Fluctuat nec mergitur

Fluctuat nec mergitur
Fluctuat nec mergitur

Fluctuat nec mergitur est une locution latine utilisée comme devise de la ville de Paris, signifiant « Il est battu par les flots, mais ne sombre pas ».

par Patrice Sanchez.

Un Messi bien illusoire peut en cacher une infinité d’autres, aux principes divinement humains, avec notamment la plus connue d’entre toutes, Marie, la représentation ésotérique de l’âme sœur éternelle du Christ !

C’est par un concours de circonstances dont ma providence personnelle me gratifie depuis quelques années que cette coïncidence hautement synchronique, l’arrivée de Messi à Paris en même temps que nous fêtions l’assomption, ou montée au ciel de Marie, que je me décide à vous délivrer mon témoignage d’espoir et d’espérance.

Oui, Mesdames et Messieurs, je vais vous parler de ces Messies, « ces providences personnelles » que nous avons tous au plus profond de nous et qu’il serait plus que temps de faire réémerger de nos inconscients collectifs afin d’inverser le cours des évènements et de se débarrasser une bonne fois pour toute du principe du mal qui n’a que trop régné ! Car c’est avant toute chose par votre propre cogitation associée à une volonté sans limite que vous pourrez accéder à cette providence personnelle comme je me propose de vous le démontrer avec ma preuve, non par NEUF, mais par Nietzsche !

Nietzsche qui avait écrit : « Il est difficile de savoir qui je suis : Attendons 100 ans : Peut-être y aura t’il d’ici là un connaisseur génial des âmes qui exhumera Monsieur F.N ? … Des œuvres de cette nature ont de grandes ambitions, elles ont besoin de temps, Il faut d’abord que l’autorité de plusieurs siècles intervienne pour qu’on lise quelque chose correctement… » Friedrich Nietzsche, « Correspondance (Tome 5) ».

Providence personnelle

En novembre 2016, lors de l’édition de mon autobiographie aux éditions l’Harmattan, « Renaissance d’une apocalypse cérébrale » ou mon odyssée sous le soleil de minuit de Nietzsche/Zarathoustra … sans oublier les bons auspices du Philosophe Pierre Héber-Suffrin, j’avais écrit ceci en guise de conclusion : « Quand je vous disais que l’odyssée d’Ulysse semble presque insignifiante au regard de mes pérégrinations psychologiques et physiques. Cette odyssée sisyphienne que je viens de vous narrer, sisyphienne car la vie n’est au final qu’un éternel recommencement, cette vie que j’aurais empoignée à bras-le corps et sur laquelle j’aurais réussi à influer avec la complicité de mes pensées, n’est qu’un exemple de ce que vous pouvez tous réaliser, vous qui me lisez : être les acteurs conscients de votre existence. Je tenais absolument à vous en laisser le témoignage… »

Eh bien, en ce mois de mai 2021, je viens de découvrir la preuve de toutes les preuves, ce mystère qui me taraudait l’esprit depuis de si nombreuses années, et qui, par un concours de circonstances labyrinthique comme cette si facétieuse providence personnelle en a le secret, m’aura guidé durant presque cinq années, pas à pas, jour après jour, vers la révélation de ce Principe éternel à la bienveillance infinie … ce Graal de tous les Graal de la création intellectuelle et de la maîtrise du destin délivré par la grâce de l’âme sœur éternelle !

Preuve ULTIME par Nietzsche : « Providence personnelle ». « Le Gai Savoir »

– Il existe un certain point supérieur de la vie : lorsque nous l’avons atteint, malgré notre liberté et quoi que nous déniions au beau chaos de l’existence toute raison prévoyante et toute bonté, nous sommes encore une fois en grand danger de servitude intellectuelle et nous avons à faire nos preuves les plus difficiles. Car c’est maintenant seulement que notre esprit est violemment envahi par l’idée d’une providence personnelle, une idée qui a pour elle le meilleur avocat, l’apparence évidente, maintenant que nous pouvons constater que toutes, toutes choses qui nous frappent, tournent toujours à notre bien.

