Faire un enfant dans la France de Macron est devenu un exploit

Entre la tentation du sexe facile via Tinder, la pilule et l’avortement remboursés, l’homosexualisation forcée de la population, sans oublier la mégacrise économico-sociale, la stérilisation mentale due au féminisme et la stérilisation physique due au faux vaccin, les jeunes couples qui veulent faire un enfant (par amour, parce que là on ne compte plus en faire plus de 3 pour les allocs, ça devient insensé) sont aujourd’hui d’authentiques héros nationaux, presque nationalistes.

Aujourd’hui, deux enfants c’est une famille nombreuse

Ces couples, il faudrait les encourager et les décorer à la manière du grand Poutine. Heureusement, la presse décliniste veille, ici France 24, la voix du mondialisme en français, avec une sortie toute orwellienne : le modèle nataliste poutinien est non seulement antiféministe, mais mortifère !

Chez nous, au contraire de la Russie, on nage en pleine campagne antinataliste. Si on voulait caricaturer le macronisme, ce mélange de néolibéralisme et de wokisme, on dirait qu’en France 2025 on ne veut plus faire mais se faire des enfants.

Et comme le dit justement Béa Bach, l’enfant n’est pas un adulte comme les autres.

Il est vrai, pour les jeunes parents, que tout cela peut faire peur ou réfléchir. Par-dessus, on doit ajouter les maternelles Schiappa, avec l’éducation sexuelle si précoce qu’on se demande si la direction des programmes de l’ÉducNat n’est pas infestée de pédophiles. Et puis, tous ces dessins animés d’étranges intentions…

Heureusement, ce n’est qu’un fantasme de complotiste tradi, une branche paradoxalement nouvelle. Par exemple, les tradicomplotistes veulent faire des enfants malgré tout et ne veulent pas les vacciner, ces assassins.

Et puis il y a la guerre, celle que Macron nous mène et nous promet. La première est intérieure, la guerre du haut contre le bas, la seconde extérieure : c’est l’extermination sur les terres est-européennes au bénéfice de la patrie bancaire. Ça fera des beaux monuments chez nous, un siècle avec 14-18.

Pour les larbins du Système, la tendance nette à la dénatalité (on mettra Mayotte de côté avec ses poules pondeuses) est due à l’anxiété climatique, cette blague censée remplacer l’anxiété sociale qui est la vraie peur du lendemain. Cerise sur le gâteau, Le Figaro explique que les jeunes couples ont peur de louper leur premier enfant. Il s le voudraient parfait, dans un monde imparfait.

Claire est « fatiguée », « très fatiguée » même. L’objet de ses « préoccupations » ? Le bien-être de son fils unique, âgé de 6 ans. Pour la libraire, les questions – et les sources d’angoisse – ont commencé dès sa grossesse. À l’époque, elle a 32 ans et prépare cet événement depuis quelques mois : « Avec mon compagnon, on y pensait depuis longtemps et un jour on a décidé de se lancer. » Le projet est donc mûrement réfléchi, presque « trop » réfléchi, songe-t-elle. « En tant que mère la culpabilité est inévitable, elle est même inhérente au rôle de parents », soutient-elle, car mettre un enfant au monde, c’est tout de même placer un être humain fragile et dépendant – du moins au début – en milieu hostile.

Depuis Mai 68, la famille est under attack, mais pas seulement : le travail et la patrie aussi. On dirait que le triptyque dérange, mais il dérange qui ?

***

Faits & Documents inaugure sa série sur la destruction de la famille traditionnelle par ce numéro consacré à la déconstruction de la masculinité par les réseaux néo-féministes et la pression pornographique. Un numéro qui fournira à tous des arguments tangibles pour faire face à l’offensive !

Vous trouverez dans ce numéro :

 une enquête statistique sur les rapports homme-femme

 une enquête sur un sujet éludé par les féministes : les infanticides

 un rappel historique sur les réseaux à l’origine de l’industrie pornographique

 quatre pages de brèves d’actualités

(cliquez pour agrandir)

Adblock test (Why?)

Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation