Déciviliser le Québec à tout prix? non merci
Au nom de la préservation de notre niveau social
Peut-être serait-il grand temps de songer à couper les ponts du corridor migratoire Haïti-Montréal très actif et à sens unique.
Pour bien en comprendre les raisons, donnez-vous la peine de regarder les illustrations de cet article.
Ce sont toutes des photos récentes de la population haïtienne, une pauvre société considérée comme l’une des plus mal fichue au monde, occupant le 170ième rang sur 189 pays dans l’échelle du degré de civilisation et du développement humain.
Les photos de cet article nous montrent des citoyens haïtiens ordinaires vaquant à leurs occupations quotidiennes, se comportant et réagissant aux diverses situations de la vie de la façon qui leur est coutumière.
Malgré toute l’aide humanitaire internationale et les milliards de dollars envoyés depuis 100 ans pour rebâtir et développer, pour instruire et former, pour mettre fin à la violence, la corruption généralisée et au despotisme, la situation de crise et de marasme permanente ne semble vouloir qu’empirer avec le temps. Il faudra bien finir un jour par avoir l’honnêteté intellectuelle d’admettre que tous les ennuis, tous les problèmes, ne peuvent être toujours attribuables à des facteurs externes, à de malheureux coups du sort hors de leur contrôle.
L’erreur, le voeu pieux, communément repris par les diversitaires remplacistes consiste à faire croire qu’il suffit de parachuter au Québec de ces pauvres Haïtiens par centaines de milliers pour qu’ils deviennent instantanément et comme par enchantement des citoyens honorables, civilisés, bien élevés, éduqués, cultivés, raffinés, aux bonnes manières, parfaitement adaptés à la vie occidentale moderne qu’ils n’ont d’autre part jamais connue.
Non, ils restent comme sur les photos.
Et on en remplit la province à fond de cale, volontairement aveugle aux conséquences désastreuses.
Lors de la période de vaccination contre la covid-19 en avril 2021, les autorités sanitaires ont été forcées de communiquer en dialecte créole avec la communauté haïtienne montréalaise devant leur manque de collaboration civique, dans le but de tenter de les convaincre de participer à l’opération et de vaincre leur ignorance. Qui a prétendu qu’ils étaient francophones fonctionnels…
Les multiculturalistes de bas acabit voudraient même nous faire croire que ces pauvres hères deviendront du jour au lendemain, du simple fait de nous cotoyer, des êtres articulés, allumés, productifs, abonnés à l’OSM, lisant Marie Laberge, assistant au théâtre de Robert Lepage, s’extasiant devant la magistrale fresque de 40 m Rosa Luxemburg de Jean-Paul Riopelle, qu’ils acquerront une mentalité évoluée d’un simple claquement de doigts, se transformant en beau cygne blanc par osmose du simple fait qu’on leur accorde de venir vivre parmi une population à la mentalité plus évoluée.
Non, ils restent comme sur les photos.
Il faut voir les choses en face, faire preuve de lucidité et de clairvoyance. Un abîme infranchissable sépare la civilisation occidentale du reste du monde.
C’est pourquoi il importe de ne pas laisser venir le tiers-monde nous déciviliser. Le retour à la barbarie est la conséquence directe et inévitable de l’immigration massive aveugle et désordonnée.
Ce serait totalement insensé et irresponsable de laisser entrer par millions tous ces tiers-mondistes (et pas seulement les Haïtiens) dans un pays avancé comme le nôtre, en faisant fi de tous les dommages qu’ils finiront par y causer. Ensauvagement des moeurs, hausse marquée de la violence, de la criminalité, abaissement du niveau intellectuel général, création d’un climat de tensions explosives, insécurité des natifs, monopolisation des hlm conçus pour nos pauvres à nous et des banques alimentaires qu’ils pillent sans scrupule aucun, recours abusif et chronique aux services de santé, aux prestations d’aide sociale et vampirisation des organismes de charité qui font des dons de meubles et de vêtements, croyance au vaudou et autres superstitions, violence conjugale, et ce n’est là qu’un bref échantillon de la pléthore de troubles associés à leur afflux massif indiscriminé.
L’immigration tiers-mondiste coûte beaucoup plus cher qu’elle ne rapporte. Elle n’apporte que l’appauvrissement général.
La situation problématique qui vient d’être décrite par rapport à Haïti sera problablement bientôt rejointe par la problématique islamiste apportée par les musulmans qui ont pris pour cible le Québec. Et c’est sans parler de la problématique africaine et hindoue dont il faudra également reparler en temps et lieu.
Devons-nous nous réjouir au plus haut point que Montréal soit en passe de devenir la deuxìème ville haïtienne en importance après Port-au-Prince?
Au nom d’une certaine idéologie diversitaire indéfendable, le Québec doit-il être forcé de prendre un virage aussi périlleux, d’adopter un visage qui n’est pas le sien, ce phénomène de transformation démographique nous étant présenté comme si c’était là l’évolution normale de toute société, comme si c’était la promesse de jours meilleurs, l’aube d’un âge nouveau?
Il serait temps de songer à couper pour de bon les ponts du corridor migratoire Haïti-Montréal en aller-simple, avant que la situation ne se dégrade au point de ne plus être humainement gérable, et que nous devions tous en faire les frais.
Parce qu’eux restent comme sur les photos.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec