1. Les événements survenus entre le 15 mars 2020 et le 15 mars 2021 sont officiellement classés comme des actes de guerre hybride de grande envergure de génération B, exploitant un vecteur biologique répandu et sujet à des mutations fréquentes.
2. Cette guerre non déclarée constitue un épisode inédit dans un conflit aux contours fort floues opposant des oligarchies à des acteurs étatiques mais également entre multinationales. Ce conflit a confirmé l’ascension des géants de l’Internet et leur mainmise absolue sur la fabrique de l’opinion et le formatage de l’information. Cette maîtrise leur confère désormais un rôle politique plus important au point de censurer des Chefs d’État ou d’influer lourdement sur les choix électoraux.
3.Le SARS-CoV est un virus à ARN de polarité positive appartenant au Betacoronavirus qui fait l’objet de nombreuses recherches par les laboratoires médicaux mais aussi par les militaires en raison de son potentiel et de son long génome. Le SARS-CoV-2, rendu public et non apparu en 2019, est une nouvelle souche génétique virale à ARN monocaténaire provoquant une forme d’épidémie saisonnière en cas de faible immunité collective comme les coronavirus responsables de simple rhumes (H-CoV-229E ou encore HCoV-OC-43). Ce vecteur complexe avait un potentiel pour devenir une arme biologique disruptive à létalité ciblée ou chronique de basse intensité. Mais les mystères du système immunitaire humain sont loin d’être élucidés et les choses ne se sont passés comme prévu. Ce qui explique la panique qui s’est emparée des grandes puissances au début de l’annonce d’une nouvelle pandémie puis la manipulation de cette peur à des fins de politique interne mais également géopolitique.
4.Le SARS-CoV-2 s’est avéré un virus extrêmement instable. La première mutation a boosté la capacité infectieuse de ce vecteur et serait originaire d’un laboratoire britannique. D’ailleurs, l’apparition du variant anglais en décembre 2020 soulève de nombreuses questions sur l’existence d’une volonté délibérée à modifier le génome de ce vecteur. Avec plus de 17 mutations incluant des suppressions, un record, ce variant ne pouvait sortir que d’un laboratoire de grade militaire. Les variants sud-africain et brésilien qui partagent avec le variant anglais une mutation importante améliorant la liaison avec le récepteur cellulaire ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2) nécessaire à l’entrée du virus dans les cellules de l’hôte, affaiblissent l’efficacité des anticorps et favorisent la réinfection.
5. La Chine a joué un rôle dans la guerre psychologique initiale à l’annonce du virus en fuitant des images et des vidéos de personnes tombant dans la rue ou de patients souffrant de crises tonico-cloniques. Cette guerre psychologique a été aggravée par la propagande anti-chinoise de relais des services de renseignement occidentaux. En apparence, les deux initiatives opposées ont concouru à un résultat unique: propager un mouvement de panique ayant permis aux pouvoirs publics dans un nombre grandissant de pays à prendre des mesures inédites en matière de restriction des libertés de mouvements et de circulation, fermeture des frontières, arrêt de pans entiers de l’économie, confinements et mises en quarantaine.
6. Cette guerre hybride a transformé les structures de l’économie mondiale et mis à nu les manipulations des résultats macro-économiques par l’ensemble des pays du monde. Elle a également permis l’émergence d’une niche commerciale à haut rendement dans le secteur médical et pharmaceutique, fortement critiqué pour sa subordination de plus en plus manifeste à l’idéologie et au politiquement correct. La guerre des vaccins a certes un connotation géostratégique dans la continuité du clivage stratégique existant mais représente un enjeu commercial majeur pour les laboratoires pharmaceutiques qui connaissent le potentiel des vaccins existant à générer de nouveaux syndromes auto-immunes dans le cadre de ce qu’ils appellent en interne le développement durable des pathologies (et leur maintien). Ce qui est la garantie d’un rendement à long terme. Cette approche cynique n’est pas nouvelle. Elle constitue l’une des bases de l’économie postmoderne. L’humain peut être un produit à obsolescence programmée. De cette crise majeure , la médecine en sort décrédibilisée. Un médecin antique tel que Galien pourrait être l’un des meilleurs médecins au 21e siècle.
7. La vaccination est un enjeu purement économique. Les tentatives de l’élargir aux enfants et aux adolescents traduit une logique commerciale pure qui ne tient aucunement compte des nécessités biologique ou d’une quelconque prophylaxie. Contrairement à d’autres vaccins comme ceux de la Poliomyélite ou de la Rougeole, L’efficacité des vaccins anti-NcoV-2 est loin d’être prouvée. L’opacité qui entoure les constituants de ces vaccins et le refus de transparence à ce sujet est assez symptomatique du système consumériste créateur de faux besoins/faux problèmes pour plus de profit.
Le rhume tue depuis la plus haute antiquité. Le nCoV-2 également si l’on est amoindri, déprimé ou souffrant d’autres affections susceptibles d’aggraver l’impact d’une réaction immunitaire à une infection virale. L’idée d’un pass sanitaire est au mieux saugrenu et ne traduit qu’une obsession de plus de contrôle social, moins d’interactions sociales réelles entre les individus et la restriction des déplacements. La hausse des prix des transports traduit cette volonté de rendre tout déplacement fort pénible. Comme dans un récit surréaliste, les gouvernements ont imposé des autorisations de sortie et des muselières humaines pathogènes en se basant sur une grosse manipulation sur fond d’un conflit mondial entre la Chine et les États-Unis. L’enjeu étant l’hégémonie mondiale et la peur d’un déclassement pour un empire.
C’est la plus grande manipulation depuis la fin des années 60 et certainement pas la dernière. La censure n’y changera rien.
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