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Campagne de dons Octobre 2021
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Soleil grec à travers les nuages. Le temps a changé et ce n’est qu’un début. Sous la pluie… Athènes… sur mer car inondée, est à l’image du pays. Cela fait près de vingt ans que les infrastructures et les travaux relatifs, généralement entrepris pour faire face aux inondations, sont pratiquement à l’arrêt. Et les cieux se sont alors ouverts, autant en direction du futur immédiat.
Le catastrophisme soutenu et voulu par la mécanique sociale, veut faire croire que les intempéries du moment sont exceptionnelles, sauf que ce n’est pas le cas. La symbolique sataniste des initiés a d’ailleurs osé attribué le nom d’Athéna à cette nouvelle vague de la météo.
Leur Hybris ne connait visiblement plus de barrières car notre ère est autant celle où règne la sémantique de l’infect. Rappelons seulement qu’Athéna, d’abord en sa qualité de déesse de la sagesse, était considérée comme la patronne et protectrice de plusieurs villes de la Grèce, et notamment celle d’Athènes. Donc, la divinité protectrice… sous forme de « force obscure de la nature » attaque sa ville, sa protégée. 2+2=5 !
Dans l’urgence si bien travaillée, le gouvernement de Mitsotákis, ce sociopathe, ami des pédophiles et compagnon spéculatif… de Maître Bourla de Pfizer, réitère des appels à destination de la population, là où l’État ennemi a déjà frappé plus d’une fois.
Ainsi, après avoir laissé le feu, avaler une bonne partie de l’île d’Eubée, pour ensuite confier la gestion de la terre forestière brûlée en août dernier à une société complice luxembourgeoise, qui plus est, spécialisée dans l’installation d’éoliennes, le gouvernement exige que les habitants des lieux, évacuent alors ce qui subsiste de leurs villages. Au même moment, aucun des aménagements prévus et en tout cas annoncés dès le mois d’août pour prémunir les communes des effets des inondations parfaitement prévisibles, n’a été réalisé. Donc acte.
Il n’y a guère si longtemps que Mitsotákis, sa ministre de l’aliénation identitaire, officiellement de la Culture ainsi que leurs sbires, s’extasiaient devant… la soi-disant œuvre d’un artiste contemporain à Athènes. Une chaise, tout simplement cassée. Un charlatan payé par le pouvoir parmi tant d’autres… en ce siècle des bâtisseurs de chaos, enfin réunis pour le bouquet final.
Et participant de ce même bouquet authentiquement final, voilà que le think tank « grec » ELIAMEP, pousse ouvertement au désarmement des îles grecques de la mer Égée car c’est Ankara qui l’exige. ELIAMEP tient de… la citerne salée de Sóros, dont certains membres appartiennent comme on sait à la camarilla des ministres Mitsotákis, autant que de Tsipras par le passé.
La Grèce sous les intempéries. Alors sous la pluie battante, notre pomme est ainsi tombée de son arbre, comme par exemple en cette Thessalie des montagnes, et il va falloir la croquer, déjà pour survivre. Le routier rencontré dans une station-service près des Météores, est d’ailleurs formel.
« Lorsqu’on affrète mon camion frigorifique pour transporter des denrées périssables, entre par exemple, Corinthe et Thessalonique, j’ai déjà pour deux mille euros de gasoil et plus des cinq cent euros de péage en aller-retour. Et l’on me demande de transporter la marchandise pour trois mille euros, c’est-à-dire pour cinq cent euros en net… et encore. Donc ce n’est pas le prix du transport qui explose comme on dit, mais plutôt celui de notre vie qui dégringole. Ou, pour le dire ainsi… c’est le péage vers la mort, le pays d’Hadès, désormais le nôtre. Les entreprises n’importent d’ailleurs plus vraiment, elles écoulent si possible leurs stocks ».
« La semaine dernière, je conduisais un autre camion, chargé de pneus pour voitures encore dites de tourisme. Ces pneus, étiquetés neufs avaient pourtant plus d’un an… d’ancienneté depuis leur fabrication. Ils viennent de Chine, mais depuis la Chine, les flux ne suivent plus, autant que les commandes. Telle est la nouvelle règle. Seuls les pneus d’une marque économique dont les usines sont installées en Serbie voisine, lorsqu’ils arrivent chez nous sont encore de fabrication relativement récente. Alors, vive… Belgrade ! »
Athènes… sur mer, sauf que nos derniers touristes insistent dans leur été grec, déjà mort cependant depuis un moment déjà. Près du Péloponnèse, les quais de l’île de Póros sont toujours occupés par les voiliers loués. Certaines des locations sont pourtant celles de 2020, reportées une année plus tard, pour cause de… Grand Reset COVIDiste. La dernière croisière s’amuse comme elle peut.
Plus au nord, c’est désormais le pays réel de sa première neige, d’abord sur le mont Olympe, et ensuite, sur les sommets des autres montagnes, comme en Thessalie. Changement de décor. Au village thessalien par exemple, nombreux sont ceux qui font leurs réserves de bois, de gasoil, de conserves, de fruits secs, de bougies, de lampes à pétrole, de bonbonnes de gaz… et même de cartouches pour le gros gibier. « Disons que cet hiver sera celui de tous les dangers », comme l’affirme autant notre routier. « Tout peut s’arrêter à tout moment… car tout se transforme sous nos yeux ».
