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<figure id="thumbnail" style="display:none"><img src="https://i0.wp.com/xn--tl-bjab.fiatlux.tk/wp-content/uploads/sites/6/2021/11/lechiquier-mondial-asie-centrale.jpg?fit=1280%2C720&ssl=1" style="display:none"></figure><div class="jetpack-video-wrapper"><iframe loading="lazy" title="L'ECHIQUIER MONDIAL - Asie centrale : vers une « guerre de l’eau » ?" width="650" height="366" src="https://www.youtube.com/embed/1mdTPWmhepU?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></div>
Inéquitablement répartie, l’eau constitue aujourd’hui un enjeu à la fois géostratégique, économique et social en Asie centrale. Comment la crise de l’eau affecte-t-elle la stabilité régionale ?
Les problèmes d’eau et d’énergie en Asie centrale pourraient provoquer non seulement de graves confrontations, mais aussi des guerres : tel était le pronostic du président ouzbek Islam Karimov il y a presque dix ans. Les événements de ces dernières années montrent qu’il n’avait pas complètement tort car les affrontements se multiplient autour de l’accès à des sources d’eau disputées. Le Kirghizstan et le Tadjikistan évitent de justesse une guerre à grande échelle cette année ; l’Ouzbékistan et le Kirghizstan connaissent, eux aussi, des tensions régulières. Les tentatives de s’entendre sur une politique commune de gestion des ressources hydriques peinent à aboutir. Les compromis se négocient largement entre les pays concernés mais sont-ils fiables ? Sous pression de la rue, le Kirghizstan suspend cette année l’accord sur la démarcation des frontières conclu avec l’Ouzbékistan. Celui-ci prévoyait de céder à Tachkent le barrage du réservoir de Kempir-Abad, source d’eau pour les villages frontaliers ouzbeks et kirghizes.
Quelle est donc l’ampleur de cette crise de l’eau en Asie centrale ? Comment les pays de la région cherchent-ils à s’entendre sur la gestion de l’eau ? Quel est le rôle des acteurs externes dans cette crise ? Pour répondre à ces questions, Oleg Shommer interroge David Gaüzere, chercheur associé au Geopolitical Research & Analyses Circle (GRAC).
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Source : Lire l'article complet par RT France
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