C’est le syndrome du fil à tricoter.
On interdit pratiquement l’exploitation des lieux de réunion sociale et religieuse.
Il s’ensuivra nécessairement une baisse proportionnelle des activités périphériques : la bouffe, le meuble, le textile etc.
C’est-à- dire que la salle de sports va devoir être liquidée sous trois mois, et la supérette de quartier 3 mois plus tard.
Dans notre exemple, l’industrie agro alimentaire, celle du textile, du meuble vont voir leurs carnets de commandes fondre comme neige au soleil : 3 mois encore plus tard, elles seront dans la situation de la supérette.
Ca se résume comme suit :
Le pass = la désertion des salles de cinémas = la ruine de l’industrie cinématographique = « Depardieu à la cloche » = le château Margaux en redressement judiciare.
Donc le gvt se trompe lorsqu’il prétend que les activités « fermées » sont fermées parce qu’elles « ne sont pas essentielles ».
Du fait de la loi du fil à tricoter toute activité en bout de chaine est indispensble quelle que soit sa taille ou son offre.
C’est vrai pour le vendeur de crêpes à Vaugirard comme pour la centrale hydraulique produisant l’électricité de Grenoble : ils sont aussi indispensables l’un que l’autre.
Ceux qui ne le sont pas ce sont ceux qui rédigent des textes nous empêchant d’organiser la prospérité de la nation.
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