La catastrophe sanitaire du confinement : halte aux mensonges des covidistes

La catastrophe sanitaire du confinement : halte aux mensonges des covidistes

Par le DR G Delépine

5 ans après le confinement, on peut en tirer le bilan sanitaire et sociétal afin de ne plus jamais répéter les erreurs commises lors du covid. Cette tribune s’attache à préciser le bilan sanitaire factuel du confinement à une période où les responsables de cette mesure tentent d’éluder leurs responsabilités.

Propagande terrorisante et censure pour empêcher tout débat démocratique.

Cette période a été marquée par une propagande terrorisante omniprésente et une censure féroce pour éviter tout débat démocratique sur la pertinence des mesures imposées.

Contrairement aux informations factuelles rassurantes qui étaient diffusées lors de la grippe asiatique (1956-1958) et celle de Hong Kong (1968-1970), tous les médias ont adopté une présentation dramatique de l’épidémie.

Jérôme Salomon n’a pas hésité à comparer le covid à la peste « la crise épidémique que nous traversons actuellement est comparable aux pires pandémies de l’histoire de l’humanité, elle peut être comparée à la pandémie de peste de 1347 ou à celle de grippe espagnole en 1917 ». Le ministre de la Santé allemand a osé affirmer que « les gens seront « vaccinés, guéris ou morts » d’ici la fin de l’hiver en raison de la flambée actuelle des infections au Covid-19 dans le pays ».

En même temps une censure féroce s’est abattue sur tous ceux qui tentaient de ramener l’épidémie à sa réelle gravité ou de proposer des traitements précoces. Ils ont été diffamés, traités de complotistes et, lorsqu’il s’agissait de médecins pourchassés par l’ordre qui a recréé le délit d’opinion et interdit d’exercer plusieurs donneurs d’alerte. Et pour éviter toute critique précise, les délibérations du mal nommé « Conseil Scientifique » ont été dissimulées par un « secret défense » qui n’a pas été supprimé.

Confinement contraire aux connaissances scientifiques du moment

L’expérience des épidémies historiques a démontré que la seule technique non médicamenteuse efficace pour lutter contre la propagation d’une maladie infectieuse est la quarantaine, séparation des biens portants des malades le temps que ces derniers ne soient plus contagieux. Le confinement qui nous a été imposé, enfermant ensemble malades et bien portants, avait été abandonné après l’échec retentissant du confinement de Marseille en 1720 qui avait été suivi de la mort de la moitié des habitants sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence et à l’Italie. Faisant fi de l’expérience médicale de toujours le confinement a été décidé sur la foi d’une simulation mathématique aux hypothèses fausses diffusée par l’OMS

Nous l’avions rappelé (malheureusement en vain) dans Agoravox.

Le confinement a favorisé les contaminations du SARS-CoV-2.

Renvoyant sans traitement les malades dans leur famille et les vieux infectés dans leurs EPHAD le confinement a favorisé la transmission du virus.

Pour le vérifier il suffit de comparer les données de l’OMS de deux pays très proches par leurs populations et leur mode de vie mais qui ont adopté deux stratégies différentes : la Belgique et les Pays Bas. Début mars 2020 le nombre de contaminations quotidienne était semblable dans les deux pays. La Belgique a confiné très durement le 17 mars 2020. Les Pays Bas n’ont pas confiné.

En Belgique le nombre de contaminations quotidiennes a augmenté une semaine après le début du confinement pour se stabiliser au double des valeurs néerlandaises jusqu’à la fin du confinement. Les premiers allègements du confinement ne sont arrivés que le 20 avril avec la réouverture de certaines activités, dont les pépinières et les magasins de bricolage. Une semaine plus tard le nombre quotidien de nouveaux cas belge par million d’habitants a commencé à diminuer pour égaliser le chiffre néerlandais après la sortie progressive du confinement officielle à partir du 4 mai.

Le confinement a aggravé la mortalité Covid.

Augmentant le nombre de contaminations le confinement a très logiquement aggravé la mortalité. La comparaison des chiffres de mortalités publiés par l’OMS pour la Belgique et les Pays-Bas est là encore très démonstrative.

Avant le confinement belge la mortalité était semblable en Belgique et aux Pays-Bas. Le confinement a été imposé en Belgique le 17 mars 2020 tandis que les Pays –Bas refusaient de confiner. Le nombre de morts quotidiens a explosé en Belgique 3 semaines après le confinement pour se stabiliser très au-dessus de la mortalité néerlandaise. A la fin du confinement la mortalité belge cumulée de la période atteignait deux fois et demie la mortalité néerlandaise.

