Nous vivons sous la menace de l’exportation de la surveillance chinoise
Une forme d’inquiétude commence à naître chez de nombreux Français, celle de voir nos libertés individuelles se réduire dans le cadre de la lutte contre le coronavirus. L’Élysée a annoncé mardi qu’un comité était chargé de conseiller le gouvernement sur le backtracking, un dispositif qui passe par la surveillance des systèmes de géolocalisation des smartphones. Le but de cette pratique est de reconstituer les déplacements des personnes suspectées d’être infectées afin de repérer les autres personnes ayant pu être contaminées. Cette pratique est notamment utilisée en Chine, en Corée du Sud et en Israël.
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