SOTT FOCUS: Eugénisme et contrôle de l'humanité — Les plans des élites sont purement et simplement démoniaques

SOTT FOCUS: Eugénisme et contrôle de l'humanité — Les plans des élites sont purement et simplement démoniaques

« L’enfer est vide et tous les diables sont ici. »

~ William Shakespeare, La Tempête

Mike Yeadon est un microbiologiste à la voix douce et ancien vice-président de la recherche sur les allergies et les maladies respiratoires chez Pfizer. Il a passé 32 années à travailler pour de grandes entreprises pharmaceutiques et il est un expert de premier plan en matière d’infections respiratoires virales. C’est aussi un homme investi d’une mission qui consiste à informer le plus grand nombre de personnes possible à propos des élites au pouvoir qui utilisent la pandémie comme un écran de fumée pour dissimuler leurs véritables objectifs. Voici ce qu’a déclaré Yeadon dans une récente interview :

La Mort en peinture

© Inconnu

« Si vous vouliez dépeupler une partie significative du monde, et le faire d’une manière qui ne nécessiterait pas la destruction de l’environnement avec des armes nucléaires, ou l’empoisonnement de tout le monde avec de l’anthrax ou quelque chose du genre, et que pouvoir le nier de façon plausible vous soit nécessaire, tout en ayant à faire face depuis plusieurs années à une crise sanitaire infectieuse, je ne pense pas que vous pourriez trouver un meilleur plan que celui qui semble exister pour ce que je peux en voir. Je ne peux pas affirmer que c’est ce qu’ils vont faire, mais imaginer une raison anodine de la raison pour laquelle ils le font ne m’est pas possible. »

~ Interview avec le Dr Mike Yeadon, « The Delingpole Podcast » — Minute 44:25

« Dépeuplement » ? Qui a parlé de dépeuplement ? N’est-il pas un peu exagéré de passer d’une campagne de vaccination de masse à des allégations de complot visant à « dépeupler une partie importante du monde » ?

En effet, c’est le cas, mais Yeadon a effectué des recherches approfondies sur le sujet et a fourni des preuves irréfutables qu’un tel objectif diabolique pourrait, en fait, bien être le but recherché. De plus, si les gens sont persuadés que Yeadon a tort, ce n’est pas par manque de preuves mais plutôt en raison d’un obstacle plus fondamental : l’incapacité à concevoir la faculté qu’ont certains individus à se livrer à des actes d’une méchanceté et d’une cruauté presque inimaginables. Yeadon poursuit :

« S’il est bien une chose qui est pour moi devenu absolument claire, c’est que même lorsque je parle à des personnes intelligentes, des amis, des connaissances… et qu’elles comprennent que je leur explique quelque chose d’important, à partir du moment où j’en arrive à dire que votre gouvernement vous ment d’une manière qui pourrait conduire à votre mort et à celle de vos enfants, le dialogue s’arrête là parce l’accepter leur est impossible. Et je pense que 10 pour cent d’entre eux comprennent peut-être ce qu’implique ce que j’ai dit, tandis que les 90 pour cent qui restent se mettent à ignorer ce qu’elles ont compris jusqu’à ce moment-là, parce qu’il leur est trop difficile d’aller plus loin. Et mon inquiétude est que nous allons perdre, parce que les gens ne sont pas prêts à accepter la possibilité que des individus soient à ce point démoniaques…

Mais je vous rappelle ce qui s’est passé en Russie au XXe siècle, ce qui s’est passé de 1933 à 1945, ce qui s’est passé en Asie du Sud-Est dans les moments les plus terribles de l’après-guerre. Et, ce qui s’est passé en Chine avec Mao et ainsi de suite…

Il suffit de regarder deux ou trois générations en arrière. Nous sommes entourés d’individus tout aussi malfaisants que les auteurs de ces actes. Ils sont partout autour de nous. Donc, je dis aux gens que la seule chose qui distingue vraiment la situation actuelle [des précédentes – NdT], c’est son échelle.

Mais pour tout dire, on ne peut nier que la situation est moins sanglante, c’est moins personnel, n’est-ce pas ? Les choses sont aujourd’hui bien plus simples pour ceux qui sont aux manettes… Ils n’ont pas à tirer une balle en pleine tête de qui que ce soit. Ils n’ont pas besoin de tabasser à mort qui que ce soit, ou de l’enfermer, de l’affamer, de le faire travailler jusqu’à ce que mort s’en suive. Toutes ces choses se sont produites il y a deux ou trois générations… Ce qui ne remonte vraiment pas à très loin.

Et tout ce que je dis, c’est que des dérives de ce genre se produisent à nouveau, mais que leur outil est désormais la biologie moléculaire. »

~ Ancien vice-président de Pfizer, « Votre gouvernement vous ment d’une manière qui pourrait vous conduire à la mort » — LifeSite News

Il a raison, n’est-ce pas ? Alors qu’un grand nombre de personnes savent que le gouvernement, les médias et les responsables de la santé publique leur ont menti sur tout, de l’efficacité des masques, de la distanciation sociale et des confinements, aux dangers mortels des « vaccins » expérimentaux, ils refusent toujours de croire que les personnes qui orchestrent cette opération pourraient les pousser inexorablement vers l’infertilité ou une mort précoce. Ils ne peuvent imaginer quelque chose d’aussi démoniaque, alors ils font l’autruche et font semblant de ne pas voir ce qui se passe juste sous leur nez. Cela s’appelle le « déni » et cela ne fait que renforcer la position des marionnettistes qui opèrent dans les coulisses. Voici plus d’informations de Yeadon :

« […] Au cours de l’année écoulée, j’ai réalisé que mon gouvernement et ses conseillers mentaient au peuple britannique sur tout ce qui concernait ce coronavirus. Absolument sur tout. Cette idée de transmission asymptomatique selon laquelle vous n’avez pas de symptômes mais que vous êtes pourtant une source de transmission virale est un sophisme. Les mesures de confinement fonctionnent, les masques ont une valeur protectrice, pour vous ou pour quelqu’un d’autre, et les variants sont des entités effrayantes et nous devons même fermer les frontières internationales au cas où certains de ces méchants variants étrangers s’introduiraient sur le territoire. »

~ Ancien vice-président de Pfizer, « Votre gouvernement vous ment d’une manière qui pourrait vous conduire à la mort » — LifeSite News

Note du traducteur : Voir aussi La dystopie totalitaire émergente — Entretien avec le professeur Mattias Desmet

De nombreux lecteurs ont peut-être remarqué que cette interview est parue sur un petit site web chrétien, appelé Lifesite News. Mais pourquoi ? Les observations éclairées d’un ancien vice-président de Pfizer ne devraient-elles pas figurer à la une du New York Times ou du Washington Post ? Ne s’attendrait-on pas à ce que les grandes chaînes d’information câblées fassent leur gros titre sur une interview aussi brûlante ?

Bien sûr que non. Personne ne s’y attend, car tout le monde sait que les médias étouffent par réflexe toute histoire qui ne soutient pas le « récit officiel », à savoir que le Covid est le virus le plus contagieux et le plus mortel de tous les temps, qui nécessite une nouvelle structure politique autoritaire et l’éviscération massive des libertés civiles. N’est-ce pas là le scénario sous-jacent de l’année dernière ? Les sceptiques et les opposants au virus, comme Yeadon, ne sont pas autorisés à réfuter la propagande officielle ou à débattre de la question au sein d’un forum public. Ils sont effectivement bannis des médias et relégués aux confins de l’Internet, où seuls quelques rares individus entendent ce qu’ils ont à dire. En voici plus :

« Tout ce que je vous ai dit, chacune de ces choses est fausse, manifestement. Mais toute notre politique nationale est basée sur le fait que toutes ces choses sont globalement justes, alors qu’elles sont toutes fausses.

Mais ce dont je voudrais parler, c’est de l’évasion immune [système immunitaire incapable de répondre à un agent infectieux, et donc de se défendre – NdT] parce que je pense qu’il s’agira probablement de la finalité de tout cet événement, qui à mon avis est certainement le fruit d’une conspiration. L’année dernière, je pensais qu’il s’agissait de ce que j’appelais un opportunisme convergent, à savoir que tout un éventail de parties prenantes distinctes ont réussi à se jeter sur un monde en plein chaos pour nous pousser dans une direction particulière. Il semblait donc évident que ces événements étaient en quelque sorte liés, mais je m’étais rangé à la thèse qu’il s’agissait juste d’une convergence.

Je pense [maintenant] que c’est naïf. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que des personnes dont l’influence dans le monde est superpuissante ont soit planifié de tirer profit de la prochaine pandémie, soit ont créé la pandémie. L’une de ces deux hypothèses est vraie, et la raison en est que des dizaines et des dizaines de gouvernements profèrent tous les mêmes mensonges et adoptent tous les mêmes mesures inefficaces qui se traduisent par des pertes en vies humaines.

~ Ancien vice-président de Pfizer, « Votre gouvernement vous ment d’une manière qui pourrait vous conduire à la mort » — LifeSite News

Arrêtons-nous un instant pour nous demander pourquoi un microbiologiste modeste et effacé, qui a travaillé dans l’ombre pendant toute sa carrière professionnelle, s’est jeté sous les feux de la rampe alors qu’il sait pertinemment qu’il sera soit ridiculisé, soit sali, soit discrédité, soit traîné dans la boue, soit tué. En fait, il admet ouvertement qu’il craint pour sa sécurité et suppose qu’il pourrait être « éliminé » (« assassiné ») par ses ennemis. Alors, pourquoi fait-il cela ? Pourquoi risque-t-il sa vie et son intégrité physique pour informer le public sur les « vaccins » [anti-Covid – NdT] ?