En France le confinement a également été suivi d’une recrudescence importante de la mortalité. Avant le confinement français la mortalité était comparable à la moyenne mondiale et à celle de l’Afrique. Trois mois après le début du confinement la mortalité par million d’habitants en France s’élevait à 7 fois la moyenne mondiale et à 100 fois celle de l’Afrique très peu confinée !

L’effet mortifère du confinement se retrouve dans tous les pays européens ainsi que le montre ce graphique comparant la mortalité par million d’habitants de la France à celle de la Suède qui n’a pas confiné.

Ceux qui osent prétendre que les confinements auraient sauvé des vies vivent dans le monde imaginaire des simulations mais paraissent ignorer les données du monde réel publiées par l’OMS qui montrent que la mortalité Covid de la France est l’une des plus élevée du monde.

Des « euthanasies sans consentement » autorisées par E Philippe et O Véran

Les personnes âgées, dont certaines auraient probablement pu être sauvées, ont été privées de soins.

Les acteurs de terrain interrogés par Marianne sont unanimes : pendant près d’un mois, jusqu’à la dernière semaine de mars, certains centres de régulation du Samu ont refusé d’hospitaliser nombre de résidents d’ Ehpads, réduisant ainsi leurs chances de guérison. « Dans beaucoup de nos établissements, le Samu ne venait plus » a confirmé Isabelle Jallais, déléguée FO au sein du groupe d’établissements de santé privés Korian. Astrid Petit, de la CGT Santé précise : « Nous avons découvert que des recommandations ministérielles conseillaient de maintenir les personnes âgées malades à leur domicile ou dans les Ehpads [établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes], plutôt que de les accueillir à l’hôpital »

Le décret n° 2020-360 signé le 28 mars 2020 par Edouard Philippe Premier ministre et par le ministre des solidarités et de la santé Olivier Véran, dit « décret Rivotril » a autorisé l’injection de cet antidépresseur respiratoire à tout malade âgé suspect de covid auparavant interdit en cas s’insuffisance respiratoire.

L’APHP a mis en place des groupes d’intervention rapide dont le but n’était pas de se déplacer pour soigner des patients en détresse, mais bien de leur injecter du Rivotril pour “accompagner” leur fin de vie. 

Les ventes de boîtes Rivotril dans sa forme injectable ont augmenté de 59 % au mois de mars et de 227 % en avril 2020 par rapport à la moyenne 2017-2019.

On observe que les décès Covid-19 sont survenu massivement au moment de la promulgation du décret dérogatoire concernant le Rivotril.

Le confinement est de plus responsable de nombreuses morts collatérales

En plus de l’accroissement direct du nombre des morts Covid, le confinement a fait de nombreuses victimes supplémentaires par retard ou arrêt des soins des autres pathologies en particulier cardio vasculaire, cancéreuse, diabétiques, ou par retard d’interventions entraînée par le plan blanc qui interdisait aux chirurgiens d’opérer sans avoi reçu l’avis favorable de l’ARS pour « garder de lits libres pour les malades Covid ». En pratique les cliniques n’ont, sauf exception, reçu aucun malade de Covid et beaucoup ont dû fermer leurs services vides et mettre au chômage leurs infirmières inoccupées.

Le confinement a de plus entraîné l’augmentation des décrochages scolaires, des dépressions, des actes d’automutilation, des violences domestiques, de la consommation de tabac, d’alcools et d’autres drogues qui, entre autres, ont conduit au décès d’environ 23.000 personnes en France.

Et il faut aussi tenir compte des victimes tardives par perte de chances de guérison liées à l’arrêt des diagnostics et traitements précoces et à la misère due au chômage et pertes d’emplois.

La catastrophe Covid dont nous avons souffert et dont nous subissons encore les conséquences est beaucoup plus due aux mesures totalitaires qui nous ont été imposées dont le confinement qu’à la maladie elle-même.

Il faut confronter les ignorants ou les corrompus qui osent encore prétendre que le confinement aurait été utile aux chiffres officiels de l’OMS pour qu’à l’avenir une telle mesure aussi scientifiquement infondée et aussi nocive ne puisse plus jamais être proposée ni acceptée.

G Delépine

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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