Par les temps qui courent, au regard des différents anathèmes que nous prenons dans les dents en toutes circonstances et sur tous sujets, travaillant sur cet aspect précis du droit (pour informer au préalable et en terme de bienséance, mes contemporains, de ce qu’il en coûte d’argumenter à coup d’insultes dans les salons feutrés ou les trottoirs sur lesquels ils déambulent alors que je suis plutôt un adepte de la tarte qui t’atteint, pour répartie), je suis allé lire ce qui constituait l’injure ou la diffamation, publiques ou privées, sur le site du Service Public et il est vrai que la frontière est mince autant que soumise à l’interprétations des juges qui, depuis l’issue du procès de Nuremberg, intègrent l’intention (dont ils restent les seuls juges*) dans leur jugement.
Voilà une sacrée partie de corde à sauter qui commence à 38€ en passant par 1500 balles, puis 12 000, jusqu’à 1 an d’emprisonnement et 45 000 € d’amende, la chute… de la blague, pour ce qu’il s’agirait d’une injure raciste, sexiste, homophobe, handiphobe, publique.
Ainsi, faire des blagues en faisant de la corde à sauter, c’est un coup à se mordre la langue et au-delà de la pub qui nous serait faite, c’est gaver l’ennemi : la prudence, la tempérance et le conditionnel n’y suffisant plus.
* Seraient-ils complices (idéologiques), corrompus ou compromis, à cet instant-là, nul ne le saurait que nous supposons même le contraire ? D’autant qu’il s’entend tout, qui trouve son con à traire…
Force et détermination !
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