Adressé à : Gouvernement français
Le 15 septembre 2021 a été un jour de deuil pour la santé libre et indépendante !
Nos soignants, ceux-là même qui luttent pour sauver nos vies depuis le début de la crise, se sont vus privés de leur droit le plus précieux : celui de disposer de leur corps comme bon leur semble.
En effet, depuis le 15 septembre :
- Seuls les soignants vaccinés ont le droit de continuer à travailler.
- Les soignants non vaccinés, eux, sont mis à l’arrêt sans sommation, et sans salaire.
SANS SALAIRE pour subsister, nourrir leur famille, continuer à rembourser l’emprunt de leur maison, faire des projets, etc.
Une véritable discrimination assumée qui n’affiche pourtant aucune justification sanitaire.
En effet, si le but de cette injonction était uniquement de protéger les patients, les autorités auraient très bien pu se tourner vers la mise en place d’une stratégie de tests réguliers, qui d’ailleurs aurait même été une stratégie plus fiable et plus efficace que l’obligation vaccinale.
Pourquoi ?
Parce qu’il est désormais certain que les vaccins ne protègent pas à 100% du virus, et qu’ils n’empêchent pas non plus de le transmettre[1]. Pourtant, la majorité des gens qui se vaccinent considèrent que c’est le cas et cessent de se faire tester, même quand ils sont amenés à côtoyer les personnes les plus vulnérables.
Ne serait-ce pas là le véritable danger ?
Alors pourquoi le gouvernement ne laisse-t-il pas le choix aux soignants entre la vaccination et une procédure de tests réguliers ?
Cela n’a pas de sens.
Et nos soignants eux aussi se rendent compte de la supercherie.
Et pour cause, les consignes qu’ils ont reçues n’ont pas arrêté de changer depuis mars 2020 : pas besoin de masque, mais finalement si, puis un masque mais uniquement chirurgical, puis finalement FFP2 obligatoire, quarantaine de 14 jours en cas de positivité au virus, puis 7 jours suffisent, puis obligation de travailler même si testé positif tant qu’il n’y pas de symptômes, etc.
Ils se rendent donc bien compte que le gouvernement est loin de maîtriser tous les aspects sanitaires de cette crise, et qu’il n’a, en plus de ça, aucun scrupule à les prendre pour des marionnettes.
Aujourd’hui, on les OBLIGE à se faire vacciner alors que :
- De plus en plus d’études prouvent l’inefficacité grandissante des vaccins face aux nouveaux variants[2].
- D’autres études prouvent que certains vaccins contiennent des composants dangereux pour la santé[3].
- D’autres montrent déjà l’ampleur des effets secondaires observés après la vaccination[4].
En toute logique, certains soignants en arrivent à se méfier du vaccin.
Eux aussi ont du mal à croire sur parole le gouvernement quand il assure que les vaccins sont sûrs et efficaces.
Nos soignants ont été incroyables depuis le début de cette crise. D’ailleurs -souvenez-vous, il y a quelques mois, nous les applaudissions tous les soirs à 20 heures pour les remercier de leur engagement sans faille.
Depuis que cette crise a débuté, ils ont été bluffants : présents tout le temps, même quand ils étaient malades.
Leur travail, ils y tiennent. Leurs patients, ils y tiennent. Et ça n’est pas quelques personnes mal pensantes qui pourront changer cela !
Mais leurs droits, les soignants y tiennent aussi, comme nous tous.
Comment le leur refuser alors qu’ils se donnent corps et âmes pour nous depuis un an et demi dans des conditions toujours plus difficiles ?
Les vrais coupables, ce sont ceux qui les obligent à renoncer à leurs droits, sans aucune justification valable.
Résultat : les hôpitaux vont se vider de leur personnel soignant… alors même qu’on nous répète chaque jour que nous sommes en crise, et que nous avons besoin de renfort !
Et j’ajouterais que les soignants qui doivent quitter le service aujourd’hui ne sont pas des éléments anodins : ce sont des gens qui pensent différemment et osent aller au bout de leurs idées.
C’est comme si le gouvernement voulait se débarrasser de tout le corps médical qui ose mettre en doute et chercher des alternatives à la médecine conventionnelle.
Dehors les médecines alternatives, dehors les soignants réfractaires aux règles, dehors les nouvelles idées et les remises en question.
Est-ce là le but caché de la vaccination obligatoire des soignants ?
S’assurer qu’ils rentrent tous sagement dans le moule, et se débarrasser des réfractaires, tout ça sous le couvert de la crise sanitaire ?
J’ai bien peur que oui.
Prenez le Pr Raoult, qui s’est vu poussé vers la sortie à cause de ses allocutions dérangeantes en rapport avec la crise sanitaire et le traitement du virus[5].
Et les Dr Wonner, Fouché et Montagnier (ainsi que 7 autres médecins) qui se sont retrouvés devant le Conseil de l’Ordre pour avoir tenu des propos anti-conventionnels sur la politique sanitaire et les vaccins[6].
Serions-nous en train d’assister à une grande purge des esprits indépendants ?
C’est ce contre quoi nous nous insurgeons aujourd’hui !
Nous sommes soi-disant en démocratie, nous avons soi-disant des droits et des libertés.
Pouvons-nous laisser le gouvernement les bafouer aussi impunément d’un revers de main ?
NON !
Alors joignez-vous à nous en signant cette pétition pour que :
- le gouvernement retire cette décision scandaleuse de priver d’emploi et de salaire les soignants non vaccinés ;
- le gouvernement cesse toute discrimination envers les personnes qui font le choix, en leur âme et conscience, de ne pas se faire vacciner ;
- le gouvernement reconnaisse qu’il est allé trop loin dans l’outre-passage des fondements même de la démocratie et de la République.
Auteur : Thibaud de Santé Non Censurée
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Source : Les lignes bougent
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