Sky News Autralia (traduit par Jeanne Traduction) nous offre une émission faite par de vrais journalistes. On n’a plus l’habitude. Ça décoiffe.
Le manque de sécurité du laboratoire était connu
La collaboration avec la France sur le projet de laboratoire P4 à Wuhan a connu plus d’une décennie d’affrontements intenses résultant, selon les autorités chinoises, « de nos différences de culture et de compréhension ». Traduction : les Français n’ont pas validé la sécurité.
Le directeur adjoint du laboratoire, Song Donglin, admet qu’ils n’avaient aucune expérience dans le domaine de la biosécurité. Ils avaient pourtant affaire à des agents pathogènes les plus dangereux au monde.
Les Chinois mènent leurs recherches en secret
Une fois le laboratoire achevé, les Français ont été immédiatement mis à la porte. Le gouvernement et les les services de renseignement français étaient furieux. Ce laboratoire était censé être un centre de coopération internationale. De plus, il y avait de graves préoccupations, sur ce que les scientifiques pouvaient cacher et sur les recherches biologiques qu’ils avaient l’intention de mener.
L’OMS, Fauci, Daszak mentent
Quinze mille échantillons de chauve-souris, les bases de données de virus de l’Institut de virologie de Wuhan, ont toutes été effacées d’Internet, à partir du 12 septembre 2019. L’Organisation mondiale de la santé est venue enquêter à Wuhan, mais n’a même pas demandé l’accès à cette base de données.
Peter Daszak, zoologiste britannique qui faisait partie du groupe des dix experts, a nié que des chauves-souris aient été conservées au laboratoire de Wuhan : « C’est une théorie du complot largement répandue. […] Il n’y a pas de chauves-souris vivantes ou mortes à l’intérieur. Il n’y a aucune preuve nulle part que cela soit arrivé. C’est une erreur qui, je l’espère, sera corrigée. »
Ce n’est pas une conspiration de dire qu’il y avait des chauves-souris vivantes dans le laboratoire, c’est un fait. Une vidéo montre des chauves-souris dans une cage à l’institut de Wuhan.
Daszak n’est revenu sur sa déclaration qu’en juin 2021.
Daszak a personnellement remercié Anthony Fauci dans un email, lorsque Fauci a publiquement dit que le virus était naturel.
Fauci lui-même est également criblé de conflits, étant donné que ce sont des subventions de sa propre agence qui ont financé ces recherches dangereuses à Wuhan.
Le virus de Wuhan : une arme biologique
Les expériences, appelées gain de fonction, visent à rendre les virus plus infectieux et plus virulents, pour essayer de prévoir lesquels pourraient causer une pandémie. Le Pr Nikolai Petrovski de l’université Flinders l’a souligné il y a plus d’un an : «Il semble vraiment que c’est un virus qui est conçu de façon optimale pour infecter les humains. » Il n’existe pas de consensus scientifique, sur le fait que le virus ait une origine naturelle.
L’OMS en plein conflit d’intérêts
L’OMS est à l’origine de la désinformation sur la fuite du laboratoire.
Daszak a organisé, rédigé et signé la lettre du Lancet disant que c’était une conspiration de suggérer que le virus avait pu fuiter d’un laboratoire. Or il est co-auteur d’articles scientifiques avec Shi Zhengli, la directrice du laboratoire de Wuhan, et a prélevé des échantillons de chauves-souris avec elle. Ses recherches ont été financées avec des subventions du NIH (National Institutes of Health) d’Anthony Fauci.
L’implication même de Daszak dans l’enquête de l’Organisation mondiale de la santé, était un conflit d’intérêt extrême.
A l’origine de la fuite : le manque de sécurité
La présentatrice de la télévision australienne conclut : « Je suppose que l’Organisation mondiale de la santé, n’a pas demandé à voir les images de sécurité d’octobre, quand il y a eu une coupure de courant dans le complexe, ou de septembre quand les bases de données virales ont été soudainement mises hors ligne… »
Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme