Nous vivons dans un pays où, à raison de 100 000 fois par année, une femme portant en son sein un enfant à naître fait le choix d’engager les services d’un tueur à gages se spécialisant dans l’assassinat de petites cibles. Nommé « médecin » par un régime médical corrompu, cet individu, aux frais des contribuables, commet son meurtre en introduisant, dans le sein maternel, ses armes de prédilection — une curette (cuiller au bord tranchant) et une tige aspiratrice — qu’il manie avec habileté pour déchiqueter le corps de celui dont l’existence était devenue gênante. Les dépouilles sanglantes de l’enfant sont ensuite déposées dans une poubelle étiquetée « déchets biologiques » et transportées par camion à l’incinérateur.
Parfois, si la grossesse est suffisamment avancée, l’enfant ciblé pour exécution acquiert une « plus-value » aux yeux des pharmaceutiques. Des techniciens seront présents à son assassinat par césarienne, et son petit corps encore chaud sera traduit dans une salle de dissection spécialisée où les organes de choix seront retirés. Il n’est pas du tout improbable que cet enfant soit vivant lors de l’extraction de ses parties, car les organes d’un cadavre ne servent à rien. Ce fut très possiblement le cas pour le pauvre enfant, tué par avortement tardif dans les années 70, dont les reins ont été utilisés pour créer la lignée de cellules HEK-293 qui servit à la production de nos fameux pseudo-vaccins covid.
Nous vivons donc dans un pays cruel et anthropophage : nous tuons des bébés à naître, dont les dépouilles servent parfois à concocter des produits pharmaceutiques (dont l’utilité est plus que douteuse) que nous introduisons dans notre corps. Comment osons-nous nous dire « civilisés » quand nos pratiques nous rappellent les tristes dérives des peuplades cannibales les plus arriérées? Ô Canada !
Notre pays fait l’inverse de la volonté de Dieu. Celui qui a dit : « Ceci est mon corps, livré pour vous » est chassé, de toutes les tribunes, par le meurtrier qui hurle : « ceci est ton corps, livré pour moi ! » Le Christ donne sa vie aux autres, pour qu’ils aient la Vie en plénitude. L’avorteur prend la vie des autres, des enfants innocents, et sème avec son aspirateur, dans le cœur des mères et des pères, un vide que nul ne peut combler, si ce n’est Dieu lui-même.
Le 1er juillet, « fête du Canada », sera donc pour nous un jour de deuil. Impossible de fêter ! Comment même oser sourire dans ce pays entaché de sang, lorsque de telles abominations non seulement ont lieu en moyenne 274 fois par jour dans des « cliniques » anonymes non loin de chez nous, mais surtout lorsque ces meurtres sont considérés par notre soi-disant « élite » comme un « droit » et leur promotion, comme un gage de progrès?
Devant une telle situation, ce 1er juillet nous avons un devoir, non de fêter, mais d’entrer, si ce n’est pas déjà fait, en résistance résolue et sobre contre le régime canadien, qui a usurpé le beau nom de « Canada » et terni à jamais sa mémoire.
Cette résistance sera multiforme et variée, selon les capacités et la disponibilité de chacun. Mais à la base de toute résistance cohérente et efficace se trouvera d’abord l’amour de la vérité, et la haine de tout mensonge. Il se trouvera également une foi vivante en ce Dieu humble et compatissant, qui relève les petits et humilie les superbes. Notre combat n’est pas celui d’un jour ni même d’une décennie, mais de toute une vie vouée à la vie éternelle. Chacun de ces 100 000 enfants tués dans l’indifférence générale a un nom et une destinée voulue par le Dieu tout-puissant. Imaginez la mesure de justice Divine qui se prépare pour ceux et celles qui n’auront pas résisté à ce régime abortif meurtrier ! Et ici je ne parle même pas des collaborateurs et des avorteurs qui, s’ils ne se repentent pas, auront à vivre éternellement les supplices qu’ils ont infligés, de leur vivant, à d’innombrables enfants.
En ces jours qui précèdent le 1er juillet, qui se veut « jour de fête » d’un Canada qui par ses pratiques cruelles serait, pour nos ancêtres, méconnaissable, Campagne Québec-Vie tient à remercier tous ceux et celles qui ont su entrer en résistance avec nous. Par vos prières, par vos œuvres et par vos dons, vous vous êtes mis du côté des gagnants, vous avez dit « non » au mensonge et au meurtre. Vous n’avez pas permis que l’on oublie les vies éliminées de manière aussi impersonnelle et cruelle. Puisque vous avez choisi d’être petits ici-bas en vous associant à ces petits enfants délaissés, vous serez grands dans le Royaume de Dieu. Merci à vous, chers résistants.
Pour la Vie,
Georges Buscemi
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