C’est parce qu’il ressent une obligation morale d’avertir les gens du danger qu’ils courent. Yeadon n’est pas un narcissique en quête d’attention, en fait, il préférerait disparaître complètement de la vie publique. Mais il ne le fera pas parce qu’il s’est engagé de manière désintéressée à faire son devoir en tirant la sonnette d’alarme sur une stratégie malveillante qui pourrait bien entraîner la souffrance et la mort de dizaines de millions de personnes. C’est la raison pour laquelle il le fait, parce que c’est un homme honorable doté d’un sens aigu de la décence. Vous vous souvenez de la décence… En voici plus :

« Vous pouvez constater que j’essaie désespérément de ne pas dire qu’il s’agit d’une conspiration, parce que je n’ai aucune preuve directe que c’en est une. Personnellement, et en tant qu’être humain, tous mes instincts me poussent à dire qu’il s’agit d’une conspiration, mais en tant que scientifique, je suis dans l’incapacité de pointer du doigt la preuve irréfutable selon laquelle ils ont volontairement tout élaboré. »

~ Interview avec le Dr Mike Yeadon, « The Delingpole Podcast » — Minute 41:25)

Beaucoup d’entre nous, qui ont suivi de près les événements depuis un an et qui ont cherché sur Internet d’autres points de vue, sont également convaincus qu’il s’agit d’une conspiration, tout comme le Russiagate en était un. Et même si nous n’avons pas de preuves concluantes et solides d’une activité criminelle, de nombreux indices circonstanciés convergent dans ce sens. Par définition, une « conspiration » est

« un plan diabolique, illégal, perfide ou subreptice formulé en secret par deux personnes ou plus. »

~ Dictionary.com

Les événements qui se déroulent actuellement dans le monde occidental correspondent à cette définition de base. Tout comme le contenu de cet article répond à la définition de base d’une « théorie du complot », qui est :

« une tentative d’expliquer des événements néfastes ou tragiques comme étant le résultat des actions d’un petit groupe puissant. De telles explications rejettent le récit accepté entourant ces événements ; en effet, la version officielle peut être considérée comme une preuve supplémentaire de la conspiration. »

~ Britannica.com

Nous ne tentons même pas de nier qu’il s’agit d’une théorie du complot, pas plus que nous ne contestons l’implication de hauts responsables du FBI, de la CIA, du DOJ et du Département d’État américain dans une opération secrète visant à convaincre le peuple américain que Donald Trump était un agent russe. Il s’agissait d’une théorie conspirationniste jusqu’à ce qu’il soit prouvé que cette implication était un fait. Nous espérons que les faits relatifs à l’opération Covid finiront par émerger pour nous innocenter sur ce point également. Voici plus de détails de la part de Yeadon :

« Je pense que le jeu final sera, « tout le monde reçoit un vaccin »… Tous les habitants de la planète vont se trouver persuadés, cajolés, pas tout à fait obligés, mais poussés à se faire vacciner.

Quand ils auront atteint cet objectif, chaque individu sur la planète aura un nom, ou un identifiant numérique unique et un indicateur d’état de santé indiquant s’il est « vacciné » ou pas […] et qui que soit celui qui possède cette sorte de base de données unique, fonctionnant de manière centralisée, applicable partout pour contrôler — et donc en quelque sorte pour accorder certains privilèges — il pourra soit aller plus loin que ce qui précède, soit s’y borner, ou pas, en fonction de ce que décideront les contrôleurs de cette base de données unique sur la population humaine. Et je pense que c’est de cela dont il s’agit, car une fois ce contrôle obtenu, nous devenons des jouets et le monde peut être tel que les contrôleurs de cette base de données le souhaitent. »

~ Ancien vice-président de Pfizer, « Votre gouvernement vous ment d’une manière qui pourrait vous conduire à la mort » — LifeSite News

Ainsi, la vaccination à grande échelle est en fait la voie vers un contrôle social absolu par une élite technocratique qui n’a de comptes à rendre à personne ? En sommes-nous arrivés là ?

Je dirais, qu’en effet, on en est à peu près là. Yeadon encore :

« Et il sort de leur bouche le même genre de scénario pour l’avenir, à savoir qu’ils disent tous :

« Nous ne voulons pas que vous vous déplaciez à cause de ces saletés de variants. Ne vous inquiétez pas, il y aura des doses de vaccins supplémentaires pour faire face à la demande ».

Ils disent tous cela alors qu’il s’agit de toute évidence d’un non-sens. »

~ Ancien vice-président de Pfizer,

« Votre gouvernement vous ment d’une manière qui pourrait vous conduire à la mort » — LifeSite News

A-t-il raison ? Le variant croque-mitaine est-il maintenant invoqué pour prolonger les restrictions, intensifier la paranoïa et ouvrir la voie à des séries interminables de vaccinations généralisées ?