Mutation donc. L’entraînement COVIDiste a fait son temps, le vaccin global ayant aussi passé par là, notre monde alors peut enfin s’ouvrir… à sa nouvelle pénurie. Nouveau modèle, comme le souligne à sa manière le philosophe italien Giorgio Agamben, s’exprimant devant la Commission des affaires constitutionnelles du Sénat à Rome, un discours naturellement censuré par Facebook.
« Une transformation d’autant plus insidieuse que, comme dans le cas du fascisme, elle se fait sans qu’il y ait de changement dans le texte de la Constitution, mais se produit subrepticement. Le modèle qui est ainsi érodé et effacé est celui des démocraties parlementaires avec leurs droits, leurs garanties constitutionnelles, et à leur place est remplacé par un paradigme de gouvernement dans lequel, au nom de la biosécurité et du contrôle, les libertés individuelles sont destinées à subir des limitations croissantes ».
« La concentration exclusive de l’attention sur les contagions sanitaires me semble nous empêcher de percevoir la signification de cette grande transformation et de réaliser comment les gouvernements eux-mêmes ne se lassent pas de nous rappeler que la sécurité et les urgences ne sont pas des phénomènes transitoires mais constituent la nouvelle forme de gouvernementalité ».
Mais alors dans les tavernes à viande en Thessalie, nombreux sont ceux qui n’y croient pas, ou pas encore à la nouvelle réalité. Il fait déjà froid et seuls les Thessaliens vaccinés ou sinon munis d’un test, tous sujets de l’Empire, sont désormais obligés de montrer un laissez-passer chaque fois qu’ils franchissent les portes de leurs tavernes. Thessalie sous les Météores, comme on dit parfois, pays de la viande, du gibier et du mézé.
Ou sinon, pays du tzatzíki à base de yaourt local, assaisonné avec de l’huile d’olive et des herbes telles que la menthe ou l’aneth, auxquelles on peut ajouter une cuillerée de vinaigre. Mais voilà que déjà depuis le vieux Péloponnèse, on nous prévient que cette année, l’huile d’olive se fera rare et surtout, elle sera bien chère. Elle l’est d’ailleurs dès ce mois d’octobre en supermarché, car à l’instar des autres denrées supposées de base, son prix a augmenté de 30%.
Le temps a bien changé et ce n’est qu’un timide début. Le sang des uns… fera ainsi l’huile des autres. Le sociopathe Mitsotákis a par exemple bradé la plus grande compagnie d’Assurance ayant appartenu jusqu’à présent à la supposée Banque nationale de Grèce, une vente au profit d’un fond international dit d’investissement.
La transaction mafieuse a eu lieu en avril dernier, cette compagnie d’Assurance valait 1,2 milliards d’euros mais elle a été cédée pour 230 millions d’euros. Le surnommé investisseur a même emprunté de l’argent… auprès du vendeur pour finaliser son achat et comme par hasard, la fille de Mitsotákis a été embauchée… comme serveuse d’idées, par le même fond d’investissement en août de la même année. La pluie… c’est donc seulement pour les autres et le soleil, pour les escrocs aux commandes uniquement.
On attendra alors encore longtemps les travaux d’aménagement pour faire face aux inondations. Et les cieux se sont pour ainsi dire ouverts, en direction du futur immédiat. Pour faire face aux « phénomènes », Stylianídis, ce Chypriote issu de la clique de Sóros, promu ministre de la « Protection civile et du Changement climatique » à Athènes sous Mitsotákis, suggère que l’armée ferme de nuit, entre minuit et 8 heures du matin, l’autoroute qui depuis le Pirée, elle traverse l’agglomération d’Athènes en direction du nord.
Il en est de même en ce qui concerne la rocade sud près de la mer, et pour les mêmes raisons. La Fonction publique baisse ses rideaux et pour ce qui est du secteur privé, c’est de nouveau le télétravail qui est suggéré jusqu’à samedi, une sorte de couvre-feu, cette fois climatique à l’échelle locale et pour l’instant, bien bref.
Temps lourd, temps d’Apocalypse. Plus grave encore, les États-Unis, via Tony Blinken, secrétaire d’État sous la présidence de Joe Biden, font savoir que la Grèce devient officiellement un espace de préparation et d’action dans une guerre future entre l’OTAN et la Russie. Dans la foulée, le gouvernement d’Athènes doit désarmer ses îles du Dodécanèse et même à terme, celles de l’Égée orientale situées plus au nord, c’est très exactement ce qui s’est passé déjà à Chypre sous la dictature des Colonels, au résultat bien connu car préparé. L’invasion de Chypre par l’armée d’Ankara, en 1974.
Le soleil grec se lève alors bien tard… mais chez Greekcrisis, Mimi et Hermès, se réveillent depuis déjà un moment. C’est aussi de saison…
source : http://www.greekcrisis.fr
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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