L’humoriste Blanche Gardin dénonce la Fake News israélienne des bébés décapités + Blanche Gardin en larmes : accusée d’antisémitisme et censurée pour avoir dénoncé le massacre à Gaza

L’humoriste Blanche Gardin dénonce la Fake News israélienne des bébés décapités + Blanche Gardin en larmes : accusée d’antisémitisme et censurée pour avoir dénoncé le massacre à Gaza

Lors d’une discussion animée sur la chaîne YouTube de Frank Barat, un journaliste et activiste engagé, les actrices Blanche Gardin, Ariane Labed et Maud Wyler ont débattu de l’engagement des artistes face aux enjeux politiques, en particulier la situation en Palestine.

mise à jour le 05/11/24

Blanche Gardin a dénoncé la fake news israélienne concernant des bébés décapités lors d’un échange sur la chaîne YouTube de Frank Barat.

Au cours de l’échange, Blanche Gardin a évoqué la Fake News qui a circulé après les attaques du 7 octobre, celle des bébés décapités et des femmes enceintes éventrées : « C’est épouvantable que les médias français n’aient pas bombardé derrière en dénonçant ce mensonge. » Elle a dénoncé la persistance de cette fake news, qui a été relayée sans démenti pendant près de trois semaines par tous les médias.

Pour regarder l’émission en intégralité :

Source : Le Média en 442

Blanche Gardin en larmes : accusée d’antisémitisme et censurée pour avoir dénoncé le massacre à Gaza

Blanche Gardin subit une mise à l’écart des médias et du monde du spectacle après avoir dénoncé les crimes commis à Gaza. Accusée d’antisémitisme, elle devient une nouvelle victime de la censure qui frappe ceux qui osent critiquer la politique israélienne. Un cas qui soulève de sérieuses questions sur la liberté d’expression en France.

mise à jour le 14/02/25

Liberté d’expression en péril : Blanche Gardin sous le feu des accusations

Depuis plusieurs mois, Blanche Gardin, humoriste au style acéré et provocateur, subit une mise à l’écart brutale du monde du spectacle et des médias. Son tort ? Avoir pris position en faveur du peuple palestinien, dénonçant sans détour le génocide à Gaza. Un engagement qui lui vaut aujourd’hui des accusations d’antisémitisme et une exclusion totale des scènes qui l’avaient jusqu’alors acclamée.

Un engagement qui dérange

Blanche Gardin n’a jamais eu peur des sujets sensibles. Son humour grinçant, souvent à contre-courant, a fait d’elle une figure incontournable du stand-up français. Mais depuis le début des offensives israéliennes sur Gaza, son combat dépasse la scène : il est humain, viscéral. « Entre désespoir et sidération », confie-t-elle dans Télérama ce 10 février 2025, incapable de détourner les yeux des images insoutenables d’enfants sous les décombres et de familles anéanties.


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En juillet dernier, lors d’une soirée caritative en soutien aux Gazaouis, elle coécrit et joue un sketch avec Aymeric Lompret. Une mise en scène parodique sur le modèle des Alcooliques Anonymes, où des individus confessent être accusés d’antisémitisme dès qu’ils critiquent la politique de Netanyahou. Une dénonciation des amalgames et de la manipulation du débat qui lui vaudra une violente campagne de diffamation dans les médias mainstream.

Une répression implacable

La mécanique est bien rodée. Ceux qui osent parler de Gaza sont immédiatement taxés d’antisémitisme, et les sanctions tombent. Contrats rompus, invitations annulées, diffamation orchestrée : une stratégie de musellement que subissent de plus en plus de figures publiques engagées. Dominique de Villepin, ancien ministre, fait partie des rares voix politiques à dénoncer ce qui se joue à Gaza : « Les corps sont en morceaux, les cœurs sont en morceaux, les âmes sont en morceaux. »

Il alerte aussi sur le poids du lobby qui verrouille le débat et pousse les artistes au silence :

« Les artistes ne doivent pas se soumettre à la dictature de la pensée commune. On voit en filigrane à quel point la domination financière sur les médias, le monde de l’art, de la musique, pèse lourd. Ils ne peuvent pas dire ce qu’ils pensent tout simplement parce que les contrats s’arrêtent immédiatement.», déclarait-il.

Il souligne la pression financière exercée sur les médias et le monde culturel. Car parler, c’est risquer l’ostracisation immédiate. Dieudonné en est l’exemple le plus criant : interdit d’antenne, de spectacle, poursuivi en justice pour un mot, une phrase, un geste. Aujourd’hui, c’est Blanche Gardin qui subit cette machine infernale.

Une liberté d’expression sous contrôle ?

Le cas Blanche Gardin illustre un phénomène de plus en plus inquiétant : la censure insidieuse de celles et ceux qui refusent de se plier aux dogmes dominants. Dans une démocratie qui se veut libre, critiquer une politique, dénoncer un massacre ne devrait pas être synonyme d’exclusion. Et pourtant, l’humoriste, qui remplissait les salles il y a encore quelques mois, se retrouve aujourd’hui réduite au silence.

Alors que la tragédie à Gaza continue de s’aggraver, la question reste en suspens : jusqu’où ira cette chasse aux sorcières contre ceux qui osent briser l’omerta ?

par Le Média en 4-4-2

Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme

À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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