par Jean Valmont-Decker.
Le système totalitaire de gouvernance inflige une souffrance psychologique à la population, entraînant des répercussions sur son état de santé : dépression, soumission, perte de confiance et de repère… L’exercice de pression permanente, le manque de considération, les humiliations au quotidien, les mesures vexatoires, un contrôle oppressant…, ces manœuvres sont toutes les décisions despotiques des dirigeants qui sont à l’origine de ce châtiment.
La plandémie a remis sur le devant de la scène l’anxiété de la mort. La terreur est répandue au niveau de tout le globe. La société est terrifiée par le traitement de l’information anxiogène relayée par les grands médias. La peur de la maladie s’est installée dans tous les usages, dans les moindres gestuels de la vie. Le terrorisme de l’État engendre la peur du chômage, de la faillite, de la pénurie, de la misère… du virus.
En période de l’instauration d’un système autoritaire, comme le vit actuellement le libéralisme mondialiste destructeur encours d’effondrement, la terreur est un moyen indispensable pour perpétuer leur domination chancelante. L’adjonction d’un coronavirus à leur plandémie satanique est le procédé inespéré pour appliquer une terreur généralisée, prologue au passage vers l’autoritarisme absolu. Le pouvoir est sur le chemin de la mutation de la démocratie libérale vers une tyrannie sanitaire. La crise sanitaire libertine est une tragédie humanitaire colossale. Ce sont une succession de détails qui laissent beaucoup de questions en suspens ! Comment des mensonges, d’aussi grandes ampleurs, peuvent-ils être organisés à l’échelle planétaire ?
L’expression « Management de la terreur » est une méthode de gouvernail dictatorial. Lors des attentats de Paris début 2015, Christoph Hörstel, ancien correspondant de presse en Afghanistan, de la première chaîne allemande, explique le terrorisme étatique (Interview ci-dessous), appelé aussi « TMT » (Théorie du Management de la Terreur). La TMT est pratiquée quotidiennement sur l’homme moderne, qui n’a plus autant que par le passé à se battre pour sa survie au jour le jour, passe beaucoup de temps à raffiner les constructions symboliques (culture, estime de soi) qui servent de paravents à sa peur de mourir, comme une version sophistiquée de l’instinct de préservation qui ne l’a jamais quitté. Plus de deux cents études expérimentales ont, au cours de ces vingt dernières années, confirmé différents aspects de cette théorie. Notamment le fait qu’à toute manifestation de la mort, chacun combat cette angoisse primordiale en renforçant les comportements inculqués par sa culture.
source : https://mediazone.zonefr.com
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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