Photo : Jo Panuwat D/Adobe Stock
Hier Santé Québec nous annonça que le 7 février 2022 les lieux de culte seront rouverts à 50 % de capacité et le « passport vaccinal » sera requis pour l’entrée. Que penser de cette politique ?
La réponse dépendra de notre compréhension de la situation actuelle. Dans les deux dernières années, combattions-nous bec et ongles contre un virus on ne peut plus mortel qui risquait de décimer le peuple québécois? Ou bien combattions-nous plutôt une cabale de milliardaires de tendance anti-chrétienne qui, ayant planifié l’instrumentalisation d’une pandémie à des fins financières et idéologiques, nous bombardent nuit et jour de propagande alarmiste et anxiogène ? Vous le savez bien qu’à Campagne Québec-Vie, ayant soupesé ces longs mois plusieurs hypothèses, nous avions tendance à maintenir, selon toutes les évidences à notre disposition, qu’il s’agit plutôt de la deuxième alternative qui est la plus conforme à la réalité. Il est vrai que nous pourrions avoir tort dans cette affirmation qui ne relève pas de la foi, mais de l’expérience; cependant, nous n’avons pas le choix que de porter un jugement sur ce que nous voyons et ressentons, et d’agir en conséquence.
Cela dit, le passeport vaccinal, vu comme un outil de contrôle social dont l’implantation n’attendait qu’un événement déclencheur telle la « crise » artificielle que nous vivons, se doit d’être vu également du point de vue de la foi : sous cet aspect, le passeport vaccinal ne semble être rien d’autre qu’un substitut anti-christique pour le baptême. Hors du vaccin, point de salut, le passeport sanitaire attestant aux autorités la salubrité sociale, physique et idéologique du détenteur. Voyez-vous, selon les dominants de ce monde, l’homme n’aurait pas été suffisamment nettoyé par le baptême, bien au contraire : ce sacrement que le Christ nous a donné, selon eux, salirait l’homme davantage, lui donnant de faux espoirs, le rendant « haineux » par rapport aux comportements « progressistes » et le rendant difficile à manipuler. L’homme demeurerait, selon eux, trop sale, mauvais et imprévisible. Il lui faut donc un nouveau, meilleur baptême, il lui faut un vaccin et une identification unique. Si par le baptême du Christ le nom de l’homme est inscrit dans le livre de la Vie (Apocalypse 20:15), par le vaccin salvateur son nom sera inscrit dans la banque de données du système de santé sociale mondial, seule manière de dompter finalement l’humanité et d’avoir, enfin, la « paix sur la terre » !
Mais comme tous les mensonges du Prince de ce monde, cette « paix universelle » ne sera qu’une prison à aire ouverte, menant à la perdition de l’homme. Car s’il est menteur, le démon est finalement meurtrier (Jean 8:44). Il ne cherche qu’à nous perdre, par le moyen de notre propre orgueil et nos prétentions à tout régir et contrôler, sans l’aide de Dieu.
Comment résister à la bête (c. f. Apocalypse 13:1-4) qui s’érige devant nous ? Cette bête veut nous marquer de son sceau vaccinal; elle veut nous forcer à nous injecter d’un produit fabriqué à l’aide d’enfants à naître meurtris. Cette bête en devenir (car elle ne semble pas tout à fait constituée) veut apposer sur notre chaire un « signe de protection » (c. f. Genèse 4:15), non pour nous protéger, mais pour nous perdre. Vu la puissance de nos opposants, et notre faiblesse, il faut d’abord s’humilier devant le Dieu tout puissant et lui demander des grâces de force, de patience, de confiance, de douceur et de sagesse. Nous gagnerons par la prière. Nous gagnerons par la persévérance. Nous gagnerons par la foi.
C’est pourquoi je vous encourage vivement à prier avec nous pour la fin de cette crise sociétale liée au covid. Seul Dieu peut nous tirer de ce bourbier. Nous avons choisi pour prière cette arme puissante que nous confia la « femme » de l’Apocalypse (Apocalypse 12:1), celle dont le talon écrase la tête du serpent (Genèse 3:15), le Rosaire. Nous faisons nôtres les paroles du pape Pie XII qui enseigna, lorsqu’il encouragea cette forme de prière, que : « Nous mettons une grande confiance dans le Saint Rosaire pour la guérison des maux qui affligent notre époque. Non pas avec la force, non pas avec les armes, non pas avec le pouvoir humain, mais avec l’aide divine obtenue par le biais de cette prière, forte comme David avec sa fronde, l’Église pourra, sans se décourager, affronter l’ennemi infernal, en lui répétant les paroles du jeune berger : “Tu viens à moi avec une épée, une lance et un bouclier, mais je viens à toi au nom du Seigneur des armées… et toute cette assemblée saura que le Seigneur ne sauve pas par l’épée et la lance, car c’est son combat, et il te livrera entre nos mains” (I Rois 17, 45-47). »
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Pour la Vie,
Georges Buscemi, président
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