Jugez-en par vous-même, mais voici un échantillon d’articles parus dans l’actualité d’aujourd’hui qui vous aideront à décider :

1 — Reuters — Un variant sud-africain peut « passer au travers » du vaccin Pfizer, selon une étude israélienne

« Le variant du coronavirus découvert en Afrique du Sud peut, dans une certaine mesure, passer au travers du vaccin anti-Covid-19 de Pfizer/BioNTech, selon une étude de données réelles réalisée en Israël, bien que sa prévalence dans le pays soit faible et que la recherche n’ait pas été examinée par des pairs. […] Adi Stern, de l’université de Tel Aviv a déclaré :

« Nous avons constaté un taux disproportionné du variant sud-africain chez les personnes vaccinées avec une deuxième dose, par rapport au groupe non vacciné. Cela signifie que le variant sud-africain est capable, dans une certaine mesure, de briser la protection du vaccin. »

Donc, selon l’article — le « vaccin » ne fonctionne pas.

2 —
The New York Times La montée des variants en Europe montre à quel point le virus peut être dangereux

« L’Europe, épicentre de la pandémie de coronavirus au printemps dernier, a enregistré une fois encore une augmentation du nombre de nouveaux cas qui inondent certains hôpitaux locaux et entraînent une inquiétante poussée mondiale de Covid-19.

Mais cette fois, la menace est différente : cette augmentation du nombre de nouveaux cas est due à un variant du coronavirus apparu pour la première fois en Grande-Bretagne et connue sous le nom de B.1.1.7. Ce variant est non seulement plus contagieux que le virus de l’année dernière, mais aussi plus mortel.

Il se propage actuellement dans au moins 114 pays. Cependant, ses effets dévastateurs ne sont nulle part aussi visibles qu’en Europe, où des milliers de personnes meurent chaque jour et où les économies déjà fragilisées des pays sont à nouveau frappées par de nouvelles restrictions dans la vie quotidienne […]

Selon les scientifiques, les vaccins finiront par vaincre les variants. Et des restrictions strictes peuvent réduire les cas de B.1.1.7. […]

Lone Simonsen, professeur et directeur du centre PandemiX de l’université Roskilde au Danemark, a déclaré :

« Nous avons pu voir à quelle vitesse il peut devenir dominant dans de nombreux pays. Et quand il domine, les efforts pour maintenir le contrôle de l’épidémie sont bien plus importants que ceux qui étaient nécessaires avec l’ancien variant. »

En d’autres termes, les « vaccins » ne fonctionnent pas actuellement pour vaincre les variants, vous ne devriez pas quitter votre domicile et nous avons effectivement affaire à un agent pathogène différent qui nécessite un antidote différent. Ce qui revient à avouer que les « vaccins » proposés à l’heure actuelle ne fonctionnent pas.

3 — Cell.com — Les variants B.1.351 et P.1 du Sras-CoV-2 échappent aux anticorps neutralisants

« […] nos résultats indiquent que les variants B.1.351 et P.1 pourraient se propager chez les patients convalescents ou les personnes vaccinées par BNT162b2 [BioNTech – NdT] et donc constituer une menace élevée pour la santé humaine. Il est important d’endiguer ces variants par des mesures autres que pharmaceutiques. »

En d’autres termes, les nouveaux « vaccins » n’agissent pas contre les nouvelles souches du Covid, et nous pourrions donc être amenés à conserver pour toujours les onéreuses restrictions de confinement.

Comment peut-on lire ces propos alarmistes et ne pas voir qu’ils sont conçus pour terrifier et manipuler les masses afin qu’elles se conforment comme des moutons ?

Il est impossible de nier que le variant est utilisé pour alimenter l’hystérie-Covid et perpétuer les restrictions sociales répressives. La question que nous devrions nous poser est donc de savoir si nous pouvons nous fier à ce que nous disent les médias et les responsables de la santé publique.
Et la réponse est « Non », nous ne pouvons pas leur faire confiance. Ils ont trompé le public à plusieurs reprises sur toutes sortes de sujets, notamment les masques, la transmission asymptomatique, l’immunité, le taux de létalité des infections, la distanciation sociale et maintenant les variants. Selon Sunetra Gupta, qui est professeur d’épidémiologie théorique au département de zoologie de l’université d’Oxford et membre de la Royal Society Wolfson Research :

« […] certains de ces variants pourraient être plus transmissibles, mais la vérité est que […] même avec une augmentation marginale de la transmissibilité […] l’effet concret ou la différence dans la façon dont nous traitons le virus sont négligeables. En d’autres termes, la progression du virus ne peut être attribuée à un nouveau variant […]

L’autre question est de savoir si ces variants sont plus virulents — et en vérité nous ne le savons pas — mais, et parce que les données ne semblent pas l’indiquer malgré les titres effrayants, c’est peu probable […] Les agents pathogènes ont tendance à évoluer vers une virulence plus faible […] parce que cela maximise leur transmissibilité […] Il est bien plus probable que ces souches ne seront pas matériellement différentes au point de devoir modifier nos politiques. »

~ Sunetra Gupta, « Ces nouveaux variants sont-ils plus transmissibles ? — YouTube

Donc, selon Gupta, même si les nouvelles souches de Covid sont plus transmissibles, il est très peu probable qu’elles soient plus mortelles.

