par Marie-France de Meuron.
La crise du coronavirus agit comme un révélateur de ce que nous sommes – et de nos façons de fonctionner. Si l’être humain est intelligent individuellement, il est désormais visible, pour ceux qui ne le savaient pas, qu’il manque cruellement d’intelligence collective.
Le monde occidental est sur un vaste Titanic qui titube entre les icebergs sans que ceux qui le pilotent ne s’en soucient, occupés à gérer leur carrière, leurs profits et leur compte en banque.
Le covid-19 met en évidence de façon magistrale des fragilités psychiques comme l’expose brillamment une psychologue, docteure en psychopathologie : Dans un entretien vidéo, cette universitaire de haut niveau décrit les mécanismes psychologiques du totalitarisme ambiant qui veut s’insinuer dans tous les détails de notre vie et passe par la construction d’un récit faux auquel il faut adhérer. Ce totalitarisme a besoin de la désignation d’un ennemi – à l’origine le virus, ensuite le non-vacciné – qui doit légitimer une politique de harcèlement. Tout cela conduit à un délire collectif et crée des pathologies psychiatriques.
Nous sommes au tournant d’une année qui favorise les bilans. La chasse au covid amène certains meneurs à s’épuiser et à mettre en évidence les limitations de leur maturité psychique. Deux d’entre eux, le président de la République d’une part et son ministre de la Santé d’autre part viennent de s’exprimer d’une façon très adolescente – en se révoltant de façon grossière face à des autorités qui s’affirment avec leur bagage d’adulte – et dévoilent ainsi la fragilité de leur être profond.
S’appuyant sur leur puissance de dirigeants, ils ne sont pas conscients qu’elle peut se retourner contre eux et attiser le feu latent des résistants : La forteresse Macron se lézarde plus vite et plus profondément que nous ne pouvions l’imaginer. Après une nouvelle offensive éclair menée entre Noël et Nouvel An (dont le mauvais effet psychologique sur ses soutiens a probablement été sous-estimé par son entourage), Macron enchaîne désormais les déconvenues. Après avoir renoncé au passe sanitaire en entreprise, avoir concédé le retour du certificat du rétablissement, le gouvernement doit composer avec des députés qui se rebellent, et des fissures partout dans l’édifice et dans la « narration » qui lui sert à justifier sa politique de ségrégation. C’est le moment d’intensifier la pression pour infliger une déroute à ce président.
Cette immaturité de certains dirigeants s’est aussi manifestée dans leur manque de considération de la valeur ontologique des enfants. Une telle méconnaissance des forces de croissance et des besoins de la jeunesse a incité des adultes matures à adresser une pétition au gouvernement. Cette pétition a pour but de dénoncer l’impact néfaste de la crise sanitaire sur nos enfants, le port du masque dès le CP, les campagnes de dépistage massif dans les écoles, les protocoles sanitaires maltraitants et leurs dérivés.
2022 : Où allons-nous ? Ce « nous » concerne tout autant, en sus du système politique et médiatique, le système médical et l’ensemble des individus. L’article de ce journaliste scientifique se base sur de nombreux documents et expériences relatées pour montrer comment la vérité se révèle progressivement.
Il est aussi très remarquable (= à remarquer !) que certains médias mainstream commencent à relativiser la doxa et toute la propagande dont ils nous ont abreuvés : L’un d’entre eux affirme, chiffres à l’appui, que le « tsunami Omicron » n’existe pas Ce présentateur semble se poser des questions sur la désinformation de masse concernant le variant Omicron. Le jeudi 30 décembre, en direct sur le plateau de l’émission « 24H Pujadas » sur LCI, le présentateur paraissait agacé par la médiatisation exagérément anxiogène qui entoure actuellement la « vague » due à ce variant. Il a ainsi choisi, avec l’aide d’une collaboratrice et chiffres à l’appui, de prouver que les prévisions alarmistes ne se sont pas concrétisées.
Un autre média informe aussi sur les moyens de se protéger. Vaccin, un effet pas magique : certains espoirs qu’il avait fait naître ne se sont pas confirmés car les vaccins n’empêchent pas de transmettre le Covid et leur efficacité baisse avec le temps. Cette efficacité est en outre moins élevée contre les derniers variants. Tout miser sur les rappels, quitte à devoir les multiplier, pourrait donc n’être qu’une stratégie court-termiste, mettent en garde des spécialistes.
Les scientifiques – chercheurs – médecins avertissent de plus en plus la population : L’un s’avance, par exemple, à évoquer l’effet de l’injection génique au niveau gynécologique : comment le vaccin modifie-t-il le cycle menstruel des femmes ? Juste après avoir reçu un vaccin contre le Covid-19, le cycle menstruel des femmes, soit la période séparant le premier jour de deux règles, est rallongé de moins d’une journée en moyenne. Cet effet non grave apparaît comme temporaire, selon une nouvelle étude parue jeudi. Six cycles consécutifs ont été étudiés pour toutes les participantes. Cette étude doit notamment permettre de rassurer celles ayant constaté des changements dans leur cycle après une injection de vaccin. Elle permettra aussi de pouvoir opposer des données claires et solides – les premières sur la question – aux peurs et fausses affirmations ayant circulé sur les réseaux sociaux…. Les scientifiques espèrent avoir rassemblé très prochainement davantage de données sur les cycles suivants pour confirmer ce retour à la normale.
