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par Jean Goychman
Nous vivons dans un monde ou la communication, la sacro sainte communication, doit imposer sa propre réalité. Bien sûr, cela ne date pas d’hier, les progrès de la technologie et de la diffusion de masse ont permis à cette discipline de prendre une importance prédominante dans la façon dont les gens comme vous et moi sont informés de la marche de la planète.
Conscients de la nécessité de maintenir le moral des peuples et des combattants en cas de guerre (nécessité fait loi) il était admis que l’information du public pouvait déroger à certaines règles et que les critiques ou la mise en doute des actions entreprises par ceux qui nous gouvernent ne pouvaient en aucun cas franchir certaines limites.
Fabriquer l’opinion
Durant longtemps, on nous a seriné que la pluralité d’opinions associée à une totale liberté d’expression étaient les meilleurs garants de la démocratie. Car cette dernière est avant tout une question d’opinion. En théorie et dans un monde idéal, chaque citoyen devrait pouvoir se forger la sienne propre, qui résulterait pour beaucoup de sa perception des choses. Or, la fabrication de l’opinion publique, et c’est une sorte de perversion de la démocratie, est devenue un enjeu majeur.
Et pour cela, il faut bien reconnaître que les recherches ont été fructueuses.
Tout d’abord, il faut, pour crédibiliser une information, qu’elle soit diffusée le plus largement possible, de façon à être répétée le plus possible. Une seule source est, par nature, peu crédible, mais l’instinct grégaire prend le dessus lorsque toutes les sources reproduisent les mêmes messages.
Comme le disait Mark Twain, « il est beaucoup plus facile de duper les gens que de leur faire admettre qu’ils ont été dupés ». On peut le regretter, mais c’est ainsi.
Et question duperie, il semble que nous vivons une période particulièrement faste. On nous a raconté au début de l’épidémie une belle histoire de chauve-souris et de pangolin, mais personne ne nous avait parlé de la réunion des banquiers centraux dans le Wyoming quelques semaines avant.
Pourtant, l’épidémie du virus a été qualifiée par le fondateur de Davos comme une opportunité exceptionnelle qui allait permettre d’anticiper de plusieurs année la « grande réinitialisation »
Cette grande réinitialisation, qui en a entendu parler ?
Et pourtant, celle-ci devait commencer, comme l’avait souhaité le gouverneur de la Banque d’Angleterre, par une intense création monétaire des banques centrales, destinée à pousser le système actuel « à ses limites » afin de le remplacer par celui prévu dans le « great reset ».
A-t-on voulu démultiplier la paralysie de l’économie ?
La question va certainement faire débat un jour ou l’autre. Avec le recul du temps, on peut constater qu’il y a peu d’écart en matière de mortalité entre les pays qui, pourtant, ont eu des attitudes complètement différentes, voire opposées, pour traiter la pandémie. En définitive, on mesure mal l’incidence des mesures radicales comme le confinement, les restrictions de déplacement et l’obligation du télétravail en terme de décès, qui, au demeurant, sont restés à un niveau très faible exprimé par rapport à l’ensemble des populations.
Par contre, la différence devient abyssale lorsqu’on compare l’évolution de ce qui est appelé « la dette COVID » entre les différents pays adeptes des restrictions de liberté et ceux qui ont vécu « normalement » qui s’en tirent beaucoup mieux. La dette publique française à fait un bond considérable, et elle n’est pas la seule. En l’absence d’éléments probants, on ne peut que constater que les mesures envisagées lors de la réunion d’août 2019 ont trouvé un terrain d’application extraordinaire avec cette pandémie, sans que l’on puisse cependant établir leur absolue nécessité de mise en œuvre.
D’autres questions surgissent
Dés le début, certains se sont étonnés, à juste titre, que des médicaments qui auraient pu avoir un rôle extrêmement bénéfique dans le traitement du virus aient été ignorés, voire interdits. En l’absence de traitement adéquat, tous les espoirs se sont tournés vers le vaccin. Or, de vaccin connu, il n’y avait point. Beaucoup de laboratoires s’activèrent dans ce but et les premières dates de disponibilité furent avancées. Assez curieusement, alors qu’un consensus se dégageait pour dire que, compte-tenu de la lenteur de la procédure de mise sur le marché, il fallait entre 8 et 10 ans pour obtenir un vaccin « opérationnel », mais, comme par une sorte d’enchantement, on nous annonça une date beaucoup plus proche pour l’apparition de vaccins efficaces, grâce aux progrès technologiques, notamment avec l’emploi de l’ « ARN messager ». Il est assez surprenant de voir que tout à été canalisé dans l’opinion publique pour que seul la vaccination apparaisse comme une porte de sortie à cette crise sanitaire.
Aujourd’hui nous commençons à avoir un certain recul et certains avis divergent du courant dominant entretenu par les médias « main stream ». C’est le cas du professeur Montagnier, Prix Nobel et virologue reconnu, qui déclare que les variants sont consécutifs à la vaccination et que « on ne devrait jamais vacciner pendant l’épidémie » car on renforce l’action du virus.
Plus étrange encore, ce propos tenu par le professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses et qui fait autorité dans le monde médical en raison de la qualité de ses publications, qui
remarque, statistiques à l’appui, que les patients infectés qui guérissent par traitement médical font
beaucoup moins de rechutes que les patients vaccinés. Ce qui lui permet de conclure que l’immunité naturelle est meilleure que celle produite par le vaccin.
Alors, pourquoi ne pas privilégier le traitement plutôt que la vaccination ?
Que conclure de ce que nous vivons actuellement ?
Il paraît évident que notre pensée est canalisée pour nous faire admettre que seule l’information « main stream » représente la vérité et que tout doute émis sur le sujet ne peut provenir que de gens adeptes de la théorie du complot. Ce manichéisme finit par devenir outrancier et incite plutôt à rechercher s’il n’y aurait pas une sorte de « vérité alternative » qui répondrait mieux à certaines observations.
On peut, bien sûr, tout expliquer par des « coïncidences fortuites », mais souvenons-nous de la phrase de Lincoln : « On peut tromper peu de gens longtemps, beaucoup de gens moins longtemps, mais pas tout le monde tout le temps »
Même si certains communicants pensent que la réalité importe peu et que l’essentiel est que les gens croient à ce qu’ils pensent être la réalité, il arrive toujours un moment où la Vérité reprend ses droits…
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