Le Dr Claire Craig, pathologiste spécialiste du diagnostic, nous en dit plus sur le sujet en nous fournissant une explication plus technique :

« La séquence génétique du Sras-CoV-2 compte environ 30 000 lettres. L’altération d’une poignée de lettres ne changera pas beaucoup sa forme — et si c’était le cas, il ne fonctionnerait de toute façon pas correctement. Il est inutile et irresponsable de semer la panique au sujet de l’évasion immune, surtout lorsqu’aucune preuve ne vient étayer ces affirmations. »

En substance, Craig dit la même chose que ce que nous avons dit précédemment, à savoir que les légères mutations de l’infection n’auront pas d’impact sur la réaction immunitaire des personnes qui avaient déjà le virus. Ainsi, les « variants » actuels ne devraient pas susciter d’inquiétude. Si vous avez déjà eu le Covid ou si vous avez déjà une immunité préalable due à une exposition antérieure à des infections similaires (le Sras, par exemple), la nouvelle souche ne devrait pas constituer un problème. Elle ne devrait pas non plus en être un si les nouveaux « vaccins » procurent le type d’immunité générale que l’on est en droit d’attendre d’eux. Encore une fois, les mutations ne représentent que le plus petit changement dans la composition de l’agent pathogène (moins de 1 pour cent), ce qui signifie que si les « vaccins » ne fonctionnent pas, ils sont en fait inutiles.

Voici une explication plus longue que certains lecteurs pourraient trouver trop technique et peut-être fastidieuse, mais pour mettre en lumière la manière dont les médias déforment délibérément la science pour terrifier le public, s’y aventurer en vaut la peine. Cet extrait est tiré d’un article de Yeadon. Voici ce qu’il dit :

« Dans l’esprit des gens, l’idée que ce virus est en train de muter de manière à échapper à une immunité antérieure est bien ancrée. Cette idée est totalement infondée, en tout cas en ce qui concerne l’immunité [qui est] acquise naturellement, après avoir repoussé le virus […]

Il est important de comprendre qu’en cas d’infection, le système immunitaire humain découpe l’agent infectieux en petits morceaux. Chacun de ces débris de protéines est présenté aux autres cellules du système immunitaire, comme une procession permettant de les identifier […] Ces cellules ont toute une série de fonctions. Certaines fabriquent des anticorps et d’autres sont programmées pour tuer les cellules infectées par le virus dès que leurs surfaces affichent des signaux qui indiquent à l’organisme qu’elles ont été envahies.

Dans presque tous les cas […] ce système adaptatif intelligent surmonte l’infection. Ce qui est important, c’est que cet événement vous laisse de nombreux types de cellules « mémoire » d’une durée de vie longue qui, si vous êtes à nouveau contaminé, éliminent rapidement toute tentative de réinfection. Ainsi, vous ne serez plus jamais malade du même virus, et comme ce dernier ne peut tout simplement pas se répliquer, vous ne pouvez plus participer à la transmission […]

En général, la tendance [des virus] est de devenir moins dangereux tout en acquérant un plus grand potentiel de transmissibilité, jusqu’à finalement rejoindre les quelques autres quarante virus à l’origine de ce que nous appelons collectivement « un rhume ».

Ce qui n’arrive généralement pas, c’est que les mutants deviennent plus mortels pour les hôtes [nous]. Mais ce que je voulais surtout faire comprendre, c’est la taille considérable du Sras-CoV-2. Je me souviens que son code génétique est constitué d’à peu près 30 000 lettres qui, une fois traduites, donnent environ 10 000 acides aminés répartis dans plusieurs protéines virales. Vous pouvez maintenant constater que la quantité des variations au sein des lettres du code génétique sont vraiment infimes par rapport à l’ensemble. Une modification de 30 lettres pourraient représenter environ 0,1 pour cent du code du virus. En d’autres termes, 99,9 pour cent de ce code n’est pas différent de la souche dite de Wuhan. De même, les changements au sein de la protéine traduite à partir de ces altérations du code de lettres sont éclipsés par la grande majorité des séquences protéiques inchangées. Donc, votre système immunitaire, qui reconnaît peut-être des dizaines de petits débris […] ne sera pas dupé par quelques petites modifications apportées à une fraction minuscule de ceux-ci. Non : votre système immunitaire sait immédiatement qu’il s’agit d’un envahisseur qu’il a déjà vu auparavant, et n’a aucune difficulté à le combattre rapidement et sans symptômes. Par conséquent, cette idée n’est pas scientifiquement recevable […]

[…] même si des mutations en modifiaient quelques-uns, la majorité des débris […] du virus muté resteront inchangés et seront reconnus soit par l’effet du vaccin sur un système immunitaire soit par un système immunitaire infecté par le virus, et une réponse rapide et vigoureuse vous protégera toujours. »

~ Michael Yeadon, « Les variants du Covid », My Thread Reader

Résumons

Nous avons présenté les points de vue éclairés de trois scientifiques réputés qui, tous de façon explicite, réfutent l’idée selon laquelle les soi-disant « variants » :

  1. seraient plus mortels ;
  2. auraient le potentiel de réinfecter les personnes qui ont déjà eu le Covid ;
  3. auraient suffisamment muté pour réinfecter les personnes déjà vaccinées — à moins, bien sûr que le « vaccin » ne procure pas une immunité de base, ce qui est possible puisque les essais de phase 3 effectués pour étudier le long terme n’ont jamais été réalisés.

