Référence en matière d’études de la pandémie en France, la plateforme CovidTracker a récemment fait savoir que le suivi du variant n’était « plus possible ». Le fondateur du site a publié plusieurs tweets par lesquels il dénonce la décision des autorités françaises d’avoir changé les méthodes de « criblage » du virus, transition advenant au « pire moment ».
Guillaume Rozier, fondateur du site, affirme que la France a « cassé les seules données publiques […] permettant de bien suivre la progression du variant Omicron », déclarant que le « thermomètre des open data » soit « cassé à un moment où on en avait besoin », en pleine explosion de ce variant du Covid.
Évidemment, Santé publique France explique ce phénomène par une « période de transition » consécutive à un changement de méthode…
« La Direction générale de la Santé (DGS) a décidé de chambouler les méthodes de criblage pour « mieux suivre Omicron », en communiquant peu d’infos », assure le fondateur de Covidtracker qui déplore que Santé publique France ne publie pour l’heure en open data que les données concernant « l’ancien système », et ce, malgré l’instauration d’un nouveau code permettant de suivre certaines mutations précises du variant Omicron.
L’agence publique reconnaît le problème soulevé par Guillaume Rozier, qu’elle attribue à une « période de transition », et assure que la situation sera résolue prochainement.
Après tant de mensonges et de dissimulations de la part de Macron et Véran, cette information n’a rien d’exceptionnel. Elle ne fait que confirmer combien il y a de bobards en matière d’Omicron. Bloquer les données en changeant les process n’est pas un hasard.
Heureusement que parfois, une voix s’élève pour nous informer de la dernière trouvaille de ces mafieux liberticides !
Mitrophane Crapoussin
Source : Riposte Laïque
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