étaient présentes dans de nombreux cocktails vaccinaux inscrits au calendrier. Révélation impardonnable ? Il est en tout cas curieux que le pharmacien « antivax » décède subitement, à 68 ans,au moment où des traces de graphène et d’autres nanomatériaux sont repérés dans les fioles anticorona.
Andreas Noack
L’oxyde de graphène était précisément ce qui préoccupait au plus haut point Andreas Noack, Contrairement à une fake-news ayant circulé sur la toile, ce docteur en chimie autrichien n’a pas succombé fin novembre à une agression physique à son domicile. Il est mort d’une attaque cardiaque à l’hôpital après y avoir été emmené d’urgence.Selon sa jeune épouse, cela faisait cependant quelques jours que le scientifique se sentait mal. Il avait fait une première crise au cours de laquelle il avait vomi, ne pouvait plus parler et se sentait comme paralysé.Coïncidence très troublante, ce gros pépin de santé – plutôt insolite chez un robuste quinquagénaire – est survenu le lendemain de la publication d’une vidéo « explosive » dans laquelle Noack dénonçait à son tour la présence de graphène dans les injections covid. Selon lui, les nanoparticules de ce matériau pouvaient être comparées à des « lames de rasoir » faisant des ravages dans le sang des vaccinés. Il lâche cette bombe et le lendemain, sa santé se dégrade brutalement.Trois jours plus tard, c’est l’infarctus fatal. Hasard chronologique ? Moi, je veux bien. Mais comment interpréter le fait qu’en novembre 2020, le domicile d’Andreas Noack avait été pris d’assaut par des policiers en tenue de combat, scène surréaliste qui a été filmée puisque le chimiste était en plein Facebook live ? La police autrichienne avait ensuite expliqué que cette intervention musclée était une erreur sur la personne. Et si c’était plutôt de l’intimidation annonçant la couleur ? Selon les spécialistes du sujet, certaines armes à fonctionnement électromagnétique peuvent provoquer les symptômes ressentis par la Noack et entraîner un arrêt du cœur à retardement.
Domenico Biscardi
Généticien et pharmacologue, le Dr Domenico Biscardi est décédé en janvier dernier. Officiellement, lui aussi, d’une crise cardiaque. Il était connu en Italie pour son travail axé sur les vaccins anticovid. Avec ses vidéos, il était devenu une icône de la résistance en Italie. À l’instar de la Quinta Columna en Espagne, il avait dénoncé la présence de composants nanotechnologiques dans les vaccins Pfizer. Selon certaines sources, il s’apprêtait à déposer une plainte contre la Commission Européenne en fournissant les preuves de ses accusations. Quelques jours à peine avant son décès, il avait enregistré une vidéo où il disait avoir la certitude que des « nanodispositifs de technologie inconnue » était contenus dans les injections expérimentales. C’est quand même fou ce que les porteurs de tels propos ont tendance à être fragiles du cœur…
Franco Trinca
Ce septième cadavre dans le placard est celui qui m’a décidé à faire part de mes soupçons : Franco Trinca est mort le 3 février dernier. Ce biologiste italien avait été hospitalisé en janvier pour covid, avec une pneumonie bilatérale.Victime comme tant d’autres de la maladie ? C’est très possible et même assez certain. Sauf que Trinca était lui-aussi une figure emblématique du mouvement « antivax » en Italie. En septembre, il était passé dans une émission télévisée pour y vanter l’immunité naturelle, l’apport de micronutriments pour la soutenir et le recours à la chloroquine en cas d’échec. Il se disait en pleine forme et persuadé de disposer d’un système immunitaire performant. Bref, pour quelqu’un qui voudrait discréditer la dissidence et torpiller les alternatives au vaccin, c’était la cible idéale. Et en plus, suffisamment jeune (70 ans) pour effrayer les récalcitrants.Peut-on assassiner en provoquant une pneumonie ?Il est en tout cas notoire que certains poisons peuvent engendrer une détresse respiratoire, il suffirait de demander aux époux Skripall si quelqu’un les retrouve. Dans mes réflexions « complotistes », j’en arrive à me demander si l’attaque en 2018 de ces anciens agents russes n’était pas le banc d’essai d’une arme secrète destinée à servir ultérieurement pour trucider discrètement en imitant une maladie pulmonaire. Et si ça se trouve, Kary Mullis aurait été le deuxième test montrant aux assassins que la technique était au point. Mes détracteurs vont évidemment dire que je divague mais je leur rétorque déjà que l’imaginable est généralement réalisable. Pour preuve,« on » a réussi à affoler le monde et à le faire basculer dans le totalitarisme sanitaire sur base d’une grippe saisonnière légèrement plus sévère que d’ordinaire.
Source : Néo Santé
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