Alors, pourquoi les responsables de la santé publique et les médias mentent-ils sur cette question pourtant assez évidente et non controversée ? Telle est la question.

Note du traducteur : En fait, ces essais de phase 3 sont réalisés « hors cadre clinique » tel qu’on l’entend habituellement, puisque les populations servent de cobayes pour les deux années à venir et que les scientifiques des laboratoires pharmaceutiques disent vouloir s’appuyer sur cette campagne vaccinale expérimentale — qui constitue un viol du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui — pour a priori étudier les effets sur le long terme.

N’oublions pas que cette campagne vaccinale gigantesque n’est possible que parce que les gouvernements ont donné des autorisations d’urgence de mise sur le marché de produits pharmaceutiques qui n’ont à ce jour pas été approuvés, comme ont pu l’être auparavant les autres vaccins, par exemple, et aussi grâce à l’usage frauduleux qui est fait des tests PCR sur lesquels s’appuient les « nombre de cas » qui, rappelons-le, ne sont PAS des malades.

Rappelons aussi qu’une autorisation d’utilisation d’urgence ne constitue pas une « approbation » des autorités de santé.

Yeadon en conclut qu’il existe dans leur déni un aspect diabolique flagrant. Il pense que les responsables de la santé publique et les médias mentent afin d’inciter davantage de personnes à se faire injecter une substance qui les rendra stériles, leur causera des dommages corporels importants ou les tuera purement et simplement. Faites votre choix. En voici d’autres :

« Les eugénistes se sont saisis des manettes du pouvoir et ce qu’ils font est un moyen très astucieux de vous convaincre de faire la queue pour recevoir un bidule indéterminé qui vous sera préjudiciable. Je n’ai aucune idée de ce que ce sera exactement, mais ce ne sera pas un vaccin, car vous n’en avez pas besoin. Et ça ne vous tuera pas sur l’instant parce que vous vous en rendriez compte.

Ce [bidule] pourrait être quelque chose à même de déclencher une pathologie normale, qui se manifestera à différents moments entre la vaccination et la maladie, et dont la cause directe pourra, de manière plausible, être écartée en raison des autres événements qui se dérouleront dans le monde à ce moment-là, dans un contexte où votre mort ou celle de vos enfants semblera normale.

C’est ce que je ferais si je voulais me débarrasser de 90 ou 95 pour cent de la population mondiale. Et je pense que c’est ce qu’ils sont en train de faire. »

~ Ancien vice-président de Pfizer, « Votre gouvernement vous ment d’une manière qui pourrait vous conduire à la mort » — LifeSite News

« Les eugénistes se sont saisis des manettes du pouvoir » ?

Yeadon est-il devenu fou ? La pression de la pandémie mondiale l’a-t-elle poussé au bord du gouffre ou a-t-il mis le doigt sur quelque chose d’énorme, quelque chose auquel personne n’ose même penser ; un plan si sombre et sinistre que sa mise en œuvre constituerait le crime contre l’humanité le plus grave et le plus cruel de tous les temps ; l’injection à des milliards de personnes d’un élixir toxique dont la protéine Spike compromet radicalement leur système immunitaire, ouvrant la voie à d’atroces souffrances généralisées, suivies de monstrueuses hécatombes ?

D’autres, cependant, établissent un lien entre la campagne de vaccination actuelle et « les eugénistes ». En fait, le Dr Joseph Mercola souligne le caractère indissociable entre le principal développeur du vaccin AstraZeneca, Adrian Hill, et le mouvement eugéniste. Selon Mercola :

« Hill a donné en 2008 une conférence à l’Institut Galton pour le 100e anniversaire de ce dernier [qui était connu sous le nom de Société Eugénique du Royaume-Uni]. Comme indiqué dans l’article de Webb :

Le plus troublant est sans doute le lien direct des principaux développeurs du vaccin avec le Wellcome Trust et, dans le cas d’Adrian Hill, l’Institut Galton, deux groupes ayant des liens de longue date avec le mouvement eugéniste britannique.

Cette dernière organisation, qui porte le nom du « père de l’eugénisme » Francis Galton, a été rebaptisée U.K. Eugenics Society, un groupe connu depuis plus d’un siècle pour sa promotion de pseudo-sciences racistes et ses efforts pour « améliorer le stock racial » en réduisant la population des personnes jugées inférieures.

