Par Alexis I. Fragosa, Esq. (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jo Panuwat/AdobeStock
(Washington, D.C., C-FAM) Les défenseurs de l’avortement utilisent les directives de l’OMS pour promouvoir les avortements médicamenteux à domicile, en prétendant qu’ils renforcent l’autonomie des femmes et maximisent « le confort et le soutien », malgré les méfaits connus [de cette pratique].
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une mise à jour des lignes directrices sur les « soins personnels », qui recommandent l’auto-administration de médicaments abortifs sans la supervision directe d’un médecin.
« Les femmes peuvent gérer leur santé reproductive », a déclaré Lilian Muchoki de Women First Digital, une organisation pro-avortement qui fournit des instructions approuvées par l’OMS aux femmes cherchant à avorter dans des pays où cette pratique est restreinte ou illégale, lors d’un récent webinaire.
Les directives de l’OMS affirment que la promotion des « soins auto-administrés » permettra aux individus, aux familles et aux communautés de promouvoir la santé et de prévenir les maladies lorsqu’ils n’ont pas accès aux services de santé essentiels ou lorsque les services sont interrompus en raison de situations d’urgence.
Les interventions comprennent l’auto-administration de contraceptifs injectables, la contraception d’urgence et les pilules pour provoquer des avortements.
L’OMS a depuis longtemps jeté les bases d’un accès généralisé à l’avortement, notamment en ajoutant les abortifs mifepristone et misoprostol, ainsi que l’emballage combiné des deux, à ses listes de médicaments essentiels.
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