Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : UIHere
Quand la consommation nourrit des vipères
Pour contrer l’Effet de Serre Financier qui menace nos sociétés et dont j’ai parlé précédemment, nous devons diminuer le pouvoir de corruption du Cartel mondialiste. Pour ça nous devons, c’est urgent, réduire notre Empreinte Cartel, c’est-à-dire, la portion de nos activités de consommation qui augmente les revenus et le pouvoir du grand capital. Notre Empreinte Cartel est l’équivalent financier de l’empreinte carbone. Réduire cette empreinte signifie donc réorienter nos activités de consommations vers des biens et des services qui contribuent peu ou pas à enrichir le Cartel mondialiste et à augmenter son pouvoir.
Comme dans le cas de l’empreinte carbone, les communautés, mais aussi les individus, peuvent réduire l’Empreinte Cartel de leurs activités. C’est un objectif qui nous touche tous et où chacun peut faire sa part en modifiant ses habitudes de consommation.
Chaque bien et chaque service que nous consommons a une Empreinte Cartel spécifique. Pour se donner une idée concrète de ce qu’est cette « empreinte cartel » de la consommation il suffit d’examiner certains des biens et services qui se situent aux antipodes. C’est-à-dire les biens et les services dont l’Empreinte Cartel est très élevée d’une part et ceux qui ont une empreinte faible ou nulle de l’autre. Ces deux pôles baliseront ainsi le « spectre cartel » de la consommation ; l’empreinte de la plupart de ce que nous consommons se situant entre les deux.
En général, chaque fois que nous achetons un produit qui est fabriqué par les grandes entreprises, commercialisé par les grands médias ou distribué par ceux-ci nous augmentons le pouvoir de manipulation de l’élite mondialiste et sa capacité de modifier nos sociétés en fonction de ses intérêts.
Dans le premier pôle, celui de la consommation à forte Empreinte Cartel, nous retrouvons les injections sanitaires et les divertissements de masse. Dans le premier cas (le « vaccin » de Pfizer par exemple), le produit et sa commercialisation sont réduits à leur plus simple expression : une molécule brevetée, achetée par l’état, payée par des taxes et directement injectée dans le consommateur. Les produits de l’industrie mondiale de la mode (ceux de l’Oréal par exemple) sont un autre exemple. Ils ont, eux aussi, une Empreinte Cartel forte.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie