Quel que soit le sujet de votre enquête, il y a un moyen de découvrir des indices en regardant non pas le fond de l’affaire mais les efforts pour diminuer ou étouffer l’affaire en question, ou pour en donner une interprétation fallacieuse.
En effet, vous aurez beau débattre sur le fond de l’affaire, vous trouverez toujours un contradicteur pour minorer ou contredire vos arguments. En revanche, qui fait l’effort d’éteindre l’enquête, et pourquoi ? Ou qui a préparé le terrain d’une acceptation du crime ?
Prenons un exemple. Vous savez ce que nous en pensons et disons depuis 10 ans: l’autisme n’est pas naturel. Nous serions intéressés d’aller plus loin sur le film « Rain Man » avec Dustin Hoffman, qui semblait préparer les esprits. Qu’un film illustre un mal sociétal ou médical, c’est tout à fait normal. Mais que faut-il penser de ce qu’Hollywood, l’une des capitales incontestables du vice et du crime passés dans la réalité, a sans cesse de ces productions qui deviennent ensuite des porte-drapeaux… de contagions planétaires. N’y a-t-il pas domestication du public ?
En tous cas, RFK jr. vient de déclarer :
« D’ici septembre, nous saurons ce qui a causé l’épidémie d’autisme. (…) Le taux d’autisme, selon les chiffres les plus récents, est d’environ 1 sur 31 … contre 1 sur 10.000 quand j’étais enfant. Nous avons lancé un effort de recherche massif qui va impliquer des centaines de scientifiques du monde entier … et nous serons en mesure d’éliminer ces expositions. »
Trump :
« Pensez-y. 1 personne sur 10.000 était atteinte d’autisme, et maintenant c’est 1 personne sur 31. »
Statistique horrible qui devrait en principe mobiliser tous les Etats victimes. Or, l’Etat n’a rien dit de sérieux sur cette origine de l’autisme. Ni sur l’origine de l’hyperactivité ou sur celle de la dyslexie. Rien en République française. Laquelle ne réagit aucunement non plus face à la prostitution infantile.
C’est cette réaction qui nous intéresse, c’est elle qui parle. C’est ce que nous appelons le syndrome Pearl Harbor: ce n’est pas l’événement que chacun peut discuter qui doit être au cœur de la discussion, laquelle ne peut aboutir, mais le fait que les Etats-Unis aient nié qu’il s’agissait d’une opération orchestrée sous contrôle.
Rappelez-vous ce truc: la réaction est un aveu beaucoup plus intéressant. Qui empêche qu’on en parle ? Regardez qui est à la tête des médias, des manuels scolaires, qui tient le discours politique ? Qui crée la version officielle, et qui défend cette version officielle ?
Pour l’autisme, la question est moins de savoir si c’est l’injection, ou le médoc, ou l’alimentation, ou la télé et l’école et leurs programmes débilitants, que celle de découvrir qui refuse d’en parler, quels obstacles sont mis aux enquêtes judiciaires, qui classe sans suite et sous pression de qui… C’est ainsi que le découvrement et le vidage du marigot seront possibles.
Oui, quelque chose d’artificiel fait l’autisme. Kennedy : « Nous le saurons en septembre. »
Trump : « Il n’y aura pas de plus grande conférence de presse que celle-là. Vous arrêtez de prendre quelque chose, vous arrêtez de manger quelque chose, ou peut-être que c’est un vaccin . Quelque chose en est la cause. »
Depuis leur position, ils vont pouvoir lever le voile. En espérant qu’ils ne le replaceront pas sur cette monstrueuse affaire.
Rémy D. WIEDEMANN
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