par Michel de Lorgeril.
Les jours passent et nos doutes et soupçons concernant les vaccins contenant les adénovirus vivants bricolés (humains ou de singe) se confirment : ils sont dangereux.
Nos soupçons ont été confirmés à propos du vaccin AstraZeneca bien que tout soit fait pour dissimuler la réalité des choses.
Nous ne voyons [on nous laisse voir] que le sommet de l’iceberg, c’est-à-dire les complications thrombotiques les plus tragiques (cérébrales et/ou mortelles).
En fait, c’est classique en médecine, il y a sans doute d’autres complications thrombotiques (infarctus, AVC, phlébite, et embolie pulmonaire) moins sévères qui sont attribuées à d’autres causes ou enregistrées comme des coïncidences par rapport à la vaccination anti-COVID.
Car s’il y a un mécanisme thrombotique en jeu, il y a obligatoirement une gradation avec des formes très sévères (celles qui ont donné l’alerte) mais aussi des formes moins sévères ou plus banales et enfin celles qui seront visibles cliniquement avec un certain retard.
En effet, un thrombus peut obstruer brutalement et totalement une artère ; mais il peut aussi s’incruster dans la paroi de l’artère et donner naissance à une plaque d’athérosclérose qui ensuite vivra sa vie de façon autonome.
Pas besoin de cholestérol pour ce mécanisme !
Dit autrement, nous risquons de payer plus tard les complications thrombotiques de ces vaccins avec ces adénovirus vivants bricolés.
On commence à comprendre (peut-être) cette thrombogénèse postvaccinale inattendue. C’est une réaction immunitaire inappropriée [j’y reviendrai si on me le demande] et elle peut être commune à plusieurs types de vaccins contenant des adénovirus.
Les autorités sanitaires américaines s’inquiètent en effet de la survenue inattendue de complications thrombotiques (comparables à celles observées avec le vaccin AstraZeneca) après vaccination avec la merveille de vaccin Janssen (ou Johnson & Johnson) qui est injectée aux USA depuis quelques semaines.
Communiqué de Presse : joint-cdc-and-fda-statement-johnson-johnson-covid-19-vaccine
Tout est fait bien sûr pour ne pas affoler la population…
Le vaccin russe Spoutnik V est aussi à base d’adénovirus vivants. Mais nous ne savons pratiquement rien sur lui.
Dans mon prochain opus [chez l’éditeur Kiwi : « Les vaccins à l’ère de la COVID-19 »] qui sera publié fin Avril ou début Mai, j’explique quels vaccins nous sont proposés pour lutter (peut-être) contre la COVID-19.
Ce sera le seul livre à ma connaissance qui donne des informations crédibles sur ces nouveaux vaccins expérimentaux.
J’encourage chacun à bien se renseigner avant de se laisser vacciner !
Conclusion : ne pas se laisser injecter ce type de vaccins OGM à base d’adénovirus vivants bricolés par des apprenti-sorciers !
source : https://michel.delorgeril.info
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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