La vie de chaque jour et de chaque heure semble vouloir démontrer cela toujours à nouveau ; que ce soit n’importe quoi, le beau comme le mauvais temps, la perte d’un ami, une maladie, une calomnie, la non-arrivée d’une lettre, un pied foulé, un regard jeté dans un magasin, un argument qu’on vous oppose, le fait d’ouvrir un livre, un rêve, une fraude : tout cela nous apparaît, immédiatement, ou peu de temps après, comme quelque chose qui « ne pouvait pas manquer », – quelque chose qui est plein de sens et d’une profonde utilité, précisément pour nous ! Y a-t-il une plus dangereuse séduction que de retirer sa foi aux dieux d’Épicure, ces insouciants inconnus, pour croire à une divinité quelconque, soucieuse et mesquine, qui connaît personnellement chaque petit cheveu sur notre tête et que les services les plus détestables ne dégoûtent point ? Eh bien ! – je veux dire malgré tout cela, – laissons en repos les dieux et aussi les génies serviables, pour nous contenter d’admettre que maintenant notre habileté, pratique et théorique, à interpréter et à arranger les événements atteint son apogée. Ne pensons pas non plus trop de bien de cette dextérité de notre sagesse, si nous sommes parfois surpris de la merveilleuse harmonie que produit le jeu sur notre instrument : une harmonie trop belle pour que nous osions nous l’attribuer à nous-mêmes. En effet, de-ci de-là, il y a quelqu’un qui se joue de nous – le cher hasard : à l’occasion, il nous conduit la main et la providence la plus sage ne saurait imaginer de musique plus belle que celle qui réussit alors sous notre folle main.

« … Nous aurons découvert pour le drame dionysiaque du « destin de l’âme » une nouvelle intrigue et une nouvelle possibilité et l’on peut parier que le grand, le vieux, l’éternel auteur comique de notre existence saura en tirer profit !… »

« … à partir du monde qui nous est familier pourrait être démontré un tout autre dieu… qui n’a rien d’humanitaire »

(Préface de juillet 1887 à la Généalogie)

À la toute fin de mon Aventure de pensée, je me suis livré à cette réflexion : Et si mon Odyssée à la redécouverte des âmes sœurs éternelles n’était autre que la continuation logique de « Ma Renaissance d’une apocalypse cérébrale » ou mon odyssée sous le soleil de minuit de Nietzsche/Zarathoustra, une odyssée dans l’Odyssée ; et si mes pérégrinations ne sont ni plus ni moins qu’une odyssée des temps modernes à tout bien y réfléchir, la représentation labyrinthique des épreuves de la Vie ; et si mes tribulations contre l’adversité n‘étaient autres, rétrospectivement, « qu’un calque, qu’une copie par delà le temps » de l’Odyssée d’Ulysse, la démonstration de cette quête que devrait entreprendre tout Homme au long de son existence, cette quête dont nous avons gardé la trace grâce au témoignage de nos grands anciens passeurs d’Éternité, de ces Rhapsodes, de ces Aèdes et de ces Poètes avant l’écriture et avant la lettre, dépositaires de la Mémoire si impénétrable et obscurcie pour notre Humanité moderne déconnectée de son Passé ; et dans la suite des temps, de ces si nombreux Chevaliers qui étaient partis en quête de cet ultime Secret de l’Aventure Humaine, de ce Fil d’Ariane et de Pénélope, de ce Graal de tous les Graal qui nous relie Tous par delà les Âges… De toute évidence, les temps sont mûrs pour que ce Secret d’Éternité réémerge dans Notre mémoire individuelle puis collective afin de réenchanter la conscience et le Monde des Hommes de bonne volonté, aussi je me faisais un Devoir hautement Humanitaire de porter à Votre connaissance cet Éternel Retour avec la complicité de mon Âme sœur éternelle révélée depuis bientôt cinq ans grâce au Roi des Psychologues/Prophètes, le Soleil de Minuit Nietzsche/Zarathoustra !

Mon manuscrit :

AU NOM DE LA RENAISSANCE DES ÂMES SŒURS ÉTERNELLES

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Fluctuat nec mergitur

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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