« le siège de Leningrad « …
Les gens ne pensaient qu’à partir ; seule une voie était ouverte, et ils la prenaient en risquant la mort quand ils avaient enterré toute leur famille morte de faim, en traînant le cadavre dans les escaliers, puis la rue, à la main !
Un récit entre autres, recueilli par un habitant de Leningrad à l’époque : la rencontre d’un garçonnet squelettique, mangeant de la colle, dans la rue. Tout le monde avait péri dans sa famille. L’auteur lui donne un peu du pain à la paille qu’il mange.
Non ce n’étaient pas des patriotes, juste de la populace sous pression.
Ce qui est admirable, c’est l’esprit d’entr’aide manifesté par le passant au pain rationné.
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