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Ce recueil de textes et d’essais que nous publions avec nos amis Patrick Reymond et Alexandre Karadimas fait suite aux livres sur « Coronavirus et servitude volontaire », et « Grand Reset et guerre du vaccin ». Il part de la constatation que nous perdons en liberté de mouvement et s’en demande les causes. Certes on nous demande vivre devant un écran d’ordinateur et de bouger et sortir moins, mais pourquoi ? Certes on nous paralyse et on nous tétanise, mais pourquoi ? Pourquoi par exemple un seul cas de Covid pousse la Chine à fermer son troisième port commercial ?
Ce livre apporte les réponses. La quatrième révolution industrielle tant vantée est avant tout une révolution de la pénurie, une révolution sans combustibles et avec moins de matières premières et même de nourriture – et de population. Le monde moderne s’est bâti (relisez Huxley et son « Retour au Meilleur des mondes ») sur une explosion démographique et de la consommation d’énergie fossile. Tout cela est bien terminé. Patrick Reymond va plus loin en insistant sur le fait que les élites cachent cette réalité saumâtre par le grand écran de fumée du coronavirus et du changement climatique, qui n’est là que pour masquer le grand effondrement énergétique qui ne nous attend pas, puisqu’il est déjà là. On évacue donc les industries qui consomment le plus pour rien (croisières, vacances, voyages aériens) et on nous prépare à la portion congrue. Les effarantes mesures actuelles visent moins à mettre fin à la liberté qu’à la liberté de mouvement qui trop gaspille d’énergie.
Cette faillite énergétique rejoint les préoccupations des collapsologues et des théoriciens de la survie, rendue illégale du reste. Alexandre Karadimas décrit froidement avec ses scénarios d’épouvante un avenir pour le moins frugal et troublé.
Le reste est de notre plume. Nous savions que nous allions perdre en liberté depuis le dix-neuvième siècle : Tocqueville, Poe et Nietzsche nous avaient avertis. Huxley a rappelé que le déclin de la démocratie était inéluctable, et que cette bonne vieille démocratie allait être remplacée par une société de contrôle toujours plus affutée et les citoyens par des foules toujours plus braves et soumises. Il n’y a donc pas de quoi se faire de souci.
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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