Ses expériences avec les conseils national et départemental de l’ordre des médecins en témoignent. Il met en cause le Conseil D’Etat, la plus haute autorité administrative du pays pour avoir cautionné les décisions arbitraires de l’Ordre. Son seul tort : soigner selon des protocoles approuvés et efficaces. Pire, « l’arrêt du traitement à la vitamine C d’une dame âgée » car le protocole avait décidé qu’il était temps pour elle de mourir…
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme