Quand j’ai entendu que l’on commençait à s’intéresser aux traitements, je me suis dit « attention ! danger ! ».
On se souvient déjà que le Remdesivir a été autorisé pendant quelque temps comme traitement contre le Covid-19 alors qu’aucune étude clinique n’a jamais montré une quelconque efficacité. Et on ignore toujours combien de personnes sont décédées des complications rénales provoquées par ce poison.
Pourtant, les traitements efficaces sont connus : https://c19early.com/
On constate que parmi les traitements les plus accessibles et dont l’efficacité a été la mieux prouvée aussi bien en prophylaxie qu’en traitement précoce, on trouve l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ainsi que la vitamine D et le zinc. Ces traitements ont trois avantages :
– ils sont connus depuis longtemps ;
– ils sont très bien tolérés et présentent peu d’effets secondaires ;
– ils sont peu coûteux.
Alors pourquoi aller chercher un produit extrêmement toxique comme l’octophène qui a été retiré de la vente pour de bonnes raisons ?
Encore une fois, l’ANSM autorise la mise sur le marché d’un médicament très dangereux. Ça devient vraiment une habitude au point qu’on ne peut s’empêcher de penser que c’est en fait une officine de blanchiment des médicaments douteux.
En France, les scandales sanitaires se suivent et se ressemblent et, à chaque fois, l’organisme chargé d’approuver la mise sur le marché est lourdement impliqué. Et quand cet organisme est totalement déconsidéré comme l’a été AFSSAPS, on le dissout et on en crée un autre, sous un nom différent, qui reprend les pratiques détestables de son prédécesseur. On peut déjà prédire que les jours de l’ANSM sont comptés, du moins si on arrive à restaurer un tant soit peu un état de droit, ce qui n’a rien de certain.
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International