Les liens d’Adrian Hill avec l’Institut Galton devraient susciter des inquiétudes évidentes, étant donné les efforts déployés pour faire du « vaccin » Oxford-AstraZeneca qu’il a mis au point avec [Sarah] Gilbert, le « vaccin » de choix pour le monde en développement, en particulier les pays d’Amérique latine, d’Asie du Sud et du Sud-Est et d’Afrique, les régions mêmes où les anciens membres de l’Institut Galton ont appelé à réduire la croissance démographique […]

Le professeur émérite de génétique moléculaire de l’Institut Galton et l’un de ses dirigeants n’est autre que David J. Galton, dont les travaux comprennent [l’ouvrage – NdT] Eugénisme : l’avenir de la vie humaine au XXIe siècle.

David Galton a écrit que le projet de cartographie du génome humain […] avait « énormément augmenté […] les possibilités d’eugénisme […] en raison du développement d’une technologie très puissante de manipulation de l’ADN ».

Cette nouvelle « définition plus large de l’eugénisme », a déclaré Galton,

« couvrirait les méthodes de régulation des effectifs de la population ainsi que l’amélioration de la qualité du génome par l’insémination artificielle sélective par donneur, la thérapie génique ou la manipulation génétique des cellules germinales. »

En développant cette nouvelle définition, Galton reste neutre quant à la question de savoir

« si certaines méthodes doivent être rendues obligatoires par l’État ou laissées entièrement au choix personnel de l’individu. »

[…] Le Wellcome Centre cofinance régulièrement la recherche et le développement de vaccins et de méthodes de contrôle des naissances avec […] une fondation [dont le nom n’a pas été divulgué] qui s’engage de manière active et assumée dans le contrôle de la population et de la reproduction en Afrique et en Asie du Sud en donnant, entre autres, la priorité à la distribution généralisée de contraceptifs injectables à action prolongée réversible (LARCs).

Le Wellcome Trust a aussi directement financé des études visant à développer des méthodes pour « améliorer l’utilisation » des LARCs dans des endroits tels que les zones rurales du Rwanda […] Les LARCs offrent aux femmes des pays du Sud « le plus petit choix possible, à l’exception de la stérilisation proprement dite ».

Certains LARCs peuvent rendre les femmes infertiles pendant cinq ans et, comme l’affirme Levich, ils

« laissent beaucoup plus de contrôle aux fournisseurs, et moins aux femmes, que les préservatifs, les contraceptifs oraux ou les méthodes traditionnelles. »

[…] Légèrement modifié et rebaptisé Jadelle, ce médicament dangereux a été promu en Afrique […] Anciennement nommée Sterilization League for Human Betterment [Ligue de Stérilisation pour l’Amélioration de l’Homme (sic !!!) – NdT], la mission originale d’EngenderHealth, inspirée de l’eugénisme racial, était d’« améliorer le stock biologique de la race humaine ».

~ Dr Joseph Mercola, « Examen des liens entre Oxford et AstraZeneca en matière d’eugénisme » — Mercola.com

Note du traducteur : Francis Galton, l’homme qui voulait améliorer l’espèce humaine et le fondateur de l’eugénisme, était le cousin de Charles Darwin et, entre autres, connu pour avoir mis en place de façon systématique la méthode d’identification des individus au moyen de leurs empreintes digitales. Il a également développé des techniques considérées comme l’ancêtre du morphing.

Francis Galton est aussi le père de la formule « nature vs culture », encore au cœur des débats contemporains ; il la devait sans doute à La Tempête, de Shakespeare — d’où certainement le choix de citation de l’auteur en préambule de cet article — où Prospero se désole que son esclave Caliban soit « Un démon, un diable-né, car à sa nature, la culture ne saurait adhérer ».

Quant à David J. Galton — notez que les deux hommes n’ont a priori pas de liens filiaux entre eux, selon David J. Galton lui-même — c’est un médecin britannique et un chercheur en génétique moléculaire et en maladies métaboliques, principalement les hyperlipidémies et le diabète sucré, domaines dans lesquels il fait autorité dans son domaine.

À propos du Wellcome Trust, voir les articles suivants :

Alors, comment l’« eugénisme » intervient-il dans la création et la distribution du vaccin à ARNm ? Existe-t-il un lien ou sommes-nous en train de nous raccrocher aux branches ?

Nous ne pouvons pas répondre à cette question, mais un article récent de Mathew Ehret sur OffGuardian fournit quelques indices intéressants. Voici ce qu’il dit :

« Le fait que les organisations qui ont favorisé l’essor de cette politique eugéniste dans l’Allemagne nazie et en Amérique du Nord comprenaient des puissances telles que la Fondation Rockefeller, le Wellcome Trust et la Human Sterilization League for Human Betterment […] qui ont toutes joué un rôle de premier plan dans l’Organisation mondiale de la santé au cours des dernières décennies est plus qu’inquiétant.

