Le gouvernement de Navarre a confirmé qu’un caporal de l’armée espagnole de 35 ans, stationné au régiment d’infanterie America 66 des chasseurs de montagne à Pampelune, est décédé après avoir reçu le vaccin AstraZeneca le 7 avril. Selon le Diario de Navarra, le ministère de la Santé a été informé d’un « événement indésirable à l’issue fatale » le vendredi 23 avril.
Décédé d’une « thrombose du sinus cérébral avec thrombocytopénie et hémorragie cérébrale »
L’Association espagnole des militaires et marins (ATME) a indiqué que le soldat a commencé à souffrir de graves maux de tête et de malaises immédiatement après avoir reçu le vaccin. Il s’est rendu à une clinique de premiers soins et à une unité d’urgence sur sa base, avant d’être admis à la clinique universitaire de Navarre dans un état très grave une semaine après avoir reçu le vaccin.
Selon le gouvernement régional, le caporal est décédé d’une « thrombose du sinus cérébral avec thrombocytopénie et hémorragie cérébrale ».
Ouverture d’une enquête
L’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé (AEMPS) va ouvrir une enquête sur la mort du jeune soldat et tenter d’établir si son état est lié au vaccin d’AstraZeneca, tandis que l’Armée a déclaré que sa principale priorité est désormais « de soutenir sa famille dans tout ce dont elle a besoin et de l’accompagner dans ces moments difficiles pour tous ».
Avant le décès du caporal, le ministre de la Défense a déclaré:
« Comme toujours, lorsqu’il y a une situation dans laquelle un cas peut s’être produit suite à l’administration d’un vaccin, on s’adressera à la pharmacovigilance pour effectuer les études correspondantes » et a commenté que « pour le moment, il semble que ce soit immédiatement après l’administration du vaccin ».
Remise en cause du décès d’une enseignante de Marbella
Par ailleurs, de nouveaux détails sont apparus qui suggèrent que le décès d’une enseignante de Marbella pourrait être lié au vaccin d’AstraZeneca. Après qu’une autopsie ait initialement exclu tout lien entre le vaccin et le décès de l’enseignante, un rapport a révélé qu’elle ne souffrait d’aucune maladie qui l’aurait rendue plus susceptible d’être sujette à la survenue du caillot sanguin qui l’a tuée.
Les experts disent qu’ils pensent maintenant que son décès pourrait être dû au vaccin AstraZeneca qu’elle a reçu deux semaines avant sa mort.
Source : Le Média en 442
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