LA BOLCHEVISATION DE L’EUROPE

LA BOLCHEVISATION DE L’EUROPE

De plus en plus d’européens se rendent enfin compte que l’échafaudage politico-économique de l’institution européenne n’est pas fait pour leur plus grand bonheur. Ils commencent à comprendre que la moindre décision du Polit bureau dirigé par la Van der Lantiponne entrave leurs chemins existentiels. Depuis au moins Maastricht, ils auraient dû détecter la direction nauséabonde que prenait cet organisme aux vertus oligarchiques ne serait-ce que par leurs activités professionnelles remises en question par les normes, les obligations et les interdits, fruits du lobbying naissant. A ce jour, le mythe de la prospérité et de la paix naguère si vanté par les flagorneurs européistes ne fait plus recette chez les gens objectifs ou pragmatiques, certes peu nombreux.

Dans l’acte, la population de la communauté européenne voit ses libertés se réduire comme une peau de chagrin. Ses intérêts économiques et commerciaux sont sabordés de main de maître aux profits de la ploutocratie extra-européenne. Nous savons que depuis Jean Monnet et sa coterie européenne, la classe politique n’œuvre que pour le plus grand bénéfice de l’État profond anglo-américain. Nous sommes à l’aboutissement de cette volonté de spoliation et de mise en esclavage mise en exergue par Schwab. Dans l’état actuel des choses, notre vieux continent ne se relèvera plus jamais, faute de ressources naturelles, d’intelligence, de volonté, de sagacité. Notre oblomovisme latent a sa grande part de responsabilité dans l’acceptation de cet agenda 2030.

Une fois encore, les leçons de l’histoire n’ont pas été retenues. L’effondrement de la Russie tsariste a été fomenté, promu et financé par les banques angloaméricaines. L’ambassade anglaise a servi de centre stratégique, financier et de propagande pour abattre la civilisation russe. Le résultat final : Accaparement de tout le tissu économique, asservissement et paupérisation générale. Le projet Davos n’est que le bis repetita rafraîchi en vert du plan bolchevique d’alors.

On ne change pas une formule qui gagne. L’Europe politique est basée sur ce modèle monstrueux qui a fait ses preuves d’efficacité : Un soviet suprême et ses commissaires politiques qui imposent leur diktat aux soviets régionaux. Eux-mêmes activent leurs kapos dans la moindre sous-couche des serfs. C’est la dictature ruisselante. La corruption fait loi dans toutes les states de la société ; une sorte de plan de survie individuel dénaturé. Elle fait aussi office de bombe à retardement. L’effondrement de l’URSS le prouve allègrement.

D’un point de vue américain, l’Europe politique bien soumisse aux désirs de la ploutocratie la plus crasse n’est qu’un poste avancé pour envahir la Russie et asseoir son hégémonie. Les frasques de l’OTAN le prouvent. L’écueil « Ukraine » démontre que les intelligences occidentales n’étaient pas à la hauteur du projet d’appropriation et de démantèlement du plus grand pays du monde. L’impréparation de l’économie de guerre en Europe a provoqué entre plusieurs fâcheries avec notre principal fournisseur d’énergie et un fameux sabotage, l’effondrement de notre continent. Notre position de cobelligérants fait peine à voir. L’amateurisme est à tous les étages. Notre dilaté national a confondu vouloir et pouvoir. Le faisan ne nargue pas le renard, pas si bête. Au final, nous sommes dans la situation « Voir Kiev et mourir ».

Par ailleurs, si les USA se mettent sous l’aile « Trumpienne », l’Europe reste, elle, dans l’escarcelle de la « Biden corporation » soit l’aveuglement du fanatisme néoconservateur qui provoque in fine l’autodestruction. De toute façon, au risque de décevoir certains esprits, Trump n’a cure de l’Europe. Il sait qu’elle n’est qu’une marionnette bien malléable dont il tire lui aussi certaines ficelles. Quant aux autres aficionados de Poutine, ils méconnaissent la vie réelle russe. Elle est sous l’emprise de la surveillance numérique où le crédit social lui pend au nez comme partout dans le monde. Sur le plan de perte de liberté et de vivre sous condition, toutes les sociétés modernes convergent vers cette globalisation de surveillance et tyrannie numérique. Il y a bien un consensus mondial sur ce thème. Même s’il n’est que tacite, il n’est pas prometteur. L’émancipation individuelle et collective n’est pas pour demain.

DdG

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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