Le fait que ces organisations eugénistes se soient simplement rebaptisées après la Seconde Guerre mondiale et qu’elles soient aujourd’hui impliquées dans le développement des vaccins ARN modernes aux côtés de l’Institut Galton (anciennement British Eugenics Association), d’AstraZeneca d’Oxford, de Pfizer et de la Fondation […] devrait inciter tout penseur sérieux à réfléchir aux schémas historiques dont nous sommes prêts à tolérer la répétition à notre époque précaire. »

~ Mathew Ehret, « Les soins de santé nazis ressuscités à travers les Five Eyes : Tuer les mangeurs inutiles et le projet de loi de Biden sur l’aide au Covid » — OffGuardian

Note du traducteur : Les Five Eyes désignent l’alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.

Nous terminerons cet article par un extrait d’un autre publié en 2010 par Andrew Gavin Marshall, de Global Research, qui a fait remarquer avec perspicacité que :

« L’eugénisme a pour objet l’organisation sociale et le contrôle de l’humanité […] (en particulier) le contrôle de la population […]

Les idées de Malthus, puis d’Herbert Spencer et de Charles Darwin ont été remodelées pour donner une image de marque à l’idéologie élitiste du « darwinisme social », qui était

« la notion selon laquelle, dans la lutte pour la survie dans un monde rude, de nombreux humains n’étaient pas seulement moins méritants, mais étaient en fait destinés à dépérir en guise de rite au progrès. Préserver les faibles et les nécessiteux était, par essence, un acte contre nature. »

Cette théorie justifiait simplement l’immense richesse, le pouvoir et la domination d’une petite élite sur le reste de l’humanité, car cette élite se considérait comme les seuls êtres véritablement intelligents et dignes de détenir un tel pouvoir et de tels privilèges.

Pour décrire ce domaine émergent, Francis Galton a plus tard inventé le terme « eugénisme ». Ses adeptes pensaient que les personnes « génétiquement inaptes » « devraient être éliminées », en utilisant des tactiques telles que

« la ségrégation, la déportation, la castration, l’interdiction du mariage, la stérilisation obligatoire, l’euthanasie passive — et finalement l’extermination. »

[…] Sir Julian Huxley a également été administrateur à vie de la British Eugenics Society à partir de 1925, et son président de 1959 à 1962. […]

« Huxley croyait que l’eugénisme serait un jour considéré comme la voie à suivre pour la race humaine [et qu’un] événement catastrophique pourrait être nécessaire pour que l’évolution progresse à un rythme accéléré. »

[…] Il en va de même pour les idées dont le temps n’est pas encore venu ; elles doivent survivre à des périodes où elles ne sont généralement pas les bienvenues.

Les technologies du XXIe siècle sont si puissantes qu’elles peuvent engendrer de toutes nouvelles catégories d’accidents et d’abus. Plus dangereux encore, ces accidents et abus sont, pour la première fois, largement à la portée d’individus ou de petits groupes. Ils ne nécessiteront pas de grandes installations ni de matières premières rares. Seule la connaissance permettra de les utiliser […] Je pense qu’il n’est pas exagéré de dire que nous sommes à l’aube d’un nouveau perfectionnement du mal extrême, un mal dont la possibilité s’étend bien au-delà de ce que les armes de destruction massive ont légué aux États-nations, jusqu’à un surprenant et terrible pouvoir des individus les plus extrêmes.

[…] Grâce à l’amélioration des techniques, l’élite aura un plus grand contrôle sur les masses ; et comme le travail humain ne sera plus nécessaire, les masses seront superflues, un fardeau inutile pour le système. Si l’élite est impitoyable, elle peut simplement décider d’exterminer la masse de l’humanité. Si elle est humaine, elle peut utiliser la propagande ou d’autres techniques psychologiques ou biologiques pour réduire le taux de natalité jusqu’à ce que la masse de l’humanité s’éteigne, laissant le monde à l’élite. […]

Une vision horrifiante, certes, mais qui s’appuie sur les idées de Huxley, Russell et Brzeziński, lesquels ont imaginé les populations qui — par des moyens biologiques et psychologiques — sont amenées à aimer leur propre servitude. Huxley a vu l’émergence d’un monde dans lequel l’humanité, toujours à l’état d’animal sauvage, est domestiquée ; où l’élite seule reste libre et possède le pouvoir de décision, tandis que les masses sont domestiquées comme des animaux de compagnie. Huxley était d’avis que

« les hommes et les femmes grandiront en aimant leur servitude et ne rêveront jamais de révolution. Il semble qu’aucune bonne raison n’existe pour qu’une dictature parfaitement scientifique soit un jour renversée. »

~ Andrew Gavin Marshall, « Le nouvel eugénisme et la montée de la dictature scientifique mondiale » — Global Research

Nous devons nous demander si la campagne actuelle de vaccination de masse est un effort fondé sur la science pour soulager la maladie ou une voie rapide vers une dystopie sombre et effrayante imaginée par des hommes démoniaques qui cherchent à resserrer leur emprise sur toute l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 12 avril 2021 : Unz Review
Traduction : Sott.net

Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)

À propos de l'auteur Signes des Temps (SOTT)

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