L’avis du Dr Willem formé à la médecine rustique lors de son service militaire en Afrique et qui considère que la vaccination est devenue culturelle ; En France c’est particulièrement le cas en raison des théories pasteuriennes qui sont des impostures. (Cf “pour en finir avec Pasteur” ou “Pasteur l’imposture” et bien d’autres)
Chère lectrice, cher lecteur,
Heureux comme un Français vacciné… Nouveau dicton ?!
Ils sont déjà plus de 17 millions à avoir reçu les deux injections salvatrices (et 32 millions, une seule).
Le vaccin, quel que soit le fabricant, n’exonère pas de tout risque (et il y en a plus qu’annoncé), mais il offrirait une certaine protection.
C’est ainsi que les Français retrouvent le goût de la vie.
Les projets affluent. Ils commencent à jouir d’une liberté entravée depuis un an.
Oui mais…
L’Europe a mis un mouchoir sur les divergences de ses membres, pour adopter un certificat sanitaire avant l’été tant il est urgent de relancer la circulation entre les Etats, les affaires et le tourisme…
Le fait d’être complètement vacciné contre le Covid offrirait deux privilèges majeurs :
- limiter fortement les risques de tomber malade et encore plus de contracter une forme sévère ;
- être débarrassé du masque et des contraintes de distance physique avec d’autres personnes dûment immunisées.
Mais beaucoup de précautions doivent être maintenues, comme le rappellent les messages sanitaires diffusés à la télé ou la radio « Ce n’est pas parce que l’on est vacciné qu’il faut y renoncer, il y a des variants qui pourraient être moins sensibles au vaccin, en particulier le virus indien.
Et puis, même si les vaccins sont très efficaces pour empêcher d’être malade, ils n’éviteraient pas à 100 % le portage asymptomatique du virus ».
En clair, si vous êtes vacciné, vous ne tomberez pas malade a priori, mais en l’état actuel des connaissances, il y a encore une petite probabilité de transmettre le virus.
D’où la nécessité de conserver les gestes barrière dans certaines situations.
Mais d’abord, à quel moment serait-on complètement protégé ?
Avec les vaccins de Pfizer-BioNTech et de Moderna, l’immunité serait considérée comme totalement acquise deux semaines après la seconde dose.
Pour l’AstraZeneca, douze semaines après la première injection.
Qu’en pensent nos experts ?
Epidémiologiste de renom et membre du conseil scientifique, le professeur Arnaud Fontanet juge raisonnable l’allégement des mesures mais prévient : il faut en profiter pour se vacciner car septembre pourrait être difficile :
« une menace pointe, le variant indien. Il faut regarder attentivement ce qui se passe en Grande-Bretagne, leur situation préfigure ce que nous connaîtrons en France à la rentrée. Les Anglais ont deux mois et demi d’avance. Je n’ai pas de boule de cristal mais, d’ici-là, le plus plausible est que le variant indien soit devenu majoritaire sur notre territoire. Reste à connaître sa virulence. Si la hausse des cas outre-Manche s’accompagne d’une hausse des hospitalisations, cela ne sera pas bon signe pour nous. »
* * *
Mon avis… je vous le donne sans filtre !
Docteur ! que pensez-vous des vaccins ? J’attendais cette question !…
En résumé : si vous ne recourez pas aux huiles essentielles, seule thérapie efficace, alors faites-vous vacciner pour donner à l’humanité une immunité collective.
Ainsi la pandémie risque de s’éteindre plus vite.
Evidemment vous subirez une litanie de dégâts à court terme et surtout à long terme.
Je n’ai jamais été adepte des vaccins, j’en connais les limites et les dégâts secondaires.
Ainsi, je ne les ai jamais préconisés au départ.
C’est le remède le plus iatrogène parmi tous les produits chimiques.
On met en avant l’équation Bénéfice/Risque, pour essayer de démontrer qu’il est inoffensif.
Et pourtant que de morts à recenser après l’injection (les EPHAD peuvent en témoigner).
Je serais enclin à recommander les vaccins sans adjuvants, à la rigueur !
Convaincus que la vaccination était une panacée, les amis de Big Pharma l’ont imposée dans le monde entier sous forme de campagnes vaccinales, de calendriers vaccinaux, de programmes élargis de vaccinations, de lois d’obligation vaccinale, etc.
Quand une pratique médicale devient… culturelle !
La vaccination est ainsi devenue culturelle, telle une idéologie pour laquelle on doit être prêt à immoler un petit nombre afin de sauvegarder le groupe.
Solution de facilité, approche sécurisante, la vaccination offre une alternative commode que nulle autre pratique médicale ne possède.
Certes, sa mise au point nécessite un investissement chiffrable, mais qui est vite amorti par des bénéfices apparemment alléchants, lesquels poussent à une surenchère commerciale incessante.
Toutefois, depuis plusieurs années, la vaccination connaît un certain recul.
Les médecins sont moins convaincus et hésitent à pratiquer le rituel de la vaccination, d’autant que le carnet vaccinal des enfants s’est considérablement rallongé (13 vaccins !).
Il faut savoir qu’aux États-Unis il existe un tribunal des vaccins. En 2019, 4,2 milliards de dollars ont été versés en indemnités aux « victimes » des vaccins…
Selon la médecine officielle, la santé est l’absence de maladies, ce qui a généré ce que l’on appelle « la médecine préventive ».
On peut vérifier que la véritable prévention ne consiste pas à multiplier les vaccins pour « prévenir » les maladies.
Il est grand temps d’abandonner cette logique de guerre contre les microbes, car sans eux la vie n’existerait pas.
Entraver la protection générationnelle ?!
Il est d’autant plus important d’être avertis que les vaccins ne sont pas des médicaments : ils sont destinés à des êtres en bonne santé, dans le dessein de prévenir une maladie hypothétique et la plupart du temps bénigne !
Aussi, lorsque l’on parle du rapport bénéfice-risque des vaccins, il ne faut pas le comparer au dilemme qui peut se poser lors d’une très grave maladie ne pouvant être soignée que par un médicament qui met en péril votre vie : nous ne sommes pas dans ce schéma pour ce qui concerne la vaccination.
En outre, la vaccination de masse empêche l’installation de l’immunité naturelle conférée par la confrontation avec les virus et les microbes : immunité qui se transmet d’une génération à l’autre.
On constate que les mères ont une immunité vaccinale, qui est loin d’être permanente et qui ne peut se transmettre à leurs enfants.
Si bien que l’absence d’immunité naturelle permet à certaines maladies de l’enfance de se manifester plus tard.
Si nous continuons sur cette lancée, nous risquons de disparaître avant notre planète (tout aussi menacée…) !!
Quant à savoir si on doit vacciner les jeunes…
Dans un échange entre Haim Yativ, ingénieur et le dr Hervé Seligmann de l’université de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes de la faculté de médecine d’Aix-Marseille, on nous présente les dernières analyses de données publiées en Israël par le ministre de la Santé, et des données européennes Euromomo.
Leurs études portent sur l’évolution de la mortalité mais aussi sur les effets des vaccins, en particulier sur la jeunesse.
J’aimerais vous partager ici un retour sur cet échange, notamment parce qu’il met en exergue les contradictions des vaccins… !
Ils rapportent notamment que « le nombre de vaccinés augmente le nombre de cas covid-19 » et que les effets des vaccins deviennent protecteurs seulement après quelques semaines.
Par ailleurs, ils montrent que « les dégâts collatéraux, suite au vaccin, sont de plus en plus graves si on descend en âge », et que ces vaccins se montrent considérablement plus dangereux que protecteurs pour les jeunes.
Une autre vague en perspective
Aujourd’hui mon autre combat est la prise en charge de la maladie d’Alzheimer.
J’ai annoncé que tous ceux qui souffrent de troubles olfactifs développeront tôt ou tard cette maladie neurodégénérative.
Dans mon livre « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ».
Ed. Trédaniel, j’évoque la parade pour stopper son évolution ou la contourner.
Cette découverte fait le tour du monde.
Le livre a été traduit en chinois, anglais, portugais et bientôt russe.
En France, cinq journalistes m’ont interviewé sur cette maladie pour laquelle la médecine officielle ne propose aucune thérapie.
Tous les malades qui entrent dans un EPHAD n’en sortent pas (sauf dans trois EPHAD où on applique mon protocole).
Dans ma faculté libre de médecines naturelles (FLMNE) on forme des gens en aromathérapie.
Nombreux se sont inscrits pour traiter leur famille, d’autres pour soigner des patients dans des structures hospitalières ou des EPHAD.
En attendant le jour où la sagesse gagnera le cerveau de la nomenclatura médicale et fera appel cette médecine incontournable.
A la demande des autorités médicales chinoises, nous avons envoyé en Chine des jeunes formés dans notre faculté pour former à leur tour leurs jeunes.
N’y aurait-il que la France pour miser sur le tout vaccinal ?!
Profitez des beaux jours de l’été pour vous aérer et retrouver une vie sociale.
Bonne lecture !
Jean-Pierre Willem
Source : JP Willem
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