Comme le dirait Maître Folace, Karine devrait fermer son claque-merde, car pour avoir fait intervenir comme il s’entend (et au gré des données de soin préconisées dans la Résistance) une personne au fait des réseaux politiques, alors qu’elle se laissait dire, en tant que mandatée par une personne hospitalisée Covid-19, qu’il conviendrait de la placer sous sédatif (entendre Rivotril), d’exiger – perdue pour perdue – les traitements alternatifs tels que Hydroxychloroquine+ Azithromycine ou Ivermectine, ledit service à obtempéré : Ivermectine.
Et l’intubation envisagée avant la solution finale, s’est alors muée en oxygénothérapie à haut débit, dont la personne mandatée s’inquiétait du débit quotidien prescrit, au regard d’une étude menée en Roumanie par le Dr. Flavia Grosan.
Merci à l’hôpital Saint-Antoine et à son service des maladies infectieuses, de n’avoir pas résisté à la pression, d’avoir utilisé certaine molécules interdites au regard d’arguments fallacieux reposant sur le postulat d’une prétendue dangerosité, merci donc à ce service dont la cheffe n’est autre que la groupie des plateaux télé : Karine Lacombe !
Ce qui signifie qu’il ne faut en aucun cas lâcher celui des vôtres qui franchirait la porte d’un hôpital des suites d’une infection SARS-CoV-2. Ni pour toute autre, du reste. Faites-leur savoir qui donne les ordres, à la manière d’un Kakou : « Si tu te loupes, nous… (on te fait passer un coup de fil, ou autre, tel que préconisé ci-dessus ; enfin, pour agrémenter les recettes, c’est comme l’on veut) »
Et puis mettre la pression, c’est déjà un peu partager une bière avec ses détracteurs…
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