Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : zinkevich/AdobeStock
S’il est une chose qui me paraît étrange, c’est de ne pas vouloir d’enfants ou même d’hésiter à en avoir par « anxiété climatique ». Pourquoi donc craindre une menace hypothétique qui reste encore à démontrer ? Un réchauffement climatique pourrait même s’avérer bénéfique. Toujours est-il que partout dans le monde, de jeunes couples hésitent à avoir des enfants à cause de la « crise climatique » (qu’on leur rabâche sans cesse) selon une étude menée auprès de jeunes de 16 à 25 ans dans dix pays différents : Australie, Brésil, Finlande, France, Inde, Nigéria, Philippines, Portugal, Royaume-Uni et États-Unis. Selon France Soir :
Selon une enquête mondiale, menée dans 10 pays, la plupart des 16-25 ans s’inquiètent beaucoup au sujet de l’avenir, et se sentent livrés à eux-mêmes, abandonnés par les gouvernements.
L’anxiété climatique pourrait avoir un impact sur la natalité
Les forêts en flammes, les cadavres d’animaux marins pris dans les déchets ou encore les inondations, suscitent une sensation d’anxiété, et cette détresse psychologique est en hausse.
Et où me direz-vous ces jeunes ont-ils vu ces forêts incendiées, ces charognes échouées ou ces débordements aquatiques ? Sans doute à la télévision… La plupart d’entre eux n’ont sans doute que rarement vu directement quelque chose de tel, ce qui signifie qu’il ne s’agit pas d’une menace les concernant vraiment. Il faudrait à mon humble avis qu’ils s’abstiennent de suivre les nouvelles sur les gros médias, cela calmerait grandement leur anxiété.
Victimes de la propagande réchauffiste, les trois quarts des jeunes interrogés répondent que l’« avenir est effrayant » :
Les trois quarts des répondants sont d’accord avec l’énoncé « l’avenir est effrayant », et plus de la moitié estiment qu’ils auront moins d’opportunités que leurs parents. Cela explique le fait que quatre jeunes sur dix ne sont pas rassurés par l’idée d’avoir des enfants, dont la santé sera touchée par la dégradation climatique.
Ce qui me sidère, c’est que cette mentalité pourrait amener un nombre non négligeable à saborder l’avenir de la prochaine génération en s’abstenant d’engendrer un nombre non moins négligeable de ses futures membres, par crainte d’hypothétiques catastrophes.
Pour ma part, si quelque chose pouvait éveiller quelques alarmes en moi (si je prévoyais d’avoir des enfants), ce serait bien plutôt la dégradation de l’Église catholique, ce serait la dictature covid qui sévit actuellement, ce serait la culture de mort qui règne en maîtresse dans notre société, ce serait l’indigente rareté d’écoles réellement catholiques, ce serait les maux engendrés par la dénatalité et le remplacement des populations, mais certainement pas un certain mythe du « changement climatique anthropique ». Mais que je sache, sous la tyrannie soviétique les jeunes gens chrétiens se mariaient et avaient des enfants, aussi rien ne devrait arrêter ceux de maintenant d’agir de même.
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