Il est intéressant de souligner le langage utilisé pour chercher à rassurer ces dames, alors que les études n’ont eu lieu que sur 6 cycles. Un tel choix démontre comment les auteurs de cette étude ne tiennent pas compte de la complexité du corps humain et cherchent à laisser croire que tout s’atténue de soi-même. En fait, chaque femme a des particularités organiques et biologiques qui peuvent se manifester petit à petit ou alors à la faveur d’un stress, d’un traumatisme ou d’un traitement médicamenteux. En outre, « Les scientifiques espèrent avoir rassemblé très prochainement… » n’est pas du tout un langage scientifique qui devrait toujours s’appuyer sur des observations objectives, panoramiques et ne pas espérer « pour confirmer ce retour à la normale ».
Une scientifique très expérimentée s’appuie sur des doutes – processus propre à la science – et entrouvre le constat de la fertilisation suite à la vaccination anti-covid : Quelle est l’objectif de cette vaccination forcée de masse ? Beaucoup de pistes sont évoquées, mais une seule chose est certaine, c’est que ce n’est pas la santé publique ni la protection contre le COVID….
Apporte-t-elle un début de réponse ? En tout cas elle fait un constat : les premières analyses confirment les craintes, les vaccins ARNm concernant le COVID ont un impact sur la fertilité. Peut-être que l’ancienne directrice de recherche à l’INSERM commence à poser là les preuves du crime commis par les tenants de la dépopulation, dont les promoteurs ne se cachent même pas.
Cette crise coronavirale démontre ce qu’un médecin praticien de longue date a déjà développé dans un livre puis une vidéo : La farce vaccinale. Elle souligne très fermement : Aujourd’hui, on donne de force la vaccination, c’est du viol. Qu’il s’agisse de sperme ou de poison, inoculer quelque chose à quelqu’un de force contre son consentement est un viol. À noter que le viol concerne deux niveaux distincts de l’être humain : le viol du consentement de l’individu lui-même et le viol du corps qui ne peut pas utiliser ses filtres personnels que sont basiquement ses systèmes dermatologique et digestif.
Pour moi, la vaccination est une absurdité, une insulte à l’intelligence, un outrage à l’intégrité physique, mentale et spirituelle de l’être humain. À la minute 5, Que s’est-il passé pour que je fasse un tel revirement ? Je me suis réveillée, j’étais endormie. J’ai commencé à questionner le dogme qu’on m’avait enseigné. Malgré l’endoctrinement reçu en médecine, je n’ai pas perdu mon bon sens, mon outil de base.
En 1991, a commencé une campagne de vaccination au Québec, contre la méningite. La radio disait que la méningite n’était peut-être pas sûre mais probable et que tout le Québec sauf l’Ontario serait vacciné. Quelque chose cloche : est-ce que les microbes ont appris à lire et qu’ils savent ainsi s’arrêter à la frontière?
J’ai commencé à m’informer, à lire des documents, à écouter les histoire sordides de gens qui avaient subi des vaccinations. J’ai réalisé qu’il y a deux versions : – de l’establishment : les vaccins sont sûrs et efficaces et la version de tout ce qui n’est pas establishment : inefficaces, inutiles, dangereux , que Pasteur est un menteur, un tricheur, un voleur , un usurpateur…
Le virus couronné vient heureusement nous rappeler que nous avons un système immunitaire complexe et que nous sommes invités à développer nos connaissances à son sujet. Le bombardement médiatique autour de la crise du Covid-19 omet étrangement toute mention du pouvoir du système immunitaire humain. Il est essentiel pour les personnes qui ont un esprit critique de regarder au-delà du vacarme et d’apprendre pourquoi un mode de vie sain et une approche nutritionnelle ciblée constituent en réponse au Covid-19 une stratégie à ce point efficace.
Ce praticien de 30 ans d’expérience rappelle que les microorganismes sont interreliés dans un microunivers très complexe qui ne peut pas être capté par un microscope électronique qui cherche à focaliser un seul élément. Cette question reprend le grand débat entre deux hommes de science célèbres, Louis Pasteur et Antoine Béchamp. L’essentiel du débat peut se résumer à cela : Les microbes (Pasteur) provoquent-ils les maladies ? Ou est-ce un terrain pauvre (Béchamp) qui permet aux microbes de s’implanter et de se propager à un rythme rapide ? En d’autres termes, l’exposition à un microbe signifie-t-elle que vous êtes destiné à « attraper » la maladie ou à être « infecté » ? Le microbe possède-t-il le pouvoir total de contrôler votre destin ? Ou la personne exposée est-elle un hôte réceptif ? Son système immunitaire est-il une machine bien réglée, ou est-il faible et insuffisant ? En d’autres termes, son niveau de résistance à l’exposition est-il élevé ou faible ?
Se poser des questions stimule à chercher des réponses pour renforcer son immunité et nous révèlent qu’elles sont à notre disposition si nous gardons l’esprit ouvert et notre bon sens.
La prévention des infections, et en particulier celles dues au Covid-19, fait appel à des mesures de bon sens qui consistent, outre le respect des mesures gouvernementales, à s’alimenter correctement pour bénéficier des nutriments utiles au fonctionnement de notre système immunitaire (oligoéléments, vitamines, protéines, ingrédients riches en oméga-3, .), et, à contrôler le stress qui ouvre la porte à de multiples pathologies. On sait maintenant que les comorbidités sont des facteurs aggravants, et, dans ces cas, les mesures barrières et de distanciation seront impératives et le rôle de l’alimentation souligné. Des principes d’hygiène de vie devront également être mis en place. Le renforcement de nos barrières cutanées et intestinales améliorera notre résistance. La gestion du stress, des émotions et la qualité du sommeil feront appels à des pratiques de bien-être, des thérapies non médicamenteuses, parfois complétées par une supplémentation, si des déséquilibres sont identifiés.
source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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