Le petit Raphaël Glucksmann maltraité par les Américains

Pan sur le bec, aurait dit Le Canard enchaîné, s’il était encore vivant. Depuis, la grippe aviaire est passée par là, et il a fallu se débarrasser du volatile qui chatouillait gentiment l’oligarchie avec des jeux de mots du XIXe siècle.

Le petit Glux a pris cher, mais c’est aussi son moment de gloire : la porte-parole de Trump l’a remis à sa place, c’est-à-dire le bac à sable. Il a voulu jouer dans la cour des grands, il s’est pris une volée.

Premier acte : la frime

Deuxième acte : la gifle

Pour aller plus loin encore dans le ridicule, le fils Glux se voit en grand pour 2027. Certes, les élections sont truquées depuis au moins 2017, date à laquelle un inconnu a été placé sur le trône par le pouvoir profond, incarné par le duo de clowns Minc-Attali, désormais fichés par les résaux sociaux.

Après le transparent Barrot qui nous fait un Bref, voici le Glux qui se prend pour le sauveur. Les malintentionnés disaient que la politique sombrerait avec les femmes, il ne faut pas oublier les hommes. Au-delà de Glux, qui est svelte, on a encore des Bayrou et des Larcher, qui incarnent cette France radicale-socialiste que le monde entier nous envie.

Bayrou incarne la lenteur de la France profonde pour la presse aux ordres. On peut aussi bien dire qu’il est complètement à l’ouest, mais pas non plus en Bretagne.

Apparemment, les Glux, les Bayrou et les Larcher n’ont pas grand-chose en commun. Et pourtant si : ils ont tous pour programme de nous serrer la ceinture. Autour de la taille, mais aussi autour du cou, en bons petits employés de la Banque qu’ils sont.

La France maigrit, la Banque grossit. Les coïncidentistes n’y voient rien de grave, les paranoïaques profonds, comme nous, voient un gros ver solitaire au cœur de la nation.

Au fait, pourquoi avoir mis ces trois gugusses en rubrique People ? Parce qu’ils ne sont pas sérieux, ce sont des comédiens. Ce qui compte, ou ceux qui comptent, sont ceux qui écrivent leur partition. Tout l’art de ces joueurs, c’est de cacher ce prompteur qui est dans l’air et qui est la condition de leur survie, politique, bien entendu.

Sinon, sur le fond des autres people, rien à signaler : ils ont touché en 2020 et 2021 deux milliards pour fermer leur gueule sur la saloperie covidiste, ou pour l’ouvrir sur le masque et l’injection. On pense à eux très fort, et on les attend au tournant.

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation