Les 4 vérités du président argentin à Davos !

On dit que Javier Milei coupe dans les dépenses à la tronçonneuse mais à Davos il a arrosé les responsables à la sulfateuses à propos de la pédophilie « et du wokisme institutionnel.

L’extrait vidéo ne dure que 53  » mais le discours a clairement mis en cause les dérives du forum sur ces sujets.

Javier Milei au WEF de Davos : « Ce forum défend les hommes qui s’habillent en femmes même s’ils abusent de mineurs ! »

Lors du Forum économique mondial de Davos, le président argentin Javier Milei a livré un discours virulent contre le wokisme, qu’il a qualifié de « cancer » et de « virus mental ». Milei, connu pour ne pas mâcher ses mots, a appelé à l’éradication de cette idéologie des institutions, affirmant que c’est la seule voie pour que l’humanité puisse progresser et entrer dans un nouvel âge d’or.

À Davos, Javier Milei sort la sulfateuse en comparant le wokisme à un virus mental et en appelant à l’éradication de cette idéologie des institutions.

Le terme « woke » est né dans les années 60 aux États-Unis dans les communautés afro-américaines. Une idéologie qui perce vraiment en 2013 avec le mouvement américain Black Lives Matter (création de George Soros) et son slogan « Stay Woke » (soyez éveillés).

Le wokisme divise tout autant que le capitalisme, mais sur des fondements sociétaux (et non sociaux) et imaginaires. Fini les entreprises capitalistes. Avec le wokisme les entreprises (la plupart financières) deviennent « citoyennes », « éco-responsables », « mondialistes ». Leurs cadres sont femmes, noirs, juives, trans, LGBT+++ face à des mâles blancs hétéros, etc. Les ouvriers (mot banni) habitent de lointaines contrées. Les médias propagent religieusement ce nouvel évangile. Trump, Elon Musk reviennent-ils vraiment à la réalité avec deux sexes, le dollar, une nation ? Ils ne sont tout de même pas marxistes, mais ils ont besoin de la réalité pour produire et vendre à des êtres humains. Pas question pour eux de supprimer la majorité de l’espèce humaine pour se retrouver entre maîtres du monde servis par des domestiques dans des îles de rêve avec une agriculture bio. Pour Trump le fameux rêve américain suffit à légèrement voiler la réalité. Pas besoin de wokisme. Javier Mileil ne l’a pas envoyé dire à Davos.

Une critique acérée des fondements du wokisme

Javier Milei n’a pas hésité à s’attaquer aux piliers du wokisme, critiquant notamment le « féminisme radical » qu’il considère comme une demande de privilèges pour les femmes. Il a également dénoncé l’environnementalisme radical et l’idéologie du genre, qu’il associe à des comportements extrêmes. Enfin, il a comparé l’immigration à une « colonisation à l’envers » et à un « suicide collectif ».

Le président argentin n’a pas épargné le Forum de Davos lui-même, le qualifiant de vecteur de cette idéologie qui aurait affaibli l’Occident.

L’économie et le wokisme : une vision polémique

Sur la scène économique, Milei a lié les ravages du wokisme à un plan visant à justifier l’interventionnisme et la dépense publique. Il a appelé à réduire la taille de l’État et des organisations supranationales pour revenir à un âge d’or économique.

Source : Le Média en 4-4-2

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