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Campagne de dons Octobre 2021
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par Michel de Lorgeril.
Chaque année, à cette période de l’année [comme le beaujolais nouveau un peu plus tard…], le vaccin antigrippal nous revient.
J’invite chacune et chacun à réfléchir un peu avant d’injecter (ou de se faire injecter) ce produit de santé.
Par exemple en lisant attentivement le Livre 7 de la « Collection Vaccins & Société ». Ça peut aider si on est dans l’hésitation.
Il y a plusieurs nouveautés avec ce vaccin ; mais je vais rester simple.
1) En principe, chaque année, la composition du vaccin antigrippal nouveau dépend des souches de virus qui ont circulé dans l’hémisphère sud pendant l’hiver austral.
Ces dernières années, du fait de la COVID-19 (sans qu’une causalité puisse être affirmée), peu de virus grippaux ont circulé. En conséquence, la composition du vaccin nouveau (avec deux nouvelles souches) est aléatoire ; plus encore que les années précédentes [où on ne sût quasiment rien de l’utilité de la vaccination antigrippale].
Dit autrement : pas de science avec les vaccins antigrippaux 2021 ! Pas plus (plutôt moins) qu’avec ceux des années précédentes…
2) Cette année 2021 et du fait de la pandémie COVID-19, la Haute Autorité de Santé (HAS) et d’autres autorités sanitaires ailleurs recommandent de co-administrer le vaccin antigrippal et un vaccin anti-COVID.
Pourquoi pas ?
Question : avons-nous quelques éléments scientifiques susceptibles de nous conforter (nous rassurer) concernant cette très innovante approche des vaccinations antigrippales et antiCOVID co-administrées ?
La HAS, bien sympathique et généreuse comme d’habitude, nous octroie un rapport britannique parfaitement rassurant sur tous les aspects de cette co-administration vaccinale.
Le JVCI est une administration britannique : The Joint Committee on Vaccination and Immunisation, un truc qui vanta les bienfaits et l’exceptionnelle efficacité du très fameux vaccin AstraZeneca dont plus personne ne veut !
J’ai évidemment vérifié cette question et j’ai trouvé trois (3) lignes dans le rapport britannique : « Les données de l’essai ComFluCOV indiquent que la coadministration des vaccins contre la grippe et COVID-19 est généralement bien tolérée, sans diminution des réponses immunitaires induites par le vaccin ».
Comme ce rapport ne dit rien sinon nous renvoyer à une note de bas de page [footnote 9], j’ai pris le temps d’examiner ce qui nous est dit à partir de cette footnote 9.
Patatras, vérifiez par vous-même s’il-vous-plaît, il n’y a rien à lire : ce n’est pas publié ! Tout simplement !
Comme médecin ou comme scientifique, me voilà dans une grande incertitude…
Cela dit, Je doute que beaucoup de volontaires à cette double vaccination – et sans doute peu de médecins aussi – se posent autant de questions que je m’en pose !
Brève conclusion : si vous décidez d’injecter (ou de vous laisser injecter) ces vaccins, sachez qu’il n’y a aucune donnée scientifique sérieuse justifiant (légitimant) cette thérapie préventive !
Et vogue la galère !
Et tirent et poussent les galériens enchaînés…
source : https://michel.delorgeril.info
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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